Elle se manifeste par des troubles du rapport à soi-même : mauvaise estime de soi et sentiment de ne pas être à la hauteur, et par des comportements excessifs dans les relations affectives. La demande d'amour est massive et les attentes démesurées.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
L'abandonnique présente des troubles caractériels; il a un sentiment de dévalorisation qui le pousse à des attitudes masochistes, alors même que son besoin d'amour est immense. Toute menace de frustration a pour conséquence de le faire régresser au stade archaïque de la toute-puissance. L'abandon est innommable.
Daniel Dufour > La blessure d'abandon a pour origine un manque d'amour ressenti par un enfant ou un bébé... La guérison passe par le fait de s'accorder de l'amour à soi-même. Cet amour se donne tout d'abord en s'accordant le droit d'être dans le moment présent. Puis, de reconnaître, ressentir et exprimer ses émotions.
Le premier type de peur concerne la crainte de l'abandon et fait son apparition vers 8-12 mois. En effet, à cet âge, alors que bébé se laissait aller de bras en bras en souriant, il panique soudainement à l'idée de quitter ceux de sa mère.
Comme toute peur, il faut s'y confronter.
La première chose à faire est de travailler sa confiance en soi (apprendre à s'aimer pour ses qualités, et ses défauts, apprendre à identifier et à mieux gérer ses émotions, etc).
« Bien souvent, la blessure d'abandon naît d'un traumatisme originel, celui d'une naissance sous X par exemple ou de la perte d'un des parents, voire les deux, au très jeune âge.
Si nous le vivons tous à notre manière, en fonction de notre personnalité et de notre histoire, le rejet, quand il nous blesse durablement, peut être lié à différents facteurs : - À la naissance, le fait de ne pas avoir été désiré. e peut créer une blessure extrêmement douloureuse, que ce rejet soit conscient ou non.
La phobie de l'abandon touche les enfants et les adultes à n'importe quel âge. Angoisses de séparation, manque de confiance en soi, incapacité de s'engager dans une relation durable, peur d'être rejeté... Ce mal-être s'illustre de nombreuses manières.
Parlez-lui de vos envies de façon positive, à petites doses de temps en temps. Complimentez-le, mettez-le en valeur pour lui montrer qu'il vous rend heureuse, qu'il serait un bon père etc. Vous pouvez par exemple l'inviter au mariage de votre ami Jonathan pour lui montrer que le mariage c'est beau, c'est cool.
Vous devez faire la différence entre deux discours bien distincts pour savoir quand lâcher l'affaire avec un homme indécis : “j'ai trop souffert, j'ai plus envie que ma relation sentimentale soit une priorité dans ma vie” et “j'ai trop souffert, j'ai vraiment besoin de temps pour reprendre confiance en moi et en la ...
Deux spécialistes interrogent notre psychologie et notre société pour expliquer le phénomène. Au début de la relation, l'envie d'être avec le nouveau partenaire prend au ventre. Puis l'excitation des débuts baisse progressivement en intensité, jusqu'à en laisser certains fatigués, désenchantés, lassés d'une routine.
Si tu aimes quelqu'un, si tu n'arrêtes pas de penser à lui, n'abandonne pas. Continue d'essayer. Continue à donner le meilleur de toi-même.
Habituez-le progressivement aux périodes de séparation en les allongeant petit à petit. Évitez de partir quand il a le dos tourné ou quand il dort pour qu'il n'ait pas l'impression que vous l'abandonnez. Même s'il pleure, rassurez-le, expliquez-lui ce que vous allez faire et que vous allez revenir.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
En effet, pour guérir d'une blessure de rejet, il est déterminant d'en prendre conscience et de l'identifier. Sans conscience de la blessure de rejet, la personne va manifester des comportements réactifs et ne pourra ni agir dessus ni la soigner.