Les pronoms relatifs simples sont les suivants : qui, que, quoi, où et dont.
Qu'est-ce que tu écoutes ? -> la radio, un CD ,mon baladeur MP3... Elle peut aussi commencer par : à quoi, de quoi, avec quoi ... (rappel : à que, de que ..
Malgré que exprime l'idée de concession. D'autres connecteurs de concession peuvent donc dire la même chose : bien que , quoique (en un seul mot), éventuellement encore que .
Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment. Remarque : Que devant une voyelle devient qu'. Dont remplace un mot complément précédé de de.
Sans que personne s'y oppose, sans qu'on en ait rien su. Mais, dans les propositions introduites par sans que, lorsqu'elles s'insèrent dans un contexte négatif, on peut utiliser le ne dit explétif, que n'exige pas la correction grammaticale, mais qui est recommandé dans la langue soutenue.
Que = pronom relatif : il introduit une proposition subordonnée relative. Que représente l'antécédent qui se trouve dans la proposition principale. Que: conjonction de subordination : il introduit une proposition subordonnée conjonctive. Que ne représente aucun autre mot.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas. Exemple : Normalement, je devrais obtenir une bonne note à cet examen de mathématiques, bien que je ne sois pas sûr d'avoir tous les points au dernier exercice.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
Donc exprime une conséquence logique. Certains mots (conjonctions de coordination, adverbes, locutions..) expriment la concession avec des nuances particulières : Alors que – bien que – au lieu que - même si – or – quoique – quoi que – quel que – tandis que – pourtant – toutefois…
Pour le CNRTL, la formule «malgré que» est tout d'abord une locution vieillie et littéraire. Elle s'emploie dans la construction «malgré que + pronom personnel sujet + le verbe avoir au subjonctif» et signifie «contre mon/ton/son gré», «à contrecoeur».
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
- Est-ce que est la tournure réservée à l'interrogation directe, c'est-à-dire au cas où l'on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d'un autre verbe, d'un autre terme. Est-ce que vous avez compris ? Est-ce que je ne perds pas mon temps ?
La réponse simple. On écrit toujours « est-ce que ».
S'emploie en tête de phrase lorsque la question appelle une réponse par oui ou non : Est-ce que tu viens demain ? Est-ce qu'il pleut beaucoup ? 2. S'emploie en langue courante après un adverbe ou un pronom interrogatif, dans les interrogations directes ou indirectes : Quand est-ce qu'il vient ?
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
bien que, pendant que, quoique, tandis que.
À un tel point que ; de telle manière que.
Le principal synonyme de c'est pourquoi est c'est la raison pour laquelle . Il est un peu long, mais il marche à tous les coups. Il y a aussi voici pourquoi , voilà pourquoi , mais ceux-là ont une particularité : ils peuvent aussi introduire une cause.
Que et qu' peuvent être des conjonctions de subordination, elles n'ont pas d'antécédent, elles viennent après un verbe et introduisent une subordonnée conjonctive : Je pense qu'il ne dit pas la vérité. peuvent être pronoms interrogatifs.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
« QUE », pronom relatif, introduit une proposition subordonnée relative. Il est complément d'objet du verbe et remplace le groupe nominal antécédent de la proposition principale. Ex. : La maison que j'ai achetée est grande. → La proposition principale est : La maison est grande.