Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Le sujet est toujours un peu tabou. Le modèle éducatif peut varier : un autre facteur à ce rejet de l'enfant de l'autre peut être plus personnel, propre au style de vie du couple, à son modèle d'éducation (permissif, démocratique, autoritaire et distant…), qui peut être différent selon les gens.
Nostalgie, regrets, et sentiments confus viennent se mêler. Aussi, il arrive que la mère rejette inconsciemment ou consciemment et systématiquement cette belle-fille qu'elle voit comme une rivale. Pourquoi ? Afin qu'elle n'occupe pas la première place dans le coeur et la vie de son fils.
Utilisez le principe du « merci positif ».
« Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
"C'est la clé pour se faire accepter par les enfants de la nouvelle personne qui partage votre vie, car à n'importe qu'elle âge, la belle-mère est perçue plus ou moins comme la remplaçante de la mère. La patience est aussi fondamentale pour se faire accepter par la ou le nouveau partenaire de votre enfant."
Éloignez-vous d'elle.
Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation. Assurez-vous de vous excuser tranquillement ou de demander à quelqu'un d'autre à proximité ce qu'il pense du sujet.
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Les rapports entre belle-mère et belle-fille n'en seraient que plus compliqués : "La mère va essayer de conserver ou de retrouver sa place auprès de son fils. Cela entraîne une sorte de rivalité avec sa belle-fille, et de la jalousie".
Il faut faire attention et ne pas permettre certaines attitudes irrespectueuses. Si nous avons des reproches à faire, c'est à leur fils qu'il faut s'en plaindre. Lui seul, de part son attitude vous fera respecter par ses parents. Surtout pas de guerre ouverte !!!
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Nom commun
(Famille) Mère d'un des époux par rapport à l'autre conjoint. (Famille) Pour les enfants d'union(s) précédente(s), la nouvelle épouse de l'un de leurs parents. Mon père nous a présenté notre nouvelle belle-mère.
Expliquez votre point de vue et vos limites à votre belle-famille. Faites savoir à vos beaux-parents que vous cessez tout contact avec eux et donnez les raisons de votre décision. Gardez la conversation courte et tenez-vous-en aux faits. Évitez de vous quereller.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
La clé pour ne plus laisser une mère intrusive prendre le contrôle de sa vie, c'est la confiance en soi. Ne plus douter, savoir ce qui bon pour soi et ce qui ne l'est pas, prendre le contrôle de sa vie, s'imposer en tant qu'adulte et ne plus accepter d'être toujours traitée comme son enfant.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
On recommande parfois aux belles-mères de respecter avec leurs belles-filles la règle des trois C: des Cadeaux des Compliments et pas de Conseils. Avec les belles-mères, c'est un peu pareil. En remplaçant peut être le dernier item: des Cadeaux, des Compliments et pas de Critiques.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.