Grâce à trois centrales à inertie et trois GPS à bord, l'avion connaît à tout moment précisément sa position.
Les balises au sol sont des installations électriques surmontées d'une ou plusieurs antennes à l'usage exclusif de la navigation aérienne. En France, ces balises sont implantées un peu partout sur le territoire et permettent de définir un réseau de « routes aériennes » appelées airways.
Elle se base sur l'utilisation de balises radioélectriques situées sur le sol dont le signal est transformé en indication de position par des récepteurs installés à bord de l'avion. L'indication de position est donnée ensuite sur un cadran à bord de l'avion.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
La première n'est autre que le port d'une couche pour adulte, ce qui n'est pas franchement confortable. La seconde est tout simplement de se retenir de faire ses besoins, mais là encore, les contraintes sont peu acceptables.
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Pour les avions
En général, les aéroports se ferment aux vols commerciaux entre 23h et 06h du matin, afin de respecter des accords en matière de nuisances sonores. En pratique, ce n'est pas une règle universelle puisqu'il n'est pas rare, surtout l'été, de voir des vols commerciaux atterrir après 2 ou 3h du matin.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
Les avions circulent dans le ciel sur des autoroutes de l'air. Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Lors d'un voyage en avion, il peut arriver qu'on soit confronté à des turbulences atmosphériques, ce qui se manifeste généralement par des secousses et des vibrations ressenties dans la cabine. Certes, ces sensations ressenties peuvent impressionner mais, en vérité, elles amplifient la réalité physique…
Un "trou d'air" au sens littéral n'existe pas. Cette appellation vient de la sensation de chuter lorsque l'on est à bord d'un avion en vol. Cette chute n'est pas causée par un trou ou une absence d'air. C'est en réalité à cause d'un changement brutal du sens, ou de la force du vent.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Un émetteur envoie une onde radio correspondant à la descente parfaite de l'avion (ici en rouge). Même sans visibilité, le pilote a ainsi une indication sur sa descente. Un deuxième système co-existait avec celui-ci. Il s'agissait d'une simple balise émettant à la verticale.
L'air insufflé dans la cabine est donc recyclé en moyenne toutes les 2 à 4 minutes. Le système HEPA extrait donc de l'air extérieur et le mélange à de l'air recyclé, « propre » puisque débarrassé de ses particules indésirables... Voilà qui explique pourquoi l'air circulant dans l'avion est froid.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
La pression sous les ailes de l'avion augmente avec la vitesse (imaginez toutes les particules qui se concentrent de plus en plus rapidement en un point). Et, justement à partir d'une certaine vitesse, la pression est telle que l'avion se soulève, il décolle.
On peut croire que c'est par raisons de sécurité. Le [L'océan] Pacifique est le plus grand et le plus profond des océans. Si un avion rencontre un problème alors qu'il le survole, les pilotes auront du mal à s'en sortir sans aucun endroit pour atterrir.
Le principe est simple : des balises radio au niveau de la piste créent 2 plans : un plan horizontal, appelé le localizer, et un plan vertical appelé le glide, que le pilote automatique suivra automatiquement. Les pilotes n'auront pas à guider l'avion manuellement, et il descendra tout seul.
Oui, vous avez le droit de dormir à l'aéroport.
Par contre, pensez bien à vérifier en amont qu'il reste ouvert 24 heures sur 24 pour éviter de passer la nuit à la belle étoile! Si c'est le cas des aéroports internationaux, ceux de plus petite envergure risquent de fermer leurs portes la nuit.
traumatisme cranio-facial ou oculaire, opération du cerveau ou opération de l'œil avec pénétration oculaire. maladie respiratoire chronique sévère, difficulté à respirer au repos ou pneumothorax non résorbé datant de moins de 2 à 3 semaines. drépanocytose. trouble psychotique, sauf s'il est totalement maîtrisé.
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Notre solution : se dégourdir les jambes de temps en temps en marchant, même pour aller aux toilettes. Et comprimer les vaisseaux des pieds pour favoriser la circulation sanguine. De simples étirements peuvent aussi diminuer l'effet "jambes lourdes".