Dès le mois d'avril, il est possible de planter le
La dasheen se cultive de préférence dans des régions humides. Elle ne craint pas les excès d'eau et préfère les sols légers. Des possibilités d'exportation existent pour cette culture. La dachine se multiplie généralement à partir de prélèvement de rejets latéraux autour des pieds mères après la récolte.
Le taro doit être placé dans une terre riche et argileuse et dans un lieu ensoleillé. On le plante en pleine terre en avril-mai en enterrant le tubercule à 30 cm environ. A l'image des pommes de terre, il est impératif de butter les plants. Le taro se cultive également en pot, dans une terre riche en humus.
Choisir le bon dachine, en résumé :
Pour le reconnaître sur l'étal faut bien repérer les marques violacées à la naissance des feuilles. – Le dachine « blanc », lui, est blanc voire verdâtre au niveau de la tête. Il cuit très fondant.
La récolte commence environ 8 mois après la plantation. On s'aperçoit du stade de la récolte quand les feuilles les plus âgées commencent à dépérir.
LE DACHINE : CE QU'IL FAUT SAVOIR
Le Dachine est un tubercule allongé (ou arrondi) dont la forme et la taille rappellent celles du céleri-rave. Il est de couleur brune à l'extérieur, sa chair, quant à elle, est blanc ou gris.
Réfrigérez-le dans un récipient hermétique ou enveloppez-le soigneusement avec du papier d'aluminium résistant ou du film plastique. Congelez le taro cuit dans un récipient hermétique ou dans un sac de congélation résistant.
Avant cuisson, le conserver peu de temps, dans un endroit humide à l'abri de la lumière. Une fois cuit, il se conserve quelques jours au réfrigérateur. Conseil de conservation pour les feuilles : elles peuvent se garder au frais 4 à 5 jours dans un sachet de conservation.
Eplucher le dachine
Gardez en tête que le dachine se prépare de la même manière que les pommes de terre. Il vous suffit de retirer la peau pour atteindre la chair qui est comestible.
Peu calorique, il est riche en fibres et en vitamines C, B1 et B2, ce qui favorise le sentiment de satiété. Avec sa richesse en amidon et en sucres lents, le taro permet d'éviter les pics et les chutes de glycémie. Il limite donc les envies de sucre et représente une source d'énergie intéressante pour les sportifs.
L'arrosage devra être régulier en cas de longues périodes de sécheresse. Réalisez par ailleurs un paillage au pied de la plante afin de protéger les racines. Le taro n'est pas sujet aux maladies du jardin, mais il est peut-être victime d'attaque de pucerons, acariens, aleurodes ou encore d'araignées rouges.
Le taro a tendance à ramollir. Aussi ne faut-il pas le conserver trop longtemps. Le mieux est de le garder dans un endroit frais, sec, aéré et à l'abri de la lumière. Mais vous pouvez le conserver aussi dans le bac à légumes de votre réfrigérateur et dans un papier protecteur.
Les poireaux, asperges, céleris, sont buttés pour protéger une partie de la plante de la lumière, qui sera ainsi plus tendre et savoureuse. On butte ces légumes en plusieurs fois, au fur et à mesure de leur croissance.
Sol. Le colocasia se plaît dans une terre riche, les pieds dans l'eau, au bord d'un bassin, dans un terrain marécageux ou un massif paillé qui reste humide, avec au moins 1 m d'espace pour pleinement se développer.
En culture potagère sous climat tropical, le malanga est planté en zone humide sur des buttes de 50 cm et 30 à 50 cm de diamètre, distancées en moyenne de 80 cm en tous sens, après avoir déforesté la zone. La plantation se fait en début de saison des pluies le cas échéant.
Le goût et la texture de la chair ressemblent à ceux de la pomme de terre (saveur légèrement plus sucrée). Les jeunes pousses et les feuilles sont également comestibles.
Le taro (Colocasia esculenta) est un tubercule tropical consommé comme légume, aussi appelé colocase, songe, eddo ou chou de Chine. Cette plante vivace est très décorative : de taille imposante, elle a des feuilles vert glauque de 50 à 60 cm de long qui sont portées par un long pétiole charnu d'un mètre.
Le taro se trouve essentiellement dans les épiceries asiatiques. Pour bien le choisir, veillez à ce que le tubercule soit bien ferme, assez lourd et sans moisissures.
Lorsque le taro est cuit, il devient mou. En ce moment, il peut être pénétré facilement par une fourchette. Les morceaux de taro sont retirés de l'eau de cuisson et disposés dans une assiette. Il est conseillé de consommer ce tubercule lorsqu'il est encore chaud ou tiède pour une mise en bouche plus agréable.
La conservation du macabo peut s'effectuer de deux manières. Tout d'abord en champ, dès la maturation des tubercules qui survient au 9 ème mois après les semis, on peut laisser le macabo sur tige sans le récolter. Cette période de conservation peut durer 6 mois.
Pourquoi les blanchir? Bien que les aliments blanchis perdent une partie de leurs nutriments hydrosolubles, il est recommandé de les faire cuire quelques minutes avant de les congeler pour mieux préserver leurs vitamines à long terme.
Les pommes de terre, panais, rutabagas crus doivent être conservés au frais pour éviter de germer et il est déconseillé de les congeler. Après décongélation, ces tubercules voient leurs éléments nutritifs et leur teneur en minéraux altérés.
Les légumes ont besoin d'être blanchis avant d'être conserver. Il s'agit de les passer quelques minutes à l'eau bouillante. Cela a pour effet de stopper l'activité des enzymes et de préserver la texture des légumes.