Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” 😉 L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
« Merci de me l'avoir dit, grâce à toi je vais pouvoir m'améliorer » un remerciement, même s'il n'est pas sincère, va déstabiliser la personne qui essaie de vous intimider, et la laisser dubitative. Celle-ci ne comprendra pas pourquoi vous réagissez aussi bien à sa critique, et n'essaiera plus de recommencer.
Ignorez les insultes.
Vous pouvez faire semblant d'être pressé et dire « je n'ai pas le temps pour ça ». Une meilleure réplique pourrait être « je n'ai pas le temps pour les opinions immatures comme les tiennes », puis partez. Vous aurez une avance sur lui.
● Fleur de nave
Notons: «la fine fleur», la «fleur des pois» (ce qu'il y a de plus élégant), etc. Toutefois dans le cas qui nous occupe «la fleur de nave» n'a rien de sympathique. En effet, la locution argotique est une autre façon de qualifier une personne de «niaise».
"Couille de loup", "Branlomane végétatif", "Vrais connards", "Sac à foutre", "Enculé de communiste", etc... C'est sans limite.
On pourra donc envoyer quelqu'un "marcher sur des Légos" ou oser le "gredin", la "tête de têtard", le "sac à puces", mais aussi "espèce d'épinard", "patate", "patate douce", "banane", "saucisse", "fils/fille de mouette", "capitaine de bateau-lavoir" ou enfin "cornichon".
Oui, d'accord, c'est entendu.
Ouais, si, ok, bien sûr, tout à fait…
À la fin d'une demande, on doit dire “s'il vous plait” si on vouvoie ou “s'il te plait” si on tutoie ! Exemple. – Je voudrais la salade niçoise s'il vous plait.
Il est plus courtois de répondre : je vous en prie ou je t'en prie. Cette manière est plus formelle que les autres. Vous devez dire « je vous en prie » avec des étrangers et « je t'en prie » avec des personnes que vous connaissez.
Rabaisser les autres est un moyen qu'il utilise pour tenter de rééquilibrer son regard sur lui-même et s'auto-convaincre qu'il a de la valeur. Mais malheureusement, son habitude est totalement contre productive. Il s'enferme dans une spirale de comparaison, et ne réussit pas à combler son vide intérieur.
La blessure de l'humiliation est une souffrance émotionnelle liée à la peur constante d'être rabaissé, dénigré ou jugé. La personne qui en souffre manque de confiance en elle et a tendance à revêtir un masque dans son couple, avec ses amis, au travail...
"Cela peut être par manque de confiance en soi ou par dépendance affective" suggère Chantal Pironi, psychologue. Dans ce dernier cas, le conjoint rabaissé laisse décider l'autre pour lui. A noter : "Une personne qui rabaisse son conjoint manque aussi de confiance en elle", précise notre interlocutrice.
L'injure est punie par la loi. L'injure peut être privée ou publique. Elle peut aussi avoir un caractère raciste, sexiste ou homophobe. Les sanctions pénales tiennent compte de ces différents éléments.
Je m'en fous, je m'en moque.” Une autre façon un peu différente cette fois de dire qu'on s'en moque, que quelque chose ne nous touche pas, eh bien, on peut dire “ça m'est égal”. Ça, c'est plus courant, c'est presque soutenu.
La naissance de la blessure de l'humiliation
A force de répétitions, il finit par se convaincre qu'il est indigne. L'enfant se sent alors durablement abaissé et humilié. Ainsi, consciemment ou non, il commence à organiser sa vie à travers ce prisme. Chaque blessure provoque la fabrication d'un masque social.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant.
Rejet, abandon, trahison, humiliation, injustice… Selon Lise Bourbeau*, telles sont les 5 blessures qui affectent et dirigent nos états émotionnels et nous empêchent d'être pleinement « nous-mêmes ».
Réussir dans la vie, oui, mais ne pas croire en ses capacités. Voici comment l'on pourrait résumer le syndrome de l'imposteur. Découvert aux Etats-Unis à la fin des années 1980, il touche certaines personnes qui ne s'attribuent pas le mérite de leur succès.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
Faire régresser quelqu'un ou quelque chose dans l'échelle des valeurs ; ramener quelqu'un à un niveau moral inférieur : Cet acte rabaisse son mérite à nos yeux. 5. Estimer quelqu'un, quelque chose au-dessous de leur valeur : Rabaisser le mérite d'autrui.
La formule de politesse la plus connue, employée en réponse à “merci”, est “de rien”. C'est la locution la plus basique. La personne qui se voit remercier exprime ainsi que son aide était naturelle. En anglais, elle correspond à l'expression “You are welcome”.
Les réponses réflexes comme « rien de spécial et toi ? » ou « comme d'habitude » coupent court à l'échange. Votre interlocuteur vous prend au dépourvu, retournez la question par un « ça me fait plaisir de te retrouver, mais toi d'abord, quoi de neuf ? ».