Il suffit de coller l'objectif de son appareil à l'ouverture de sa jumelle, comme son œil, et de le déplacer pour bien centrer la photo. Bon bien-sur on perd pas mal de lumière. Cette astuce marche donc vraiment mieux avec beaucoup d'exposition.
Lumineuses et offrant un large champ de vision, les jumelles 8×32 ou 10×32 pèsent 600 gr en moyenne et sont très agréables à utiliser. Si vous souhaitez un modèle encore plus léger, le format 8×25 est envisageable mais il offre une moins bonne luminosité.
Approchez les jumelles de vos yeux jusqu'à ce que vous voyiez deux images côte à côte. Notez mentalement la distance qui sépare les deux images. Ensuite, mettez vos lunettes tout en regardant dans les jumelles. Ajustez ensuite le réglage IPD jusqu'à ce que les deux images soient à nouveau côte à côte.
Pensez à garder votre menton en avant, le tête un peu haute. Ainsi,vous évitez l'effet double menton qui peut arriver à tout le monde. Inclinez légèrement la tête de côté, vous devez être à l'aise. Evitez la symétrie, vos portraits n'en seront que plus beaux !
Pour des randonneurs ou des voyageurs, des jumelles polyvalentes (8x32 ou 10x42) sont recommandées. Elles doivent être légères, étanches et robustes : un gainage caoutchouté prend tout son sens, car il augmente la résistance aux chocs. Pour plus de précision, les ornithologues préféreront un grossissement de 10x à 12x.
Le réglage de dioptrie
Le mode d'emploi est assez simple : visez un objet à distance moyenne et faites une mise au point approximative, puis tournez la molette de réglage de dioptrie jusqu'à obtenir exactement le même rendu aux deux yeux.
En cas de choc provoqué par une chute ou par des vibrations prolongées dans le coffre de la voiture par exemple, les prismes internes peuvent légèrement bouger. Le résultat est que l'on obtient « une double vue » : plus moyen de faire coïncider les images des deux yeux !
Les diamètres d'objectifs de 30 à 40 mm sont tout indiqués, mais le 50 mm est ausi envisageable. Grossissement : les oiseaux ne se laissent guère approcher et beaucoup sont de petite taille. Un grossissement de 10x est donc souvent utile pour les jumelles d'ornithologie.
Le grossissement oculaire est le premier nombre indiqué pour caractériser une paire de jumelles. Dans le cadre des jumelles puissantes, le grossissement sera de minimum 10x sans support et minimum 12x avec un trépied.
Lors de la conception de vrais jumeaux, un seul spermatozoïde féconde un seul ovule. L'embryon ainsi formé se divise ensuite en deux pour générer deux bébés qui partagent entièrement les mêmes gènes. Au contraire, pour les faux jumeaux, deux ovules distincts sont fécondés par deux spermatozoïdes différents.
La jumelle autofocus est une jumelle sans réglage. Elle offre une mise au point automatique qui repose sur la faculté d'adaptation de l'oeil. C'est ainsi que la jumelle autofocus dite sans réglage est idéale pour tout ceux qui ont du mal à faire la netteté pendant une observation.
Les notions de base sur une paire de jumelles
Une jumelle, c'est 2 chiffres. Par exemple, 10x42. Le premier chiffre, 10, c'est le grossissement. Le deuxième, 42, c'est le diamètre de l'objectif.
Le grossissement maximum de jumelles que l'on retrouve sur le marché est de 125x. Il fait référence à l'un des modèles de jumelles les plus puissants au monde.
Le grossissement et le diamètre
On peut par exemple opter pour des jumelles 8×30, 8×42 pour l'affût et 10×42, 10×50, pour l'approche, 8×56 ou 10×56 pour la chasse aux gibiers d'eau.
À titre d'indication, cette distance de mise au point minimale est d'environ 1 à 8 mètres pour différentes jumelles.
Aujourd'hui, vous avez la possibilité d'acheter vos jumelles tant au supermarché que dans un magasin de sport ou chez un opticien, un armurier ou un photographe !