Pour amener les élèves à réfléchir, il est primordial que l'enseignant ou l'enseignante demande aux élèves de lui donner des réponses précises, détaillées, réfléchies et les aide à le faire. Plus on insistera sur ce point, meilleures seront les chances d'atteindre le but fixé.
La simple et claire relation des faits, avec tout au plus des éléments de circonstances, est largement suffisante. Dites-vous que votre document doit permettre à une commission disciplinaire de se prononcer : ne lui dictez pas ce qu'elle doit faire, mais informez-la des faits et des faits seulement.
On peut faire diversion, interpeller un autre élève, lancer une autre activité, on oriente l'attention des élèves dont celui là sur autre chose. Même quand l'extinction marche, il y a toujours des moments où le comportement réapparaît, il faut y être préparé. Souvent le comportement est renforcé par les camarades.
À un élève qui a tendance à vous répondre, vous pouvez dire : « Mathieu, je suis reconnaissant de ton honnêteté et de ta volonté à communiquer ton opinion. Comment pourrais-tu l'exprimer de façon plus respectueuse? ». À un élève actif et agité, vous pouvez dire : « Hugo, tu es très énergique.
Prends du recul sur ta pratique et sur la dynamique du groupe que tu gères. Ne pas prendre les choses personnellement ne veut pas dire que tu n'as pas la responsabilité de chercher ce que tu peux faire dans ta zone d'action. Tu peux essayer d'alléger quelque chose en lui grâce à ta présence et ton écoute.
Faites-lui entendre que vous saisissez ce qu'il ressent, sa colère ou sa frustration en lui disant par exemple : « je vois que tu es énervé ». Dialoguez avec votre enfant pour tirer la situation au clair tout en faisant preuve de fermeté.
On peut aussi mettre en place un mini contrat moral avec l'élève agité : il s'agit de lui indiquer ce qu'on attend de lui et de lui faire comprendre qu'il est tout à fait capable d'être le prochain élève à être mis en avant pour son comportement exemplaire.
Conseils pour enseigner à l'élève ayant un problème de comportement. Si possible, aménager l'environnement de façon à réduire au minimum les éléments déclencheurs. Aider l'élève à anticiper les éléments déclencheurs qui peuvent être évités. Aider l'élève à traiter les étapes de résolution d'un problème.
Il faut éviter le ton condescendant ou culpabilisant. La gentillesse est de mise. Il faut permettre à l'élève de verbaliser sa frustration et lui faire sentir qu'il reçoit de l'appui. Si on réussit à désamorcer la crise, l'élève va ainsi apprendre à contrôler ses émotions.
Il est interdit de sortir des jouets pendant la classe autrement ils seront confisqués. Il est interdit de hurler dans les oreilles des autres pendant la récréation. Il est interdit de se bagarrer à l'école, il faut aller voir un enseignant pour régler les problèmes. Il est interdit de jeter des cailloux.
Je soussigné (préciser prénom nom), salarié de l'entreprise (préciser nom) depuis (indiquer la durée), au poste de (préciser), dans le service (préciser), suis au regret de devoir vous informer que je subis quotidiennement (préciser les pressions, les remarques désobligeantes, les propos dévalorisants, les demandes ...
Établissez ainsi un premier contact personnel. Ne vous laissez pas distraire pendant ce moment, ni par des collègues, ni par des élèves. Si quelqu'un veut vous parler, faites-le attendre et finissez d'abord d'accueillir la classe. Si des élèves se mettent à parler une fois qu'ils sont dans la salle.
Pour encourager l'implication et la concentration en classe, les jeux ont fait leurs preuves. En devenant lui-même acteur de son apprentissage, l'élève développe davantage d'attention, comme le rappelle avec justesse le livre Le développement cognitif par le jeu.
L'année de CM1 peut paraitre comme étant l'année la plus difficile pour les élèves du primaire.
Les moyens les plus éprouvés pour un retour au calme sont les suivants : exercice, méditation, exprimer sa gratitude, se concentrer sur sa respiration, avoir des routines établies, passer du temps dans la nature, faire des choix cohérents, avoir un bon sommeil, ainsi qu'une alimentation équilibrée.
Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ». Pour un enfant opposant, le « non » sert souvent de déclencheur de crise.
La classe de quatrième est la classe la plus compliquée à appréhender pour les élèves au collège. Les emplois du temps sont chargés, les exigences plus fortes et le rythme soutenu. Les élèves doivent fournir un travail régulier, rigoureux et en autonomie.