Ignorez les insultes.
Vous pouvez faire semblant d'être pressé et dire « je n'ai pas le temps pour ça ». Une meilleure réplique pourrait être « je n'ai pas le temps pour les opinions immatures comme les tiennes », puis partez. Vous aurez une avance sur lui.
13. Je crois à l'équilibre de toute chose dans ce monde, mais sincèrement, tu es pour moi un mystère… Je n'arrive pas à voir quelles qualités tu peux bien avoir pour compenser une telle attitude. 14.
On pourra donc envoyer quelqu'un "marcher sur des Légos" ou oser le "gredin", la "tête de têtard", le "sac à puces", mais aussi "espèce d'épinard", "patate", "patate douce", "banane", "saucisse", "fils/fille de mouette", "capitaine de bateau-lavoir" ou enfin "cornichon".
Le mieux, quand quelqu'un vous parle méchamment ou vous crie dessus, est d'être le plus calme possible. Répondez calmement, doucement tout en souriant. Cela va sûrement énerver encore plus la personne en face de vous, qui perdra patience et finira par ne plus parler ou partir. Lui répondre gentiment à voix basse.
Je vous prie de m'excuser, mais je crois que nous allons en rester là. Je n'accepte pas que tu me parles sur ce ton, si tu as quelque chose à me dire fais-le de façon polie s'il-te-plaît. Je ne suis pas en état de parler de manière constructive. Parlons-en plus tard.
● Fleur de nave
Notons: «la fine fleur», la «fleur des pois» (ce qu'il y a de plus élégant), etc. Toutefois dans le cas qui nous occupe «la fleur de nave» n'a rien de sympathique. En effet, la locution argotique est une autre façon de qualifier une personne de «niaise».
Soyez détendu et riez. Les piques sont censées vous énerver alors restez de marbre, en apparence. Lorsqu'une personne vous blesse, essayez de faire comme si ses paroles ne vous ont pas atteintes, quoi qu'elle ait pu dire. Riez et laissez couler.
"Couille de loup", "Branlomane végétatif", "Vrais connards", "Sac à foutre", "Enculé de communiste", etc... C'est sans limite.
L'injure est punie par la loi. L'injure peut être privée ou publique. Elle peut aussi avoir un caractère raciste, sexiste ou homophobe. Les sanctions pénales tiennent compte de ces différents éléments.
Je m'en fous, je m'en moque.” Une autre façon un peu différente cette fois de dire qu'on s'en moque, que quelque chose ne nous touche pas, eh bien, on peut dire “ça m'est égal”. Ça, c'est plus courant, c'est presque soutenu.
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
Faites-lui entendre que vous saisissez ce qu'il ressent, sa colère ou sa frustration en lui disant par exemple : « je vois que tu es énervé ».
Faire face à une attitude agressive
C'est avant tout rester soi-même, « rester, ou revenir chez soi », pour mettre l'autre à distance. Au-delà des techniques, il s'agit d'une posture, d'un savoir-être. Pour ne pas devenir « éponge » par rapport à l'agressivité de l'autre, il faut travailler sur l'ancrage corporel.
La meilleure réaction à avoir dans cette situation est toujours de répondre avec calme et assertivité. La personne essaie à nouveau de vous déstabiliser en vous faisant passer pour une victime et en prenant le bon rôle. Ce qu'elle veut dire ici, c'est “Je n'ai rien fait de mal, ta réaction est abusive”.
Les gros mots, souvent définis comme des mots vulgaires, incorrects et grossiers sont trop souvent et à tort associés à de l'impolitesse, à un manque d'éducation. L'insulte et l'injure cherchent à blesser, à déstabiliser, à outrager une personne clairement identifiée à lui faire du mal !
Oui, d'accord, c'est entendu.
Vous pouvez par exemple prendre vos distances en pensant à quelque chose qui vous apaise, comme une plage déserte par exemple. Si vous devez réagir, exprimez-vous de façon vague afin de gagner du temps. Par exemple, vous pouvez lui dire « Je ne suis pas sûr de moi. Laisse-moi y réfléchir un peu avant de te répondre. »