. Tu as moins de 18 ans, et tu es mineur(e) : tu ne peux pas décider seul(e) de là où tu vas vivre, mais tu peux être entendu(e) et ton avis compte. Il faudra passer par le Juge des Affaires Familiales (JAF) pour qu'il entende ton point de vue. Pour le contacter, il faut obligatoirement qu'une procédure soit en cours.
Le parent gardien doit donc avoir des motifs sérieux pour refuser à l'autre parent d'avoir accès à l'enfant. Le parent gardien peut prendre l'initiative de faire une demande en justice pour faire changer la garde des enfants ou faire limiter, superviser ou annuler les droits d'accès de l'autre parent.
En principe, sans l'accord de tes parents, tu ne peux pas aller vivre ailleurs. Même si tu as des problèmes importants avec tes parents, tu ne peux pas décider seul(e) de quitter ton domicile. Si tu le fais, cela peut être considéré comme une fugue. Tu devras alors t'adresser au SAJ (Service d'aide à la jeunesse).
Une question en droit de la famille et des personnes ? Vous ne pouvez pas renier vos parents. Votre héritier est votre fils pas votre famille, ce qui est déjà une chose importante. Par contre vous pouvez vous rapprocher d'un notaire pour envisager un mandat de protection futur peut-être.
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
Ce qui caractérise une mère toxique, explique Anne Laure Buffet, c'est “son attitude, ses comportements, sa personnalité et le mode d'interaction qu'elle met en place avec son enfant." Au lieu de l'aider à grandir sereinement, elle “nuit à son développement cognitif et comportemental en l'empêchant d'être autonome et ...
« Jusqu'à sa majorité (18 ans), ce sont les parents qui décident du lieu de vie de l'enfant, ou le juge aux affaires familiales s'ils ne parviennent pas à trouver un accord. Un enfant mineur ne peut donc pas décider de son lieu de résidence, mais il peut donner son avis.
Est-on obligé d'aider ses parents ou beaux-parents qui sont dans le besoin ? Les enfants ont l'obligation d'aider un parent qui n'est pas en mesure d'assurer ses besoins (manger, s'habiller, se loger, se soigner,...). On parle alors d'obligation alimentaire.
La responsabilité des enfants envers leurs parents âgés en perte d'autonomie n'est pas seulement morale, mais aussi légale et juridique. Selon le Code Civil, l'enfant doit honorer ses parents et contribuer à leur entretien en fonction de ses capacités. Cela dépend effectivement de ses ressources et de ses revenus.
Vous pouvez soumettre votre demande d'aide en vous adressant au service social. Vous pouvez également faire votre demande auprès du Centre communal d'action sociale de la mairie de l'établissement accueillant votre parent.
Vivre sans ses parents, c'est aussi gérer son emploi du temps tout seul. Et vu qu'en alternance, vous avez un planning d'entreprise, un autre à l'école, et un autre pour votre vie perso… ça en fait, des choses à retenir. Utilisez au maximum votre ordi ou votre portable pour gérer votre planning.
Ce débordement émotionnel que l'on nomme burn-out ressemble beaucoup à de la dépression. Le cerveau est saturé et en état de stress majeur et cela peut entraîner des comportements dangereux pour soi ou pour l'enfant, ou un désintérêt face à sa situation familiale. Ce n'est pas un épiphénomène.
Un parent toxique s'immisce dans la vie de son enfant, quitte à violer son intimité. Il ne se sentira jamais de trop et ne pensera pas un seul instant que son enfant peut se passer de son avis ou de ses conseils. En règle générale, un parent toxique est incapable de faire confiance à son enfant.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
Le mode de garde réduite : la résidence habituelle est fixée chez l'un des parents et l'autre a un droit de visite et d'hébergement plus réduit qu'avec le mode de garde classique (seulement la moitié des vacances scolaires par exemple).
Il est possible de saisir le JAF en urgence selon deux procédures : la saisie du JAF en la forme des référés ainsi que le référé d'heure à heure. En urgence, le recours à un avocat est fortement recommandé.
La majoration tierce personne (MTP)
Cette rémunération peut servir à payer un proche aidant et s'élève à 1 121,92 € mensuels. Cette somme n'est pas imposable et revalorisée tous les ans. Les démarches sont à réaliser auprès de sa caisse primaire d'assurance maladie (CPAM).
Les frais d'hébergement sont à la charge de la personne âgée. Si ses revenus sont insuffisants l'aide sociale peut intervenir. Mais la solidarité familiale des proches doit aussi être mise en jeu.
La personne âgée doit payer la maison de retraite ou l'EHPAD, dans la mesure du possible : C'est en priorité à la personne âgée de subvenir à ces dépenses en premier lieu.
Pour cela, il faut prévenir le conseil départemental de votre proche âgé et son service d'aide à domicile. Il faut ensuite choisir un service d'aide à domicile proche de votre domicile et en transmettre les coordonnées au conseil départemental de votre lieu d'habitation.
Entre les frères et sœurs, il n'y a qu'une obligation morale, c'est –à-dire sans impact juridique coercitif. En effet, le juge ne peut pas contraindre un frère ou une sœur, même richissime, à participer au financement de la maison de retraite de son frère ou de sa sœur.
La responsabilité d'une personne âgée dépendante
Selon la loi, une personne âgée qui devient dépendante est à la charge de sa famille et donc de ses enfants. La dépendance d'une personne âgée vient s'ajouter aux responsabilités familiales et professionnelles.
À 16 ans. Il a le droit de choisir, seul, un médecin traitant, de s'immatriculer à la sécurité sociale, d'avoir une carte vitale et d'ouvrir un dossier médical personnel. Il peut aller de lui-même à la mairie pour se recenser.
Le principe serait de partager, les parents exercent en commun l'autorité parentale et donc se répartir ces frais. L'on pourrait penser de les répartir dans une proportion aux revenus de chaque parent, cela semble équitable.
Pour des ressources de 2 800 € par mois, pour un enfant, la pension serait de 304 € ; pour deux enfants, 259 € par enfant, soit 518 € ; pour trois enfants, 225 € par enfant, soir 675 par mois. Pour faire une simulation, consultez le simulateur mis en place par le ministère de la justice.