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Les pathomimies sont définies comme des troubles factices entièrement provoqués dans un état de conscience claire par le sujet lui-même sur son propre corps. On ne retrouve pas de motif rationnel précis pouvant expliquer une telle conduite pathologique, ce qui distingue cette dernière de la simulation.
L'hypocondrie se manifeste sous forme de "crises" ou de façon constante. Douleurs, palpitations, crampes, fourmillements, boutons suspects, retards de règles... Les moindres signes physiques sont interprétés par l'hypocondriaque comme les symptômes d'une maladie grave, potentiellement mortelle.
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
L'hypocondrie se soigne.
Toutefois, sa prise en charge et sa guérison demeurent un défi, aussi bien du côté médical que de celui du patient. Une fois le diagnostic posé, deux approches sont préconisées : le traitement médicamenteux (dans certains cas) et la psychothérapie (indispensable).
Le syndrome de Münchausen par procuration (3-5) est un trouble factice simulé et/ou induit par un parent. L'enfant est présenté de façon répétitive et persistante pour des soins médicaux qui conduisent à des examens médicaux et des explorations médico-chirurgicales multiples et répétées.
Le trouble factice consiste à prétendre d'avoir ou à produire des symptômes physiques ou psychologiques sans raison externe apparente. La cause est inconnue, mais le stress et un trouble de la personnalité grave peuvent en partie expliquer le trouble. Les symptômes peuvent être spectaculaires et convaincants.
Le trouble somatoforme est caractérisé par de multiples plaintes physiques persistantes qui sont associées à des pensées excessives et inadaptées, les sentiments et les comportements liés à ces symptômes.
Toutes ces études laissent penser que la schizophrénie, mais aussi les troubles bipolaires, sont à l'origine d'un risque accru de violence et que la consommation d'alcool ou de drogue multiplie ce risque dans un facteur très significatif.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale. Les premiers sont caractérisés par une pensée désordonnée dans laquelle la personne n'est pas en contact avec la réalité.
Les troubles somatoformes, quésaco ? Cette maladie mentale méconnue touche surtout les adolescentes et se caractérise par des douleurs inexpliquées et inexplicables pour de nombreux médecins. Pour se soigner pas de traitement mais une psychothérapie.
La somatisation est un trouble à symptomatologie somatique (anciennement appelé trouble somatoforme) : c'est-à-dire, un trouble psychologique qui se caractérise par des symptômes physiques persistants, accompagnés de pensées et craintes excessives et inadaptées.
Plusieurs autres symptômes peuvent également être présents : difficultés de concentration, sentiment de culpabilité excessive ou dévalorisation de soi, sentiment de désespoir face à l'avenir, pensées de mort ou de suicide, sommeil perturbé, changements d'appétit ou de poids, et sentiment de grande fatigue ou de manque ...
Le syndrome d'Ondine est une maladie génétique rare due à une atteinte du système nerveux autonome. Il est caractérisé principalement par une hypoventilation alvéolaire sévère (hypercapnie associée éventuellement à une hypoxémie) due à une anomalie du contrôle autonomique de la respiration.
Le syndrome de la queue de cheval apparaît lorsque le faisceau de nerfs qui part de la partie inférieure de la moelle épinière est comprimé ou endommagé. La cause la plus fréquente du syndrome de la queue de cheval est une hernie discale.
Il s'agit d'une maladie génétique rare du tissu conjonctif (tissu de «soutien» de l'organisme) qui touche une personne sur 3000 à 5000. Elle est due à une production insuffisante de «fibrillin», la protéine qui compose ce tissu.
La schizophrénie débute à la suite d'un épisode psychotique inaugural qui n'est malheureusement pas toujours identifié ou pris en charge. Elle suit ensuite une évolution fluctuante, avec des symptômes chroniques auxquels se surajoutent parfois des phases de psychose aiguës.
Devenir fou, c'est perdre le contrôle, se sentir débordé par une forte inquiétude pour les siens, pour soi-même à ne plus en dormir. L'important c'est d'arrêter la machine à temps.
Le corps parle pour la tête. Concernant l'anxiété, on ne croit pas si bien dire. En effet, cet état psychologique engendre des symptômes physiques.
✓ Angoisse, réaction de sursaut exagéré (impression que la personne est sur le qui-vive) ✓ Etat anxieux (agitation ou inhibition…) ✓ Fatigue ✓ Troubles du sommeil (cauchemar, trouble de l'endormissement, réveil intempestif…) ✓ Troubles de l'appétit (de la perte d'appétit vers une suralimentation anarchique…)
L'hypocondrie est un état d'anxiété, d'inquiétude excessive à propos de son propre état de santé au point de causer une angoisse chronique et de perturber la vie quotidienne. Certains hypocondriaques témoignent de symptômes (douleurs au niveau de la poitrine, céphalées importantes, etc.)
La prévalence de la douleur est généralement plus élevée chez la femme, son seuil et sa tolérance à ce symptôme plus bas. L'interprétation du phénomène douloureux, son vécu et les stratégies d'adaptation pour y faire face diffèrent également entre hommes et femmes.
la multiplicité de la nature et du type de douleurs : douleur aiguë, douleur chronique, douleur nociceptive, neuropathique, nociplastique.