Mettez une main à hauteur des yeux, paume face à soi et focalisez le regard sur un point au centre. Tout en relâchant le corps et en restant focalisé, demandez à l'inconscient d'avancer la main jusqu'au visage par des mouvements lents et saccadés, comme si elle était aimantée par le visage.
La technique : posez l'un de vos coudes sur un accoudoir, ou autre support, de façon à ce que votre main soit libre de ses mouvements. Posez une question simple, dont la réponse est « oui » (Exemple : « Je m'appelle Untel ») Demandez à votre inconscient de vous répondre en faisant bouger l'un de vos doigts.
Les mots ont un pouvoir très puissant sur le subconscient, les mots que l'on nous dit et notre propre monologue intérieur. Le subconscient est, à ce niveau, un amplificateur prodigieux. Il prend les mots au sens littéral (au pied de la lettre).
Notre inconscient travaille à notre insu pour nous aider à déchiffrer le monde. Il anticipe les résultats de nos actions et vérifie si le résultat est conforme aux prédictions. Il accélère ainsi notre perception et notre cognition !
Le subconscient se trouve au-dessous du seuil de la conscience. C'est un synonyme de la conscience. Il ne se distingue pas du conscient par nature mais par degré. Le préconscient désigne un système de l'appareil psychique nettement distinct du système inconscient.
Pour nettoyer son inconscient, il existe une méthode très simple, mais également très ancienne. Celle de Ho'oponopono. Cette méthode permet donc d'effacer des données du subconscient. Cela vous permet donc de suivre le chemin qui vous est destiné.
Les causes de l'inconscience
- Traumatiques : suite à une chute au sol ou de l'agrès, un choc sur l'agrès… - Médicales : suite à un malaise ou une hypoglycémie - Toxiques (rare) : fuite de gaz, explosion atomique, radioactivité…
Elles se manifestent sous des formes déguisées, afin de tromper la vigilance de la conscience. Les actes manqués (erreurs, oublis, lapsus), les rêves, ainsi que certains symptômes pathologiques tels que les phobies ou troubles de la parole, sont autant de manifestations de l'inconscient.
La première méthode, c'est de pratiquer l'autosuggestion positive ou d'écouter un programme inconscient positif, par exemple, en vous réveillant ou avant de dormir vous pouvez mettre vos écouteurs et écouter des phrases positives en boucle une dizaine de minutes.
Pour pratiquer l'auto-hypnose, nous pouvons disposer de notre stimulus de référence: la lumière d'une lampe, une feuille, une vitre ou même une scène créée par notre imagination. Il doit s'agir d'un refuge mental ou d'un point visuel à partir duquel nous pouvons transcender vers notre intérieur, vers notre esprit.
Se dit d'un état psychique dont le sujet n'a pas conscience, mais qui influe sur son comportement.
L'acceptation de soi et de phénomènes qu'on ne comprend pas est quelque chose d'important. Il fait apprendre à vivre avec soi ! Comme l'a dit Socrate : "Connais-toi toi-même" !!!
Pour cela, pratiquez la respiration ventrale : il s'agit d'inspirer longuement par le nez, de retenir sa respiration un instant (deux à trois seconde) puis d'expirer par la bouche, lentement. Sentez l'air qui entre dans votre corps, puis en ressort. Respirez ainsi plusieurs fois jusqu'à atteindre la détente.
Rémy Amouroux: L'étymologie répond à la question: l'inconscient échappe totalement à la conscience alors que le subconscient se situe «à la limite» de la conscience. Mais, concrètement, cela revient au même: les deux définissent ce qui échappe à la conscience.
Dès lors, le moi ne serait pas maître dans sa propre maison : non pas qu'il habite une maison qui n'est pas la sienne, mais plutôt qu'il n'est pas en permanence en train de contrôler ce qu'il se passe chez lui.
La notion de « limite » trouve sa genèse dans l'inconscient à partir de l'expérience de la perte de jouissance de l'objet, cette perte instaure un bord entre le moi et le monde extérieur et elle crée un espace subjectif qui sera celui de la pensée et par conséquent du jugement et de la représentation.
L'inconscient fait peur car il remet en cause l'idée du bien et du mal. Car l'action en bien ou en mal implique la responsabilité. La théorie de l'inconscient serait donc dangereuse car en déchargeant les hommes de leur responsabilité, elle justifierait l'existence du mal et l'excuserait.
Pour prévenir un blocage émotionnel inconscient, rien de mieux que de se laisser submerger par des pensées positives et de se tenir à l'écart autant que possible de toute situation inconfortable pouvant affecter le subconscient.
Les symptômes courants des blocages émotionnels sont des schémas inutiles ou négatifs, le sentiment d'être coincé au même endroit, une dépression constante, des tergiversations fréquentes sur le même problème ou thème et une consommation accrue d'alcool et de nourriture.
Le blocage émotionnel est une barrière que nous nous mettons à un moment donné, qui nous empêche de penser et de ressentir clairement. C'est-à-dire qu'il nous empêche de progresser et d'avancer à travers les différentes étapes de la vie.
Ne pas avoir de projets. Les personnes toujours négatives ne parlent que rarement de leurs projets parce qu'elles sont trop ancrées dans leur misère actuelle. Elles n'imaginent pas réaliser quoi que ce soit et se confortent dans leur situation de victime. Cette négativité devient leur zone de confort.
Pour continuer à manifester des choses positives dans votre vie, il faut toujours faire attention à vos pensées, à vos niveaux vibratoires. Et ce, en pratiquant la gratitude, le lâcher-prise, la méditation ou encore la respiration, afin de calmer et maîtriser vos émotions.