Au moment de la rupture, les deux parents ont le droit d'avoir la garde des enfants puisqu'ils sont égaux selon la loi. Un parent n'a donc pas plus le droit que l'autre de vivre avec les enfants. Cela signifie qu'un parent ne peut pas s'attribuer la garde et partir avec les enfants.
L'un de ces moyens est d'employer des pratiques parentales de qualité avec les enfants : s'engager à passer du temps seul à seul avec chacun, leur répéter leurs forces, renforcer leurs comportements positifs, les écouter sans les juger, accepter l'ambivalence de leurs émotions, leur faire sentir qu'ils sont compris, ...
La garde alternée prend de l'essor
En réalité, c'est dans le cas de désaccords entre les parents - qui constituent 10% des divorces analysés dans l'étude du ministère de la Justice - que les pères sont désavantagés. Dans 63% des cas, la garde est accordée à la mère contre 19% au père.
En pratique, un parent peut obtenir la garde exclusive de son enfant de deux façons : soit à l'amiable en s'accordant avec son ex-conjoint, soit par la saisine du juge aux affaires familiales.
Comptez plutôt de 18 à 30 mois dans le cas d'un divorce pour faute. Pour bien faire, il vous faudra certainement éteindre vos instincts les plus vils.
Manque de sentiments, impression de passer au second plan, routine ou peur de l'engagement : les raisons de se séparer sont nombreuses. Et surtout, elles diffèrent selon les hommes et les femmes.
En principe, tant qu'un juge n'a pas rendu un jugement sur la garde des enfants, les parents ont le droit de voir leurs enfants quand ils le souhaitent. Ce droit appartient également aux deux parents et doit être exercé dans le meilleur intérêt des enfants.
Si vous divorcez ou que vous vous séparez de votre conjoint·e, il se peut que vous ayez droit à une pension alimentaire ou à des biens. Ce à quoi vous avez droit dépend de différents facteurs, comme par exemple si vous étiez légalement mariés ou conjoints de fait, et si vous avez des enfants.
La résidence de l'enfant peut être fixée par ses parents (à l'amiable) ou par le juge aux affaires familiales, selon la manière dont vous vous séparez (divorce, séparation de fait).
Le calcul est comme celui de la liste suivante : Le minimum vital est à déduire des revenus nets du parent, soit 2 400 – 565 = 1 835 € ; En se référant à la table de référence, il doit verser 11,5 % de son revenu net mensuel, soit (1 835/100) x 11,5 = 184 € par enfant.
Pour qu'un changement du mode de garde de l'enfant soit pris en compte par le juge aux affaires familiales, l'un des parents doit présenter un fait dit "nouveau" : la naissance d'un nouvel enfant, un déménagement, un nouveau compagnon, chômage, proximité d'un établissement scolaire.
Trop d'éloignement, nous ne partageons plus rien ensemble. Vous n'avez plus aucun point commun, vous avez évolué chacun de votre côté et vous ne retrouvez plus la complicité qui cimentait votre relation. Vous passez de moins en moins de temps ensemble et n'avez quasiment plus rien à vous dire.
Celui qui prend l'initiative de la rupture ressent souvent un fort sentiment de culpabilité. Il a peur de faire souffrir celui avec lequel il a construit sa vie. Face à toutes les émotions qui accompagnent la rupture, il est important de prendre un peu de recul et d'analyser avec objectivité la situation.
Le manque de communication
Il faut parler de ce qui va et de ce qui ne va pas, il faut s'exprimer sur ses désirs, ses envies, ses ressentis, écouter et prendre en compte les avis, désirs, envies et ressentis de l'autre. De toute façon, lorsqu'on garde pour soi ce qu'on a sur le cœur, cela finit toujours par ressortir !
Notion éminemment subjective qui laisse toute latitude au juge en réalité. En pratique, les enfants peuvent être entendus dès l'âge de 6 ou 7 ans. Ce sont les âges à partir duquel, selon les juges, l'enfant commence à acquérir la faculté de discernement.
Un enfant qui aurait entre 6 et 12 ans est beaucoup plus empathique et peut même réussir à se mettre à la place de ses parents, même s'il n'est pas rare de le voir nourrir l'espoir qu'ils se remettent ensemble. L'enfant de plus de douze ans saisit la complexité des relations.
Expliquez-lui que c'est un problème d'adultes et qu'il n'aurait rien pu faire pour l'éviter. Il aura peut-être aussi besoin de savoir que ni lui ni personne ne peut vous faire revenir sur votre décision. Aidez-le à comprendre que le divorce est définitif. Encouragez votre enfant à parler ouvertement de ses sentiments.
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
La mère devra rapporter la preuve qu'elle n'a pas accouché de l'enfant dont elle conteste la filiation. Le père devra prouver qu'il n'est pas le père biologique de l'enfant. Toute autre personne qui agit en contestation de la filiation devra pour sa part rapporter la preuve de son lien biologique avec l'enfant.
En tant que parent, vous devez élever et éduquer vos enfants, et veiller à leurs biens. Vous avez également le droit de les représenter légalement. Dans tous les pays de l'UE, la mère exerce automatiquement la responsabilité parentale de son enfant, tout comme le père marié.