L'âge avancé, l'origine ethnique, et les antécédents familiaux de cancer de la prostate sont des facteurs de risque individuels de cancer de la prostate. Le poids, l'obésité et la taille sont également des facteurs de risque de survenue de cancer prostatique (WCRF, 2018). Ce sont les seuls facteurs de risques avérés.
Le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes au début de son évolution. Des troubles urinaires peuvent ensuite apparaître. Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage des PSA dans le sang.
Les causes du cancer de la prostate
Le premier facteur qui rentre en ligne de compte lorsqu'on parle des causes de ce cancer est sans doute l'hérédité. Ainsi, les hommes dont le père ou le frère ont été atteints de cancer de la prostate courent trois fois plus de risque de contracter la maladie.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme. C'est une tumeur globalement de bon pronostic avec une survie de plus de 90% des patients atteints. Il reste rare avant 50 ans, et le nombre de cas augmente progressivement après 50 ans.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
Les hommes qui boivent six tasses de café par jour ou davantage voient diminuer de 60% leur risque de développer le type de cancer de la prostate le plus mortel et de 20% leur risque de contracter un cancer de la prostate, quel qu'il soit, selon cette étude de la Harvard School of Public Health.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme. Il survient le plus souvent chez des hommes âgés : 66 % des cancers de la prostate apparaissent chez les hommes âgés de 65 ans et plus. Il est exceptionnel avant 50 ans.
Il est possible de guérir du cancer de la prostate si la maladie est diagnostiquée à ses premiers stades de développement. Lorsque la maladie a atteint le stade avancé, le traitement peut en soulager les symptômes et prolonger la vie.
La prostate joue un rôle dans la sexualité, mais uniquement dans l'éjaculation et la reproduction. Par contre, elle ne joue aucun rôle dans le phénomène d'érection. Elle est sous l'influence des hormones mâles (androgènes).
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
Rare avant 50 ans, son taux d'incidence augmente avec l'âge. Pour autant, en France, ses chances de survie sont très élevées. On décède beaucoup moins du cancer de la prostate que de celui du poumon ou du côlon-rectum.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Pour une prostate en santé, la prévention est le meilleur remède et l'exercice, telle les bienfaits de la marche, peut être un de vos grands alliés.
difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Toutefois, ces résultats positifs n'ont pas été observés par toutes les études scientifiques. En ce qui concerne le jus de citron, à ma connaissance, aucun lien n'a été démontré.
Il fournit de nombreuses propriétés curatives pour prévenir les maladies parmi lesquelles on trouve le cancer. Le miel est bon pour le cancer du côlon, de la prostate, de la peau, du foie et des poumons.
"La capsaïcine a eu un profond effet anti-proliférant sur les cultures de cellules humaines de cancer de la prostate", a souligné l'un des chercheurs ayant participé à l'étude. La découverte est de taille lorsqu'on sait que 680 000 hommes sont atteints chaque année d'un cancer de la prostate dans le monde !
Les effets secondaires principaux de la prostatectomie sont l'incontinence urinaire et la dysfonction érectile. "Après la prostatectomie, il n'y a plus d'éjaculation parce qu'il n'y a plus la prostate et les vésicules séminales qui constituent les principaux endroits où l'on fabrique le liquide séminal.