Rédiger : J'ai fait ce commentaire. = J'ai écrit ce commentaire, j'ai rédigé ce commentaire. Construire : Il faut faire un plan.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
bâtir, composer, confectionner, constituer, construire, créer, dessiner, détailler, édifier, élever, engendrer, exécuter, fabriquer, façonner, forger, former, manufacturer, modeler, monter, opérer, préparer, produire, réaliser, tracer, usiner. – Familier : sortir.
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
En fait, de fait, par le fait,
en réalité, effectivement.
Le fait que
Par exemple, « parce que » peut être remplacé par « parce que » ou « depuis » , tout comme « parce que » ; « étant donné que » peut être remplacé par « depuis ».
On écrit toujours « j'ai fait ». Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ».
C'est elle qu'on trouverait dans des phrases comme je vous ai compris , je vous ai fait un virement , je vous ai transmis tous les documents , je vous ai mis en copie , je vous ai déjà dit tout ça , je vous ai contacté en septembre , etc.
"Je les ai fait travailler": le participe passé du verbe faire est invariable ici car suivi d'un verbe à l'infinitif.
CE2 : Les synonymes sont des mots de sens proche et de la même classe grammaticale. Ils permettent d'éviter les répétitions lorsque l'on écrit des textes ou lorsque l'on parle. Exemples : parler - discuter (verbes) / maison - habitation (noms communs) / beau - joli (adjectifs).
Fer, faire, ferre.
Les mots de la même famille que "faire" ont les radicaux suivants : Fac- (facile) Fact- (facture) Fect- (affecter)
En effet, ces deux mots peuvent également signifier « au courant de » (« mettre quelqu'un au fait de quelque chose ») ou droit au but (« aller droit au fait »). Ce qui nous intéresse ici, c'est le « au fait » qui signifie « à propos » : « Au fait, tu es parti en vacances où, finalement ? »
Il faut écrire : Ils se sont fait renvoyer pour insubordination. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faits » est suivi de « renvoyer ». Il ne s'accorde donc pas et on écrit « ils se sont fait renvoyer ».
De fait signifie "effectivement, en effet". Exemple : Il pense que sa fille veut se présenter à l'examen, et, de fait, elle a exprimé cette volonté devant moi hier.
Je te fais de gros bisous expr
Je te fais de gros bisous, à bientôt.
Au présent, avec je , tu , il , les terminaisons du verbe faire sont -s , -s , -t : je fais , tu fais , il fait . On peut ajouter d'autres mots entre le sujet et le verbe, ça ne change rien à la terminaison ! On écrit donc aussi je te fais confiance , je vous fais part de ma décision , je lui fais un résumé .
Je vous ai fait part des principes qui ont présidé à la formation de ma Commission, je vous ai fait part de mon intention de travailler étroitement avec vous, tout au [...]
Si le participe passé fait est placé devant un infinitif, alors il reste invariable et ne s'accorde pas avec son sujet, même si celui-ci est placé devant. Cette règle s'applique avec l'auxiliaire avoir, et avec l'auxiliaire être dans le cadre d'une forme pronominale.
Le verbe dire prend toujours un « t » final au passé composé. À la réunion, j'ai dit que nous devrions revoir notre stratégie. Vrai.
« Tu as fait » est la conjugaison correcte du verbe « faire » à la deuxième personne du singulier au passé composé de l'indicatif. En effet, le participe passé de ce verbe du 3e groupe est « fait », et non « fais ».
Lorsque la locution en effet est utilisée, parfois toute seule, pour appuyer ce que l'on vient de dire soi-même ou ce que quelqu'un d'autre a dit, on peut la remplacer par : assurément , effectivement , en réalité , réellement , véritablement ou vraiment .
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.