Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Concentrez-vous sur votre respiration.
Cessez de vous agiter, écoutez ce qui se passe autour de vous et concentrez-vous sur votre état d'esprit et non pas sur ce que vous mourez d'envie de dire. Cette technique va vous calmer et vous fera comprendre qu'il n'est pas très important de parler.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
La tristesse est une émotion humaine naturelle. Elle est le plus souvent un état passager, bénin et sans risque. Mais si ce sentiment s'installe durablement ou s'aggrave, il est important de se confier et/ou de consulter un professionnel de santé.
Trop d'émotions, trop de pensées qui partent dans tous les sens, trop de questions, trop de sensibilité, trop d'énergie, trop d'activités. On ne vous arrête jamais, même la nuit.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Le vide, ou « vide existentiel », est une condition humaine caractérisée par un sentiment d'ennui généralisé, d'aliénation et d'apathie.
Respirez pour faire le vide dans votre tête
D'abord elle accompagne notre vie jour et nuit, heure après heure, sans que vous en ayez conscience. En l'amenant à votre conscience, en focalisant vos pensées sur elle seule, elle vous permet d'évacuer les situations stressantes en vous focalisant sur le « moment présent ».
La tachypsychie correspond à un déroulement anormalement rapide de la pensée et des associations d'idées. Elle peut être à l'origine de troubles de l'attention et de difficultés pour s'organiser.
L'isolement social et la solitude peuvent augmenter les risques de maladie du cœur, d'AVC et de décès précoce. Une étude a révélé que le fait d'être isolé socialement était associé à une augmentation de 60 à 70 % du risque de décès sur une période de sept ans.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Pour garder votre calme et votre sang froid, rien de mieux que de vous initier à des techniques de relaxation comme la méditation. Grâce au travail sur la respiration, comme la cohérence cardiaque, vous pouvez également mieux gérer les pensées négatives qui vous assaillent.