frère → reuf, reufré sœur → reusse, reuss, reusseu. mère → reum.
frangin, frelot, frolot, khey, kho, refré, reuf, reufré. beauf.
(Verlan) Mot formé par apocope du verlan reufré de frère.
bonhomme, boug, gadjo, gonze, keum, keumé, mec, nombo, raclo.
Keuf est un terme péjoratif désignant un homme ou une femme remplissant la fonction de policier. Le terme proviendrait d'une autre expression pour désigner une personne remplissant les missions de police, flic, dont la prononciation inversée donnerait keuf.
Dans le langage des jeunes, il a pris la signification d'une alerte pour prévenir qu'une personne arrive. Il est, par exemple, utilisé par les guetteurs pour prévenir que la police arrive : "Arah, Arah, Arah (voilà les flics !)"
Nom 1 : Emprunt supposé au vocabulaire des colonies africaines, du portugais conde (gouverneur), du latin comes, comitis. Selon cette hypothèse, il s'agit d'un mot apparenté à comte. Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier.
Gentiar : (verlan) Argent.
chiard, lardon, merdeux, minot, môme, morpion, mouflet, moutard, tipeu.
sœur → reusse, reuss, reusseu. mère → reum.
Nom commun
(Argot) Frère ; ami.
Indication composée de lettres et d'un numéro, portée en tête et à gauche d'une lettre, attribuée au destinataire.
(Nom) (Verlan) de mère.
«Gro» gagne aussi du terrain. C'est une alternative à « frère », un synonyme qui, lui aussi, prend toujours plus de place dans les conversations d'ados. « Gro », souvent écrit « gros », boucle aussi les fins de phrase des jeunes.
De l'argot canut lyonnais, où le mot serait une déformation de frangeur (ouvrier qui fait des franges), le nom de famille Frangin est attesté au XVIII e siècle. Alice Becker-Ho rattache ce mot au romani phral, pal, bral (« frère, camarade »).
De l'arabe خويا , khouya, forme dialectale de أخي , akhî (« mon frère »).
Faire crari. Quelqu'un qui fait crari, c'est quelqu'un qui fait semblant, qui se donne un genre. Employé seul, souvent en début de phrase, crari, mot aux origines obscures, signifie « soi-disant », « prétendument », à l'instar de son cousin arabe, « zarma » ou « zerma ».
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
– Pécho, ouais ! Ah là, il faut que j'explique parce que, alors ce qui est bien avec cette vidéo, c'est qu'on voit aussi du langage familier, des mots familiers importants donc. Pécho, c'est le verlan de choper. – Oui.
Géman : manger en verlan.
à des appellations issues du verlan ou de l'argot, " Beu ", " Beuh " (herbe), "Tosma " (matos), " Techi ", "Teuch ", " Toch " , " Shit ", "Weed ".
Ainsi vous apprendrez que « cimer » signifie tout simplement « merci », « iench » : chien, « nawak » : n'importe quoi, « keum » : mec, « mifa » : famille, et bien d'autres encore, y compris les plus salaces comme « ken » pour faire l'amour, « dep » pour homosexuel, etc.
« Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du XIX e siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres ; Un homme normalement constitué a deux jambes, qui forment le nombre 11.
C'est lors des grands travaux du baron Haussmann que cette caserne est édifiée… sur un ancien marché aux volailles. Les parisiens ne tardent pas à assimiler les nouveaux occupants des lieux aux anciens. Les policiers parisiens deviennent des poulets et rapidement cette expression gagne l'ensemble du pays !
Schmitt est un terme argotique employé pour désigner un policier, un gendarme. Il provient de l'allemand "Schmitt" qui signifie "forgeron". Exemple : Attention, voilà les schmitts.