La personne qui fait preuve d'autorité doit être crédible : sachez de quoi vous parlez, et donnez des ordres raisonnables… Et pas question de déroger à vos propres règles : si vous voulez qu'on suive vos directives, commencez par les appliquer à vous-mêmes.
L'autorité bienveillante, c'est la liberté dans un cadre. Elle offre la sécurité et un espace suffisant pour se développer, tout en étant respectueuse de tous. L'autorité s'incarne par le cadre, à la fois continu et évolutif, repère indispensable pour que l'enfant sache ce qu'il peut et ne peut pas faire.
Disposition d'esprit inclinant à la compréhension, à l'indulgence envers autrui.
Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ». Pour un enfant opposant, le « non » sert souvent de déclencheur de crise.
Trop souvent, l'éducation bienveillante part dans un excès de laisser-faire, de laxisme, qui en fait n'est pas bon pour les enfants, qui souffrent de ne pas avoir de cadre. Car c'est important à rappeler : le cadre est sécurisant pour les enfants.
P comme permission
C'est un équilibre à trouver pour le leader afin de construire la puissance de l'équipe et la puissance de sa propre autorité. Trop de permission donne lieu à l'anarchie, trop peu de permission peut conduire les collaborateurs à prendre peu d'initiatives par exemple.
Pour pouvoir se passer de l'autoritarisme, il faut développer son charisme. C'est essentiel pour un leader qui souhaite guider son équipe selon les règles de l'art. Le charisme est inné chez certaines personnes. Mais si vous n'avez pas eu cette chance, vous pouvez encore apprendre à le développer.
Qui use de toute l'autorité qu'il possède sans s'imposer de limite ; qui ne supporte pas la contradiction : Un directeur autoritaire.
Une faible estime de soi
Ce qui fonde l'autorité, c'est le sentiment de sa propre légitimité : savoir que l'on est en droit d'exprimer son désir, de demander, et parfois d'imposer. Lorsque cette représentation est claire, l'autorité en découle assez naturellement.
Pour rester ferme dans l'éducation des enfants, il est primordial d'établir des règles. Il s'agit de délimiter clairement les conduites autorisées et celles qui ne le sont pas. Voici quelques conseils : Les règles doivent être peu nombreuses, claires et raisonnables.
les limites mises en place ne sont pas claires pour l'enfant, l'enfant ne vit pas les limites comme une orientation fiable mais réagit par peur d'être puni, les limites sont mises en place par les parents avec beaucoup de pression, l'enfant n'apprend pas à coopérer.
il faut se lever dans la bonne humeur, même si on a dormi pas plus de trois heures, ne jamais crier, toujours comprendre et écouter, expliquer les choses calmement (même si tu l'as déjà répété 32 à peu près fois), ne pas punir, sourire, rester calme et être plein d'amour et de rayonnement.
La parentalité positive invite le parent à se mettre à la place de l'enfant pour mieux le comprendre. Cette approche amène le parent à éduquer son tout-petit en le guidant plutôt qu'en le contrôlant. Les pratiques parentales positives encouragent la réparation et la collaboration plutôt que la punition.
Un problème neurologique.
Les experts estiment que le TDAH non diagnostiqué est très souvent une cause du trouble de l'opposition. D'autres problèmes présents dès la naissance, comme un trouble du spectre de l'autisme ou le syndrome de Gilles de La Tourette, peuvent aussi être responsables du comportement de l'enfant.
Certains enfants, malgré tous nos efforts, ont un tempérament un peu plus ennuyeux et se désintéressent facilement. Ces enfants démontrent leur ennui sous différentes formes : ont tendance à tourner en rond, à vous suivre pas à pas, à déranger les autres...
Dans l'enfance, un trouble d'opposition / provocation apparaît habituellement pour l'une des raisons suivantes: L'enfant n'est pas reconnu par ses parents dans ses besoins, dans son individualité et dans sa recherche d'autonomie. L'enfant et ses parents n'ont pas réussi à établir un lien de confiance mutuelle.
Les confondre revient à mélanger un moyen et un résultat.
Au sein d'une organisation humaine, quelle qu'elle soit, la bienveillance n'est qu'un des nombreux effets d'une attitude empathique envers autrui. Toutes deux ont cependant un point commun. À l'instar de la bienveillance, l'empathie ne se décrète pas.