Se mettre dans une bonne posture pour mieux respirer en chantant. Tout comme le diaphragme, la posture est aussi essentielle pour réussir à respirer correctement. Essayez par vous-même en essayant de respirer profondément de manière courbée et ensuite en vous tenant bien droit.
En inspirant par le nez qui filtre, réchauffe et humidifie l'air avant qu'il arrive dans les poumons, et en veillant à ce que l'expiration soit plus longue que l'inspiration (si par exemple, on inspire sur 4 secondes, on essaie d'expirer sur 6), car cela contribue à ralentir la fréquence cardiaque.
Le vélo est un des meilleurs sports cardio qui soit. Vous pouvez d'ailleurs le pratiquer de plusieurs manières différentes : avec un vélo de ville, de chemin, de course… Et même dans l'eau avec l'aqua-biking ! Nous y reviendrons, mais l'altitude est un allié de taille lorsqu'il s'agit de bosser son souffle.
Lorsque vous ne pouvez plus retenir votre respiration, essayez de ne pas vous presser à expirer l'air de vos poumons. D'abord, expirez environ 20 % de cet air puis inspirez de nouveau pour que l'oxygène aille plus vite dans les zones les plus critiques. Ensuite vous pouvez expirer et inspirer entièrement.
Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
En extérieur, la course à pied ou le vélo sont reconnus comme étant les meilleurs sports pour améliorer son endurance et ses capacités respiratoires. Vous pouvez également vous orienter vers la natation qui en plus stimulera la perte de poids et la tonification des muscles.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Pourquoi cette sensation d'essoufflement ? Lors de la pratique d'une activité physique plus ou moins intense, on remarque systématiquement une augmentation de notre fréquence cardiaque. Il s'agit là de la réponse de notre système respiratoire à une augmentation de la demande énergétique du corps.
Durant un test de la capacité de diffusion pulmonaire, vous inspirez une petite quantité de gaz par un embout buccal fixé à un tube. Vous retenez votre souffle pendant environ 10 secondes, puis vous expulsez le gaz. L'air est collecté dans le tube et examiné.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
Le plus important est de faire vôtre l'adage : « doucement et souvent. » Le coeur se muscle le mieux en endurance, les efforts brutaux étant beaucoup moins efficaces. Si par exemple vous aimez courir, le mieux est de programmer 2 ou 3 séances d'une demi-heure à une heure par semaine. Mais surtout, pas de surchauffe.
Soyez attentif aux mouvements de votre corps, sans aucun jugement. Prenez une inspiration en gonflant d'abord le ventre puis la cage thoracique. Expirez par le nez en vidant l'air situé dans la cage thoracique puis dans le ventre. Répétez cette respiration pendant quelques minutes.
Inspirez pendant trois secondes par le nez en gonflant votre ventre sans forcer, bloquez l'air pendant trois secondes puis expirez lentement par la bouche en laissant le ventre redevenir plat. Le bon rythme ? Trois fois par jour voire plus, si vous ressentez le besoin de vous relaxer.
Soufflez longtemps, rentrez le ventre, abaissez la cage thoracique. On peut mettre un livre sur la cage thoracique pendant l'expiration pour la sentir s'affaisser, puis le poser sur le ventre au moment de l'inspiration pour le sentir se gonfler.
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .
Les poumons peuvent être touchés. Il peut s'agir alors d'une maladie bénigne et ponctuelle comme une bronchite (inflammation des bronches) ou d'une réaction allergique à une substance inhalée. Une maladie respiratoire chronique comme l'asthme est aussi envisageable.