Un environnement inadéquat à domicile
Un manque d'éclairage, des tapis non fixés, des fils électriques mal placés ou un plancher encombré sont tous des facteurs qui augmentent le risque de chuter.
L'activité physique est l'élément essentiel de prévention de la chute chez les personnes âgées. En lien avec la ministre des Sports, il a été décidé de favoriser le recours à l'activité physique adaptée (APA) pour les personnes âgées.
Les causes sont multiples : La chute de la tension artérielle ( hypotension orthostatique) lors du passage de la position couchée ou de la position assise à la position debout est due à des troubles du rythme cardiaque, des médicaments, une déshydratation ou une dénutrition, une anémie, etc.
Les principales causes de chutes
L'individu (perte de force musculaire au niveau des membres inférieurs, prise de plus de trois médicaments, perte de vision, hypotension artérielle, etc.). L'environnement (escalier dangereux, armoires au-dessus de la cuisinière, tapis non-fixé, etc.).
L'installation d'un éclairage suffisant, de barres d'appui, de sanitaires ergonomiques, de dispositifs antidérapants, etc. La mise en place de la téléassistance avec détecteur de chute, qui permet d'alerter les secours même si la personne est inconsciente ou seule chez elle.
Les causes sont multifactorielles et comprennent un déclin fonctionnel lié à l'âge et à la maladie, à des risques environnementaux et à d'effets indésirables des médicaments. Évaluer le patient à la recherche de facteurs prédisposants et évaluer les risques au domicile.
Pour réduire les risques de glissades dans les escaliers, il importe que la surface des marches, ou du moins le nez de celles-ci, soit antidérapante. Du caoutchouc, du métal ou une peinture antidérapante peuvent être utilisés comme revêtements à cette fin.
Quels sont les risques liés au travail en hauteur ? Le principal risque est la chute de hauteur. C'est le secteur de la construction qui est le plus touché car les professionnels du BTP sont amenés à travailler sur une charpente, un toit, un pylône, une plateforme ou un échafaudage.
Qu'est-ce qu'une chute ? Il existe trois types de chutes : la chute lourde, la chute molle et la chute syncopale. Dans le cas de la chute lourde, celle-ci survient suite à la perte d'équilibre et s'associe à un choc rapide contre le sol.
Plus généralement, on entend par syndrome post-chute un ensemble de troubles psychologiques de l'équilibre et de la marche observés après une chute. Ce syndrome apparaît chez environ 15-20% des patients victimes d'une chute.
une prise en charge pluridisciplinaire nécessaire. Un travail pluridisciplinaire est nécessaire pour que la rééducation du syndrome post chute se passe au mieux. L'ensemble du personnel soignant et des aidants est mobilisé (médecin, infirmière, aide-soignant, ergothérapeute, etc.).
Les répercussions des chutes chez les personnes âgées peuvent être dramatiques : dépendance, fracture, décès, traumatisme psychologique… Pourtant, l'adoption de simples mesures de sécurité suffirait à diminuer ces accidents.
Tout coup sur la tête est appelé traumatisme crânien, du plus bénin au plus grave. Il y a pour le témoin, 2 temps de prise en charge. Un premier temps pendant lequel on évalue les signes immédiats de gravité qui nécessitent un appel immédiat au SAMU-Centre 15 ou au 18.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Les chutes sont des accidents du travail très fréquents. En Europe, les chutes de hauteur constituent environ 500 000 accidents du travail par année, dont 40 000 entraînent une incapacité permanente et 1 000 sont mortels.
La peur de tomber se définit comme un trouble d'anxiété qui entraîne une diminution d'activité qui n'apparaît pas justifiée par des troubles physiques. En effet, la chute est une confrontation dramatique avec nos limites physiques et notre état de santé.
La nosophobie est la peur de tomber malade. Cette phobie est particulièrement handicapante lorsque les sujets de cette maladies mettent en place des stratégies d'évitement. Il est possible de soigner cette phobie grâce à un suivi psychologique ou à l'hypnose.
Définie par Babinski [1], l'anosognosie désigne le manque de connaissances, de conscience ou de reconnaissance d'une maladie ou d'un déficit. Le nom est la combinaison des termes grecs a (sans), noso (maladie) et gnosie (connaissance).
Que faire en cas de chute… si vous en êtes TÉMOIN
Si la personne ne peut pas se relever, appelez les secours et administrez les premiers soins si vous êtes en mesure de le faire. Aidez-la à trouver une position confortable et gardez-la au chaud à l'aide d'un vêtement ou d'une couverture.
On parle de gravitation parce que cette force qui nous attire tous vers la Terre est appelée gravité. C'est grâce à la gravité que l'on ne tombe pas de la Terre, grâce à la gravité que le ballon de foot retombe vers la pelouse, la tartine sur le carrelage. Magique !