2019. Le GIEC nous recommande de nous limiter à l'émission d'une certaine quantité de gaz à effet de serre afin de limiter le réchauffement à 1.5°C par rapport à la température moyenne observée en 1900. Tout cela pour éviter des dommages irréversibles à notre planète et ses écosystèmes au travers.
La gestion des terres permettant de réduire la quantité de CO2 dans l'air devrait inclure le reboisement des forêts indigènes, le ralentissement du rythme d'abattage dans les exploitations forestières du Sud-Est des États-Unis et la plantation d'arbres supplémentaires dans quelques 3 500 villes.
L'océan continue d'absorber le Co2
En d'autres termes, plus les quantités de CO2 ont augmenté dans l'atmosphère, plus les océans en ont absorbé. Les études menées à ce jour suggèrent donc que l'océan continue de jouer un rôle important dans le récent bilan mondial du carbone.
La technique utilisée est soit le Vaporeformage de gaz naturel en présence d'eau, soit l'oxydation partielle en présence d'oxygène. Le CO présent dans le mélange réagit avec l'eau au cours de l'étape de conversion pour former du CO2 et de l'hydrogène.
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
Sources de CO2 dans l'air intérieur
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal ...
Les activités humaines libèrent actuellement 25 milliards de tonnes de CO2 par an dans l'atmosphère. La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
Une nouvelle étude néerlandaise vient de montrer que ventiler sa chambre avant de se coucher améliorerait la qualité du sommeil. Cela ferait baisser le niveau de dioxyde carbone dans la pièce. Ouvrir ses fenêtres et/ou sa porte avant de se coucher permettrait de passer une meilleure nuit.
En été, le poids de la photosynthèse est bien plus important que celui de la respiration. Suffisamment pour faire infléchir la courbe du taux de CO2 dans l'atmosphère. En hiver, c'est l'inverse, la respiration prend le dessus. Et la courbe repart à la hausse.
Le CO2 se trouve à l'état naturel dans l'atmosphère. Il joue un rôle primordial dans le cycle du carbone sur Terre et subit en permanence des transferts entre les différents milieux. Une très large proportion du CO2 est ainsi dissoute et stockée dans les océans qui font office de puits de carbone.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
Ainsi, selon les calculs de Lucas Chancel, une personne appartenant aux 0,01 % les plus riches de la population mondiale – environ 771 000 personnes –, émettait en moyenne 2 332 tonnes d'équivalents CO2 en 2019, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l'humanité n'en a émis que 1,4.
Le CO affecte les écosystèmes en participant à l'acidification de l'air, des sols et des cours d'eau. En plus, ce gaz influence indirectement l'effet de serre comme il contribue à l'augmentation des principaux gaz à effet de serre tels que le CO2 (dioxyde de carbone), le CH4 (méthane) et le N2O (oxyde nitreux).
Le CO2 est majoritairement émis par la combustion d'énergie. Le chauffage, l'industrie, les transports… toutes les activités énergivores émettent du CO2. Au total, elles contribuent à plus de 66% de émissions de GES des activités humaines.
Dans le monde, selon les données du GIEC, les principaux grands secteurs de l'économie mondiale contribuant aux émissions de CO2 sont les suivants, dans l'ordre décroissant : Production de chaleur et d'électricité (25%) Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%)
Un adulte expire en moyenne 20 litres de CO2 par heure. En une nuit de 8h, cela représente un volume d'environ 160 litres. Si on prend une chambre de 10m2 avec 2.5m de plafond, qui nous donne un volume de 25m3 soit 25'000 litres (désolé pour les maths), il aura remplacé 0.64% du volume par du CO2.