La nutrition, un levier central dans la prévention des maladies neurodégénératives. En l'absence de traitement curatif, Santé Publique France recommande une stratégie thérapeutique favorisant les traitements non médicamenteux, intégrant à part entière la nutrition.
S'alimenter correctement, faire de l'exercice physique et bien travailler à l'école ! La prévention neurovasculaire commence par une alimentation saine et la pratique régulière d'une activité physique pour le maintien en forme du système nerveux qui dépend aussi de la santé des muscles.
Pour prévenir la dégénérescence du cerveau, il convient que la personne âgée pratique une activité physique régulière pour augmenter l'apport de sang et d'oxygène dans le cerveau. À cela s'ajoute une alimentation équilibrée basée sur un régime méditerranéen.
Les patients perdent progressivement la mémoire, le raisonnement et le sens critique, peuvent devenir amnésiques ou être désorientés. Les symptômes incluent la dégénérescence des mouvements comme les tremblements au repos ou la rigidité musculaire. Le malade peut avoir des difficultés dans l'exécution d'un mouvement.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Il n'existe pas de traitement pour les guérir. Une fois les symptômes déclarés, il est trop tard : le processus de destruction des cellules cérébrales, amorcé des années plus tôt, est bien engagé.
La maladie d'Alzheimer.
Il n'existe, aujourd'hui, aucun traitement pour ces maladies neurodégénératives.
Pour certaines maladies comme la maladie de Charcot ou SLA…) il n'existe encore aucun traitement et le déclin se fait plus ou moins rapidement. Dans le cas des maladies dégénératives comme le Parkinson ou la maladie d'Alzheimer il existe toujours des exercices pour essayer de ralentir la maladie" explique-t-il.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
Hygiène de vie -Eviter les excitants : le café et le thé favorisent l'insomnie (caféine et théine). L'alcool provoque des troubles moteurs, sensitifs et intellectuels. -Eviter le bruit : responsable de troubles auditifs, de troubles du sommeil. -Etre vigilant face aux médicaments : certains modifient le sommeil.
Les représentants les plus connus sont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique (SLA) ainsi que la chorée de Huntington.
Alzheimer, Parkinson, accident vasculaire cérébral, sclérose en plaques, maladie de Charcot, tumeurs du cerveau ou maladie de Ménière en font partie. Les migraines et l'épilepsie aussi. Qu'il s'agisse de leur mécanisme d'apparition ou des facteurs les favorisant, ces maladies restent entourées d'un large mystère.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Des portions du cerveau rétrécissent avec l'âge, ce qui explique la raison pour laquelle la majorité des gens perdent un peu de mémoire en vieillissant, même s'ils évitent des problèmes comme la maladie d'Alzheimer. On sait maintenant que le cerveau des superaînés rétrécit plus lentement que celui des autres.