Ce ne sera pas facile au début mais la clé de la réussite de la micro-sieste est d'être dans un état de relaxation quasi-complet. Pour cela, choisissez un endroit calme, installez-vous confortablement, décroisez bras et jambes. Fermez les yeux. Puis respirez profondément en visualisant l'air qui sort de vos poumons.
Le principe. La turbo sieste consiste à dormir 15 à 30 minutes maximum, pas davantage pour ne pas sortir de la phase de sommeil léger. Il serait en effet beaucoup plus désagréable de s'arracher à un sommeil profond. Pensez à régler votre réveil et étirez-vous après vous être levé.
Le but de la sieste flash est donc de récupérer de jour, mais sur une durée inférieure à 20 min. « Elle défatigue, c'est un excellent anti-stress. Elle a des effets bénéfiques sur la concentration, la mémoire et la créativité ». Un bienfait loin d'être à négliger surtout lorsque votre rythme de vie est soutenu !
Dans les transports, à votre bureau ou chez vous, fermez les yeux. Relâchez tous vos muscles. Recentrez-vous sur votre respiration, en comptant les cycles respiratoires par exemple. Laissez-vous aller à la détente et ne pensez à rien, uniquement à la sensation agréable de ne rien faire et de se reposer.
Des malades qui s'endorment en plein jour, brutalement, n'importe où, sans pouvoir résister au sommeil... La narcolepsie est une maladie neurologique rare, encore sous diagnostiquée.
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Pour la plupart d'entre nous, la durée idéale de la sieste est de 10 à 20 minutes, de préférence entre 12 h et 15 h. Si possible, buvez une boisson contenant de la caféine tout de suite avant. Faire la sieste peut s'avérer un complément sain à une saine hygiène du sommeil. Mais ne dormez que si vous en avez besoin.
Dormir l'après-midi vous semble une drôle d'idée et pourtant, cela permet de récupérer alors ne vous en privez pas ! Qu'elle soit flash, courte ou plus longue, elle est toujours relaxante et réparatrice. Elle réduit le stress, améliore la mémoire et la concentration...
Dormir une ou deux heures sera toujours mieux que de ne pas dormir du tout. Car ne pas dormir va entraîner une mauvaise concentration, des troubles de la mémoire à court terme, des troubles du jugement et de temps de réaction, de l'irritabilité, une douleur accrue, une augmentation des hormones de stress…
Dans l'idéal, la micro-sieste doit donc rester courte et ne pas dépasser 20 à 30 minutes maximum afin de se réveiller avant la phase de sommeil profond.
D'une durée de 20 minutes environ (entre 15 et 30 minutes au maximum), elle est avant tout relaxante. Il s'agit d'un épisode de sommeil lent léger qui entraîne dans le cerveau la production d'ondes relaxantes bienfaisantes et qui permet de récupérer sans sombrer dans le sommeil profond.
Pour cela, tu peux recourir aux techniques de relaxation comme la relaxation musculaire progressive ou des exercices de respiration. Certains aliments peuvent également t'aider à t'endormir plus facilement.
Cette pénible sensation est due à un réveil contraint en plein milieu d'un cycle de sommeil. « Quand on fait une sieste trop longue la journée, surtout si on n'a pas assez dormi avant, on peut traverser un petit épisode de sommeil lent profond, l'épisode où le cerveau est ralenti.
Pour que la sieste soit efficace, il faut également soigner sa phase de réveil : ne surtout pas se redresser d'un bond, mais se garder 2 à 3 minutes pour dérouler toujours la même séquence - s'étirer, faire bouger ses muscles, se dire qu'on se sent mieux et en pleine forme, et ensuite seulement, se redresser.
La tension artérielle baisse, elle aussi. Le cerveau est quasiment en déconnection, même si l'activité cérébrale ne cesse jamais. Alors, le tonus musculaire est faible et la température du corps baisse. Le corps entier est au ralenti.
Si la sieste est trop longue, la personne pourrait tomber dans un sommeil paradoxal et se réveiller encore plus fatiguée. C'est pourquoi les personnes qui font une sieste trop longtemps durant la journée se sentent souvent de mauvaise humeur ou irritées à leur réveil.
Enfin, la somnolence après le déjeuner peut être due à une baisse de notre température corporelle qui se produit naturellement entre 13h00 et 15h00. Cette baisse déclenche la libération d'une hormone appelée mélatonine, qui provoque le sommeil.
Lorsqu'on se réveille d'une sieste on se sent fatigué à cause de récepteurs appelés "adénosine" qui endorment le cerveau. Une fois dans le corps, la caféine va bloquer ces récepteurs en les empêchant de se répandre et de ralentir le cerveau.
Exercer un travail de nuit et dormir la journée entraine une désynchronisation de l'organisme synonyme d'un risque accru de survenue de maladies cardiovasculaires, de diabète ou de dépressions.
Les principales maladies en cause sont le syndrome d'apnées du sommeil, la narcolepsie, le syndrome des mouvements périodiques. Le syndrome d'apnées du sommeil est une maladie fréquente qui survient chez 4 à 6 % des adultes et également chez l'enfant.
D'autres troubles peuvent aussi être associés à la somnolence : pathologies psychiatriques comme la dépression ou les troubles bipolaires. l'obésité ou le surpoids. le diabète.