Le passé constitue la somme des évènements dont on peut faire le récit sous la forme de l'histoire et que l'homme ne peut plus modifier. En ce sens, oublier le passé reviendrait à se débarrasser de la mémoire des évènements pour ne pas être déterminé par ce qui ne dépend plus de nous.
Pour réussir à oublier un souvenir, notre premier réflexe pourrait être de ne plus y porter attention. Or, une nouvelle étude suggère plutôt l'inverse : pour oublier quelque chose, il faudrait y repenser. L'oubli serait un processus actif qui demanderait un plus grand effort mental que la création du souvenir lui-même.
Repenser au passé nous permet d'étudier notre nature et nous aide à reconnaître pourquoi nous agissons d'une certaine façon. En revanche, il est important de ne pas trop se pencher sur le passé, car vous pouvez facilement être pris au piège.
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.
Le fait de penser sans cesse au passé ou de se concentrer sur le futur peut vous faire perdre de vue l'instant présent. Vous vous rendrez probablement compte que vous avez passé votre vie sans profiter de l'instant présent.
Pourquoi ne faut-il pas oublier le passé si nous voulons nous donner un avenir ? Parce que la vie individuelle, tout comme l'histoire collective, se conçoit comme continuité temporelle. Il serait impossible de couper le fil du temps. Tout comme la mémoire, l'oubli peut être volontaire ou involontaire.
Accepter d'oublier une relation c'est accepter qu'il est temps d'aller de l'avant. Aussi, le plus efficace et radical pour dire adieu à un amour impossible est d'effacer tout souvenir.
pratiquer la méditation de pleine conscience. lorsque des pensées du passé surgissent, les laisser simplement s'exprimer un instant avant de se concentrer à nouveau sur la respiration. Ce processus continu de retour au présent est la base de la pleine conscience.
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.
La déception et les regrets sont souvent en relation avec l'incapacité d'atteindre certains objectifs. Le fait de changer votre façon de penser à vos objectifs et réalisations peut vous aider à mieux faire face aux regrets et à accepter l'instant présent.
Le regret lui, peut se limiter au simple chagrin d'avoir fait ou de n'avoir pas fait quelque chose, même s'il est souvent empreint de culpabilité. Le remords, lui, comporte une dimension morale forte, qui se caractérise par la honte d'avoir fait quelque chose de mal par rapport à des normes sociales.
Assumer qui on est, dans le respect des autres et la bienveillance, n'est pas synonyme d'égoïsme ou de vantardise, bien au contraire, c'est accepter de se montrer tel que nous sommes, c'est accepter que la confiance et l'amour pour soi soient les maître-mots de notre existence.
L'indécision est l'incapacité de faire un choix. La peur de devoir choisir, d'assumer ses responsabilités, de déplaire ou d'entrée en conflit, peut mener l'indécis à se reporter sur les autres pour choisir à sa place. Ce comportement d'évitement n'est pas sans conséquences sur l'état psychologique et l'entourage.
Pour aller de l'avant et oublier le passé, il ne faut pas avoir de remords ni de regrets. C'est un fait : c'est plus facile à dire qu'à faire ! Et surtout, plus nous focalisons sur l'idée « ne pas avoir de regrets », plus nous donnons de l'importance à cette idée.
Une des habitudes les plus sages que vous puissiez cultiver est de toujours être conscient de ce qui se passe autour de vous, de rester en permanence dans le présent et de savoir que ce moment fait partie d'un processus beaucoup plus vaste. Alors ne courez pas ; marchez !
Ruminer, c'est quoi ? La rumination est un processus naturel, revivre une situation d'échec est sain, le cerveau cherche à en tirer quelques enseignements et à adapter sa réponse en cas de récidive. Nous avons tous vécu de tels moments.