Pour réussir à oublier un souvenir, notre premier réflexe pourrait être de ne plus y porter attention. Or, une nouvelle étude suggère plutôt l'inverse : pour oublier quelque chose, il faudrait y repenser. L'oubli serait un processus actif qui demanderait un plus grand effort mental que la création du souvenir lui-même.
Pour se libérer de l'emprise d'un souvenir pénible, il faut accepter de bouger, en prenant des initiatives personnelles. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. Passer à une vision plus positive de l'existence, c'est un travail sur soi qui nécessite quelques efforts. Les expériences négatives font partie de la vie.
Si vous y pensez, essayez d'entamer une conversation avec une autre personne. De cette façon, vous pourrez vous concentrer sur ce qu'elle dit et pas sur vos pensées. Si vous voyez cette personne tous les jours, imaginez-la dans votre tête comme une autre personne. Buvez de l'eau.
L'oubli est un élément essentiel à l'intelligence humaine car il permet de se concentrer sur ce qui est important. Une mémoire efficace ne se conçoit pas comme une accumulation de données : la conservation d'informations trop précises peut en effet s'avérer contre-productive.
L'hypermnésie (du grec huper, « avec excès », et "Μνήμης", « mémoire »), appelée également exaltation de la mémoire, se caractérise par une mémoire autobiographique extrêmement détaillée et un temps excessif consacré à se remémorer son passé pour certains et beaucoup de temps pour construire son futur pour d'autres.
Selon les chercheurs, le processus de suppression de la mémoire se situe dans le cortex préfrontal, considéré comme le « siège du contrôle des pensées ». Cette capacité à oublier serait un trait positif dans l'évolution humaine.
Penser tout le temps à quelqu'un peut avoir plusieurs significations. Il peut par exemple s'agir de l'amour, de la pitié, de la séparation ou encore de la connexion des âmes. Dans tous les cas, l'obsession nuit à la santé mentale et physique et affecte considérablement la qualité de vie.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Assumez vos défauts, faites-en des atouts, affirmez vos différences et surtout, surtout, acceptez-vous telle que vous êtes. Une meilleure estime de vous vous permettra de rebondir plus facilement en cas de malaise, et très vite, vous saurez facilement surmonter ce sentiment de honte.
Les souvenirs refoulés peuvent vous revenir de diverses façons, y compris par un déclencheur, des cauchemars, des flashbacks, des souvenirs corporels ou des symptômes somatiques. Cela peut entraîner un sentiment de déni, de honte, de culpabilité, de colère, de blessure, de tristesse, d'engourdissement, etc.
Mais pour que le cerveau efface les "bonnes informations", celles que vous ne souhaitez plus avoir en tête, il suffirait de ne penser dans la journée qu'aux choses réellement importantes pour vous, et mettre de côté les données parasites et inutiles, qui prennent de la place (pour rien) dans votre mémoire.
Évitez de la regarder dans les yeux.
En évitant de croiser le regard avec elle, vous lui montrez que vous ne voulez pas lui parler. C'est aussi une façon de lui donner l'impression que vous ne voulez pas la voir. De plus, adoptez une posture inaccessible, en baissant le menton et en détournant le regard.
Le manque d'estime de soi est souvent à l'origine de la dépendance affective. Il peut se traduire par un sentiment d'inutilité, d'échec, par un manque de confiance en soi et par des relations déséquilibrées. Les états anxieux, le repli sur soi, la dévalorisation sont alors symptomatiques du manque d'estime de soi.
Concentrez-vous aussi sur le fait de la faire venir dans le votre, de lui faire partager vos plaisirs et vos émotions. En résumé, vous devez arriver à créer un « choc émotionnel » : faites en sorte que cette personne vous trouve différent(e), vibre à vos côtés, et ait envie de découvrir de nouvelles choses avec vous.
Pour faire " sortir " les souvenirs traumatiques enfouis, le médecin psychiatre ou le psychologue pourra notamment avoir recours à l'hypnose ou à l'eye movement desensitization and reprocessing (EMDR), une thérapie brève qui repose sur des mouvements oculaires répétés.
En fait, c'est justement le stress qui est fautif : il modifie la manière dont le cerveau enregistre le souvenir sur le moment. C'est le stress qui grave nos mauvais souvenirs dans notre mémoire.
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.