Une baïne ressemble à une piscine naturelle formée entre la côte et un banc de sable. Comment fonctionne ce phénomène ? Lors de la marée montante, les vagues passent par-dessus les bancs de sable et remplissent les baïnes. Leur niveau d'eau se trouve alors au-dessus du niveau de la mer.
Le danger apparaît lorsque la marée monte. A ce moment, la baïne se remplit et rejoint l'océan ce qui crée des courants forts vers le large. Si vous vous trouvez dans une baïne à marée montante, vous courez le danger d'être aspiré vers l'océan.
Résumons la réponse à la question suivante : « qu'est-ce qu'une baïne ? ». C'est une cuvette creusée dans le sable où circule de manière très forte l'eau de mer, de la plage vers le large. Lorsqu'on est pris dans une baïne, le courant y est si violent qu'il est souvent impossible de nager à contre-courant.
Comment reconnaitre les baïnes
A marée basse, une baïne forme un creux sur la plage. Un peu d'eau peut y stagner alors que la plupart de la plage est à sec. A marée haute, une baïne se présente sous une zone d'eau calme où les vagues ne déferlent pas. La couleur de l'eau y est plus sombre.
D'autres conseillent de nager parallèlement à la côte pour sortir aussi vite que possible du courant et rejoindre une zone de déferlement des vagues. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est là où cassent les vagues que l'on est le plus en sécurité (les vagues ne cassent pas dans la baïne).
Une baïne est une formation d'eau créée par le mouvement des marées. En patois local, cela signifie "bassine, cuvette d'eau ". On en trouve tout au long des plages de sable de la côte Atlantique. Une baïne se forme à marée basse.
Cette formation géologique temporaire se retrouve sur la plupart des côtes du monde mais le terme baïne est en usage dans le sud-ouest de la France sur la côte Atlantique où on les voit principalement sur le littoral néo-aquitain (Côte d'Argent et Côte sauvage de la presqu'île d'Arvert et de l'île d'Oléron).
Les baïnes se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin, le dénivelé faible, et avec une forte houle. A marée haute, le ressac créé par la houle en déférlant sur la plage, emporte vers le large du sable. Au fur à mesure de la marée un banc de sable, parallèle à la plage, va se former.
Mangawhai, Nouvelle-Zélande. Si l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande est l'une des destinations préférées des amateurs de sensations fortes, elle abrite également la plage idéale pour des vacances au calme. La région de Mangawhai, entourant le port du même nom, abrite l'une des plages les mieux notées pour se détendre.
L'idéal est de rester derrière lui à moins de 50 cm sans lui toucher les pieds. Le nageur crée un sillon en forme de V. En restant dans son sillage, vous allez profiter de l'eau qu'il déplace pour vous laisser aspirer et ainsi fournir moins d'efforts physiques.
Les baïnes se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin, le dénivelé faible, et avec une forte houle. A marée haute, le ressac créé par la houle en déferlant sur la plage, emporte vers le large du sable. Au fur à mesure de la marée un banc de sable, parallèle à la plage, va se former.
La bâche, aussi appelé baïne, est une cuvette suivie d'un banc de sable. Lorsque la marée recouvre la baïne, l'eau s'échappe violemment vers l'aval selon un système de vidange. Ce sont ces courants de « sorties de baïnes », ou courant d'arrachement, qui provoquent chaque année des accidents.
Le coefficient de marée est ensuite issu d'une formule mathématique assez simple : marnage du jour J / 6,1×100. Lors d'un marnage exceptionnel, par exemple 7,2 mètres à Brest, alors le coefficient de marée est (7,2/6,1) x100 = 120.
Sur la côte des Landes, la poussée d'une houle de 1,5 ou 2 mètres suffit de toute façon à retenir le public, en faisant office de repoussoir. Structurellement, à cause des baïnes et des vagues, la côte Atlantique est la plus dangereuse de France.
Le golfe de Guinée: la mer «la plus dangereuse du monde»
Le lieu le plus dangereux de France reste la côte Atlantique.
Cela pour deux raisons simples. La première est qu'il n'est pas facile de prévoir l'arrivée des vagues et quand celles-ci sont là, c'est pour de courtes durées malheureusement. Il est donc bien plus rare de pouvoir y surfer. La seconde, c'est que les vagues en mer sont créées par le Mistral, un vent venant du nord.
Le dispositif d'alerte aux baïnes est activé sur tout le littoral aquitain ce vendredi 26 août. La journée est considérée par les autorités comme à risque maximal à cause des phénomènes combinés de la houle, des vagues de bord et de forts courants.
Conclusion : à marée basse, l'eau ne va nulle part. Elle baisse simplement. Et si une bouteille à la mer peut voyager sur de grandes distances, ce n'est pas par un déplacement de l'eau (sauf dans un grand courant), mais plutôt à ce qui peut contrarier les marées, en l'occurrence les vents.
C'est l'attraction lunaire qui cause deux «bourrelets» dans les océans et qui, conjuguée au fait que la Terre tourne sur elle-même en 24 heures, nous donne deux marées par jour.
Pour un point fixe sur la Terre, on constate qu'à partir d' une heure donnée la marée est maximale, 6 heures plus tard minimale, 6 heures plus tard maximale de nouveau et enfin 6 heures plus tard de nouveau minimale. Il y a donc deux pleines mers et deux basses mers par 24 heures.
C'est la différence entre la hauteur de la basse mer et la hauteur de la pleine mer. Il donne l'amplitude de la marée.
Le BNSSA peut depuis 2017 surveiller la natation scolaire. Avec dérogation pour un établissement d'accès payant.