Les produits employés étaient variés : Pour laver la peau, on préparait des « savons » avec du natron, de la crème constituée de graisse végétale ou animale mélangée à de la craie ou du calcaire ; Pour assouplir la peau le corps était enduit avec des huiles aromatiques qui protégeait aussi contre les insectes.
L'éviscération crânienne
Il s'agit de l'ablation du cerveau par la voie nasale au moyen d'une tige de métal (bronze) recourbée que l'opérateur enfonçait dans la narine gauche de façon à perforer le toit des fosses nasales (ethmoïde) et à accéder directement à la cavité crânienne.
Depuis l'Égypte antique
Les Égyptiens, hommes comme femmes, se maquillent d'abord pour leur santé. Leur climat, aride et sablonneux, attaque leur peau et leurs yeux et le khôl, fard noir gras, agit comme une membrane de protection pour les yeux.
Au temps des pharaons, vers -3400 avant J-C, les égyptiens découvrent les avantages d'élever une structure, une forme de lit. Symbole de statut social, il concernait les riches princes et la famille royale car la population dormait plutôt sur des feuilles de palmiers empilés dans un coin de la maison.
Les Égyptiennes avaient l'habitude de se raser la tête pour mieux porter — signe élémentaire d'élégance — la perruque de leur choix. Pour adoucir le feu du rasage, le coiffeur massait délicatement la peau avec une préparation à base d'huile d'amandes amères.
C'est au début du XXe siècle que l'épilation féminine se popularise en Occident. «Aux Etats-Unis, les femmes commencent à épiler leurs aisselles dans les années 1910-1920, leurs jambes à partir de 1940-1950, et enfin leurs organes génitaux à partir des années 1990-2000, poursuit-elle.
Ces faits sur les poils que vous n'auriez jamais imaginé Selon les dires des magazines féminins, la pilosité est au centre des intérêts de la femme moderne. Mais saviez-vous qu'on s'épilait déjà au Moyen-Âge ?
On retrouve les premières traces de l'oreiller dans les civilisations de la Mésopotamie vers 7000 avant J.C.. Son usage était alors avant tout réservé à une certaine caste et servait principalement à soigner les problèmes de cou et à éloigner la tête des insectes durant la nuit.
Les perses et les romains
Ce sont les Perses en 3600 av JC qui ont eu l'idée de confectionner un matelas. A cette époque il n'est pas question bien sûr de latex, ressorts ou mémoire de forme. La technique de fabrication cependant très ingénieuse : les Perses remplissaient des peaux de chèvre d'eau.
Civilisation egyptienne - Religion - La vie après la mort. L'attitude des anciens Égyptiens face à la mort était influencée par leur croyance en l'immortalité. Ils considéraient la mort comme une interruption temporaire plutôt que comme la cessation de la vie.
3000 ans avant J. -C. Ce sont les Égyptiens qui ont utilisé en premier le maquillage. Ils sont notamment à l'origine du khôl.
les belles Égyptiennes utilisaient surtout des ocres, outre leurs propriétés cicatrisante et apaisantes, l'ocre s'utilisait aussi en maquillage! Ocre rouge pour les joues et ocre jaune pour le teint, et les lèvres avait là aussi la particularité d'être coloré grâce à l'ocre ou différents minéraux.
Un maquillage efficace
Ils utilisaient du « mesdemet », mélange de minéraux et de matière grasse, l'ancêtre du khôl, pour se maquiller les yeux. Les Égyptiens se l'appliquaient en un contour noir autour de l'œil jusqu'au sourcil. Quelques traces retrouvées par les archéologues ont permis d'en étudier la composition.
Une momie est un cadavre humain (ou animal) conservé naturellement ou artificiellement (par une action d'embaumement) et qui permet d'éviter (et de stopper) le processus normal de décomposition.
En France, être transformé en momie, c'est strictement interdit par la loi, tout comme sont proscrites l'immersion d'une dépouille en mer ou sa cryogénisation. Les seuls modes de sépulture autorisés sont l'inhumation et la crémation.
Selon les Égyptiens, pour que l'âme d'un homme accède à la vie éternelle après sa mort, il fallait conserver sa dépouille. C'est pourquoi leurs cadavres étaient momifiés. Un cartonnage doré.
Ils dorment plutôt sur des sacs de paille, de foin, de copeaux de bois ou de feuilles de fougères posés parfois à même le sol. Les lits de l'époque étaient conçus de manière à ce que l'on puisse dormir en position assise grâce à des coussins qui permettaient de surélever la tête.
C'est en 3600 avant J.C que les Perses ont inventé les matelas à eau. Leur confection était assez simple : elle nécessitait de coudre des peaux de chèvres entre elles puis de les remplir d'eau.
Pièce de la literie, sorte de long et large coussin piqué ou capitonné, rembourré de laine, de mousse, ou à ressorts, et généralement posé sur un sommier.
Il trouve son origine à la même époque que les coussins, bien avant le XIIe siècle où le terme « oreiller » fait enfin son apparition. Les traversins sont ainsi appelés du fait qu'ils soient placés en travers des lits.
Le traversin peut être utilisé pour surélever les jambes lourdes ou soulager le poids du ventre en position latérale. Il est aussi idéal pour s'installer à son aise en position assise, même sur un canapé ou dans un fauteuil.
Le polochon est souvent considéré comme un traversin du fait de sa forme tubulaire. Toutefois, si le traversin peut s'employer en remplacement de l'oreiller, le polochon s'exploite à des fins plus esthétiques que fonctionnelles.
Égypte : des rois et reines sans poils (ou presque)
En Égypte, l'épilation intégrale des pieds à la tête, sourcils inclus, était de mise, pour les hommes et pour les femmes. En Mésopotamie et en Phénicie, mille ans plus tard, les rois et les reines étaient aussi épilés de près. Et pourquoi ?
Exit les rasoirs ou la cire d'épilation ? Pas tout à fait. Les femmes sont toutefois encore une large majorité (72 %) à préférer l'épilation du maillot, partielle ou intégrale. L'épilation totale, plébiscitée par 14 % des femmes en 2013, est même en hausse et pratiquée par 24 % d'entre elles en 2021.
Il s'agit d'une épilation dite "conventionnelle". On épile uniquement le haut des cuisses et l'extérieur du pubis, afin d'éliminer les poils qui dépassent d'une culotte non échancrée, de façon à obtenir un résultat propre mais naturel.