Sur les épaulettes est cousu au fil rouge le numéro du régiment. 2- Le pantalon : il est aussi en drap couleur Feldgrau et reçoit un liseré rouge le long de la jambe. 3- Le casque à pointe : signe distinctif du militaire allemand au point de symboliser à l'étranger l'impérialisme germanique, il équipe tous les soldats.
Les informations sur les soldats allemands et leurs unités se trouvent principalement via deux institutions : au Bundesarchiv-Militärarchief à Freiburg et au Bundesarchiv à Berlin.
« Une plaque d'identification en aluminium, de la taille d'un demi-dollar argenté et de l'épaisseur appropriée, emboutie avec le nom, le rang, la compagnie, le régiment du porteur, sera portée par chaque dirigeant et homme enrôlé dans l'armée et toutes les fois où le soldat est sur le champ de bataille.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
La seule manière de retrouver trace des soldats tombés au front sous l'uniforme allemand est, bien souvent, de consulter leur acte de décès, conservé dans la collection de l'état civil des Archives départementales du Bas-Rhin.
Depuis le 24 septembre, il est possible d'effectuer une recherche dans la plupart des archives allemandes sur un seul site internet : Le Archivportal-D.
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
1915. « Le surnom de “boche” s'est imposé en 1915. Au début de la Première Guerre mondiale (1914-1918), en août 1914, il n'existait pas encore. Pour désigner les soldats allemands, les Français parlaient d'“alboches”. »
L'accès aux fiches matricules se fait grâce aux répertoires alphabétiques : le numéro de matricule attaché à un nom renvoie à un registre qui rassemble les états signalétiques et des services militaires des conscrits d'une même classe et du même bureau de recrutement.
Consulter les archives familiales
le livret militaire du soldat permet de connaître l'ensemble de son parcours, et notamment le numéro de son unité, ses différentes affectations et ses années de service. le "carnet de guerre", tenu par de nombreux soldats qui désiraient ainsi témoigner de leur quotidien.
La demande d'un "état signalétique des services" (Livret militaire inclus) se fait auprès du Centre des archives du personnel militaire à Pau. Il faut préciser ses nom, prénom, date et lieu de naissance, adresse et si possible son numéro d'immatriculation militaire.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
— le mot frisé était employé dès 1836 pour désigner les juifs le plus souvent d'origine allemande, mais aussi en les réduisant à leur chevelure. On aurait donc en fait une sorte de retournement ironique en désignant les Nazis ou les soldats allemands comme des juifs.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Les Français disent l'Allemagne. Pourquoi ? C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus.
Les registres de matricules militaires
Les sources les plus fiables pour déterminer le parcours et le régiment d'un ancêtre pendant la Grande Guerre sont les registres de matricules militaires. Pour la période couvrant la Première Guerre Mondiale, ces registres ont été numérisés dans la plupart des départements.
Comment faire ? Aux archives départementales,vous trouverez cette information en Série R : Affaires militaires. Sur internet, certains sites d'archives départementales permettent de consulter le répertoire alphabétique et les registres matricules (voir la carte).
Pour retrouver la trace d'un ancêtre décédé pendant la Grande Guerre, la première chose à faire c'est de se rendre sur le site Mémoire des Hommes. C'est un site qui recense tous les soldats décédés durant la Grande Guerre et qui ont reçu la mention « Mort pour la France ».
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Elle appelle tous les hommes de 20 à 48 ans à rejoindre sans délai leur unité d'affectation. Tous ne partent pas le même jour, les départs s'échelonnent tout au long du mois d'août.