À l'expiration forcée, les muscles abdominaux sont les plus sollicités. Comme tous vos muscles, les muscles respiratoires peuvent se fatiguer, se tendre, ou les deux. Et, bonne nouvelle, courir est un des meilleurs moyens d'améliorer l'endurance des muscles respiratoires, et aussi d'évacuer le stress.
Respiration. Face à une fenêtre, debout, posez les mains sur les épaules et levez les coudes et le menton en prenant une grande inspiration par le nez, permettant de dégager les côtes. Les descendre sur l'expiration. Faire cet exercice pendant 4 minutes.
Exercez-vous: assis, allongé ou même debout, mains sur le ventre pour sentir le va-et-vient respiratoire, inspirez pendant 3 s par le nez en gonflant le ventre comme un ballon, bloquez l'air 3 s puis expirez lentement par la bouche pendant 6 s en laissant le ventre dégonfler jusqu'à se creuser.
Le diaphragme, muscle principal de l'inspiration, est très résistant à la fatigue (il fonctionne en continu). Les muscles inspiratoires accessoires (muscles pectoraux, intercostaux externes, muscles du cou) sont utilisés lors d'inspirations plus amples.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Apprenez à bien respirer. Pendant l'effort, respirez le plus naturellement possible en inspirant par le nez et la bouche en même temps (expiration par la bouche). Plus l'intensité de l'exercice augmentera, plus le rythme de vos inspirations va s'accélérer pour faire jeu égal avec celui des expirations.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
L'inhalation est une autre solution pour nettoyer et tonifier ses poumons. Vous pouvez faire soit des inhalations sèches, en déposant quelques gouttes d'huiles essentielles sur un mouchoir que l'on respire, soit des inhalations humides, en versant 3 gouttes de chaque huile essentielle dans un bol d'eau bouillante.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
Pour aide à apaiser et décongestionner les voies respiratoires, profitez de l'aide précieuse d'une infusion de thym, de gingembre, mais également de tulsi ou cannelle.
Bannissez les bombes aérosols, mais aussi les désodorisants, y compris ceux aux huiles essentielles. Ils dégagent des composés organiques volatiles qui, une fois inhalés, agressent les poumons. Pour dépoussiérer, passez à la microfibre, plus écologique et moins toxique.
Pendant l'effort, le volume d'air brassé par les poumons passe d'environ 6 à 8 litres par minute au repos à 80 à 150 litres par minute, selon l'intensité de l'exercice. Chez les athlètes de très haut niveau, ce volume peut même atteindre 250 litres par minute.
Certains exercices spécifiques peuvent aussi nous aider à augmenter la capacité pulmonaire : Le yoga : l'une des bases du yoga est le Pranayama ou technique de respiration, par laquelle on fait parvenir une plus grande quantité d'oxygène dans le sang, par laquelle on obtient une meilleure endurance et récupération.
La consommation de lait à pleine teneur en gras, mais pas de lait à faible teneur en gras, était liée à une réduction du risque de respiration sifflante; Un apport plus élevé en vitamine D pendant la grossesse était aussi associé à un risque réduit de respiration sifflante pendant l'enfance.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
8/9 Le gingembre
En infusion dans de l'eau bouillante, le gingembre est un excellent remède contre les maux de gorge et des bronches. En effet, il agit comme un anti-inflammatoire au niveau des poumons.
La consommation d'ail pourrait diminuer les risques de cancer du poumon de moitié. Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu'en consommant de l'ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.
Parmi les fruits, optez pour les pêches, les prunes, et surtout les baies. Côté légumes, ceux à feuilles vertes, comme les épinards, les choux, la salade, mais aussi les radis, les patates douces ou l'ail. Parmi les épices, privilégiez le curcuma et le gingembre.
Expirer lentement en dégonflant à partir du ventre. Répéter dix fois. En cas de stress ou de perte d'attention, enchaîner trois cycles de soupirs. Inspirer profondément par le nez, deux fois plus que pour une inspiration normale, puis expirer par la bouche en poussant un grand soupir.
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .