Les épiceries locales sont fournies par les banques alimentaires, les supermarchés et les producteurs locaux, et vous pouvez y trouver : Des denrées alimentaires variées et de qualité (fruits et légumes frais, produits laitiers, féculents, etc.) Des produits de la vie courante (produits d'entretien, ustensiles, etc.)
Le financement est accordé par l'intermédiaire des réseaux au titre de l'habilitation à l'aide alimentaire. Le concept d'épicerie sociale est de fait relativement flou, même si la plupart des acteurs parviennent à identifier quelques caractéristiques qui spécifient ce mode d'accès à l'aide alimentaire.
Vous pouvez aussi opter pour la franchise, mais là encore le coût sera élevé. En résumé il faut donc au moins compter 145 000 au total pour lancer son activité. N'hésitez pas à construire un business plan épicerie pour évaluer vos dépenses et adopter la meilleure stratégie financière possible.
Parmi eux, les épiceries sociales et solidaires se sont structurées autours d'un principe : proposer en libre-service des denrées contre une participation financière proportionnelle à la valeur des produits. Les personnes qui y sont accueillies ont ainsi un statut de consommateur.
Avant d'ouvrir une épicerie, il est recommandé d'établir un business plan afin de s'assurer de la viabilité du projet. Puis, l'entrepreneur devra choisir le statut juridique pour son entreprise. Par ailleurs, il devra veiller à respecter les réglementations liées à l'ouverture d'un commerce.
Une épicerie sociale sera ainsi gérée par une collectivité, alors qu'une épicerie solidaire dépend d'une association. Les bénéficiaires de la structure sont qualifiés en tant que clients, car contrairement à d'autres aides alimentaires, ils viennent acheter des produits.
En règle générale, une épicerie génère un chiffre d'affaires compris entre 60 000 et 150 000 euros par an. Nombreux sont les facteurs qui peuvent faire varier ce montant. Parmi ces derniers, on retrouve notamment l'emplacement de l'épicerie, le nombre de produits proposés et les horaires d'ouverture.
Disons que nous souhaitons un taux de marge de 120 % sur nos produits vendus. Si nous achetons un produit d'épicerie pour 10 euros, alors cela signifie que nous devons générer 120 % x 10 = 12 euros sur sa vente. Cela nous donne un prix de vente à 10 + 12 = 22 euros.
Les produits d'épicerie dits « secs », tels que les épices, les aromates, les huiles, les thés et cafés restent évidemment des incontournables mais sont désormais suivis de près par les produits frais (charcuteries, fromages, saumons et cie), les boissons comme le vin et, bien entendu, par les produits de luxe comme le ...
L'épicerie solidaire se présente comme un commerce de proximité classique, elle permet à un public en difficulté économique de réaliser ses courses et de choisir les produits qu'il souhaite consommer, en proposant des denrées de qualité entre 10% à 30% de leur valeur marchande.
L'épicerie sociale permet aux bénéficiaires de s'approvisionner en produits alimentaires mais aussi en produits d'hygiène et d'entretien à moindre coût. Cet espace marchand est aussi un lieu d'accueil, d'échanges, d'écoute et de reconnaissance où les personnes bénéficient de conseils budgétaires et alimentaires.
Ouvrir une épicerie solidaire : quel statut juridique ? Vous pouvez envisager une création sous forme d'association avec vos partenaires et en élisant un conseil d'administration. N'oubliez également pas de respecter les lois en ce qui concerne les associations.
Pour les produits alimentaires, les taux de marge sont compris entre 13 et 27 % dans les hypermarchés et supermarchés et proches d'une famille de produits à l'autre.
Selon leur localisation et leur capacité d'accueil, les épiceries génèrent, chaque année, un chiffre d'affaires généralement compris entre 150 000 et 300 000 €. Également, l'investissement de départ pour une épicerie est plutôt faible, puisque compris entre 120 000 € et 250 000 €.
Méthode de valorisation
Alimentation générale : 20 à 50 % du chiffre d'affaires annuels de TTC/an, Épicerie fine : 40 à 150 % du chiffre d'affaires annuels de TTC/an, Supérette alimentaire : 15 à 30 % du chiffre d'affaires annuels de TTC/an, Supermarché : 10 à 20 % du chiffre d'affaires annuels de TTC/an.
Le salaire mensuel moyen brut va de 1522 € (- 26 ans) à 1803 € (+ 50 ans).
Aucun diplôme n'est nécessaire pour exercer en tant qu'épicier ou gérant de supérette. L'accès à la profession est totalement libre, sauf si une activité artisanale est exercée en parallèle (par exemple boulanger).
Et pour cela, on décale simplement la virgule d'un rang vers la gauche. Sur un produit vendu 69,00€; 10% feront donc 6,9€. Pour avoir 30%, on va multiplier ce chiffre par trois : la remise représente donc 20,70€. Cela nous donne 69 - 20,70 = 48,30€.
Les alimentations générales ont une surface de vente inférieure à 120 m², tandis que les supérettes ont une surface comprise entre 120 et 400 m². Au-delà de 400 m², les entreprises appartiennent au secteur de la grande distribution (supermarché, hypermarché).
Dans cette optique, de nombreuses épiceries solidaires organisent des ateliers d'informations sur la nutrition et l'équilibre alimentaire, la santé, la citoyenneté. De plus, des activités sont également accessibles : atelier couture, atelier bricolage, participation aux repas partagés…
Qu'est ce qu'une boutique solidaire ? L'idée de cette boutique est de récolter et vendre des vêtements de tout âge, des bijoux, des accessoires, des objets et ainsi de préserver l'environnement.
L'épicerie solidaire s'inscrit dans un objectif global de soutien aux familles, d'accompagnement social des familles, notamment pour réussir à surmonter les difficultés qu'elles rencontrent. Et comment ? En proposant également des ateliers et activités diverses aux personnes et à leurs familles.