Et pourquoi est-ce qu'on endosse cette « culpabilité malsaine » ? Plusieurs raisons possibles. 1/ Des personnes qui nous manipulent en nous culpabilisant, ou en se victimisant pour qu'on se culpabilise par effet de balancier. 2/ Un besoin de se rassurer contre l'impuissance.
Ainsi, une grande part de la culpabilité est liée à des situations où le patient s'en veut par rapport à des choses qui se sont jouées sur le plan relationnel. Par exemple, ils se sentent tenus par des règles vis à vis des autres ou se culpabilisent de ne pas avoir répondu à l'attente de l'autre.
Recentrez vous sur le moment présent, le vrai, aussi dur soit-il à atteindre. Enfin, entraînez-vous le plus souvent possible ! Avec ces exercices, votre conscience sera de plus en plus alerte et stoppera immédiatement le retour de ces pensées négatives.
La charge émotionnelle de cette culpabilité est très lourde. La première chose à faire pour vous en libérer est d'accepter et de comprendre vos émotions, et surtout de ne pas les réprimer. Faites l'exercice suivant : écrivez une lettre avec tout ce qui vous préoccupe, sans omettre de détails.
Si l'auto-punition est autant persistante, c'est qu'il s'agit d'un moyen de se défendre contre les douleurs de la vie, et malheureusement, la vie est pleine de souffrance. Nous ressentons tous le besoin intense de nous mélanger aux autres, d'être accepté, d'atteindre la réussite et l'approbation.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Regarder le ciel à travers la fenêtre, écouter de la musique, s'installer sur le canapé ou faire du tricot ou du coloriage... Laissez votre esprit divaguer et accueillez le flux de vos pensées sans réfléchir. Eloignez-vous des écrans (ne rien faire devant la télé ne compte pas) et savourez ces moments de pause.
Il faut accepter le fait que l'on n'est pas forcément responsable du malheur des autres. Et qu'on peut réparer nos erreurs, qui ne sont pas des « fautes », qu'on peut pardonner aux autres, comme on peut se pardonner et faire la paix avec soi-même… On n'est responsable que de ses propres actes, pensées et paroles.
Pourquoi culpabilisons-nous ? C'est bien sûr le résultat de notre éducation et de notre culture. Le degré de culpabilité est donc différent d'un pays à l'autre et d'une personne à l'autre. Culpabiliser est un sentiment indispensable au bon fonctionnement de notre conscience morale.
Irresponsabilité personnelle. L'irresponsabilité personnelle est liée à l'immaturité émotionnelle et au manque de compétences sociales. Ainsi, les personnes qui n'admettent pas leurs erreurs sont également celles qui présentent de graves carences.
1. Sentiment d'abaissement, d'humiliation qui résulte d'une atteinte à l'honneur, à la dignité : Couvrir quelqu'un de honte. 2. Sentiment d'avoir commis une action indigne de soi, ou crainte d'avoir à subir le jugement défavorable d'autrui : Rougir de honte.
Apprendre à s'aimer, à se pardonner, à être indulgent avec soi et les autres, à être son propre ami, à se respecter, à s'accepter même imparfait, aide à avancer sur le chemin de l'estime de soi. Des techniques comme l'auto-hypnose, le développement personnel, peuvent améliorer l'estime de soi.
La personne qui se sent coupable ne cherche pas uniquement à se blesser elle-même. La plupart du temps, elle cherche également à faire du mal aux autres, car cela lui permet de sentir supérieure et puissante. Parfois, le fait de s'infliger du mal n'est pas suffisant.
Dans sa forme générale, le syndrome du survivant englobe les sentiments de culpabilité que ressent une personne qui se reproche d'être en vie alors qu'une autre personne a péri. Il est difficile de se sentir heureux d'être en vie sachant que d'autres n'ont pas connu le même sort.
Si vous constatez que quelqu'un cherche à vous culpabiliser, demandez-lui très simplement et très directement, les yeux dans les yeux : «Est-ce une accusation? Vous voulez m'accuser de ne pas bien faire ce que je fais ? » Si la personne répond «oui», demandez-lui alors d'en apporter la preuve.
Le déclencheur de la culpabilité
Le déclencheur est le fait de manger un aliment qu'on ne devrait pas ou de tout simplement trop manger. À la suite de cette prise alimentaire impromptue, en réponse à l'affect, que la culpabilité vient nous ronger.
La culpabilité sert au "vivre ensemble" ; elle permet d'éviter de nous faire du mal les uns les autres.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.