Utiliser sa voix tout simplement. Votre voix n'est pas qu'un moyen de communiquer. Lors des phases d'engagement crier permet à la fois de beaucoup mieux vous faire comprendre de vos alliés, mais aussi de surprendre et d'intimider vos adversaires. L'effet psychologique est très très fort !
Même si cela peut être considéré comme de l'anti-jeu, l'accrochage est un bon moyen de déstabiliser son adversaire, mais surtout un moyen extraordinaire pour se reposer. Accrocher un ou les deux bras de son adversaire peu l'agacer, ainsi que l'arbitre, si cela devient trop fréquent.
Pour pouvoir contrer un adversaire plus grand, utilisez vos parades chassées, elles vous permettront de créer une ouverture, et de rentrer à votre distance de frappe. Faites des parades chassées sur ses attaques, en décalant d'un ou 2 pieds d'appuis pour vous rapprocher.
Bloquez, esquivez et pendant ces enchaînements glissez 2/3 coups en contre, puis sortez de l'axe d'attaque. Il y a une solution à chaque problème, analysez la boxe de votre adversaire, et trouvez l'enchaînement ou le contre qui vous permettra de prendre l'avantage.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
La pointe du menton, la tempe et le foie
Mais si vous arrivez à les toucher, vous avez de grandes chances de mettre KO l'agresseur. Pour le coup au foie, vous pouvez y aller avec le poing fermé. Mais pour le menton et la tempe, privilégiez les frappes avec la paume de main.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Donnez un coup de tête à votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête.
La self-défense permet d'apprendre à se défendre face à une agression. Il s'agit d'une méthode de défense personnelle, adoptant des techniques de combat au corps d'origines variées. Pour n'en citer que quelques-uns, vous trouverez, par exemple, le Krav Maga (utilisé par l'armée israélienne) ou le Penchak Silat.
Pour complexifier vos arguments, posez-vous les questions « pourquoi ? » et « comment ? ». Vous connaissez probablement la réponse aux deux questions, mais elles vous aideront à bâtir un discours plus solide. Dans votre discours, vous devez organiser vos arguments afin rendre votre temps de parole persuasif.
Trouver les bons arguments pour convaincre
Un argument doit être illustré par un exemple, un chiffre, un schéma etc. Convaincre ne suffit pas pour susciter la confiance de l'auditoire, il faut aussi être suivi.
Il existent trois zones du visage à identifier pour mettre votre adversaire KO à chaque fois. Le menton, la tempe et la mâchoire du combattant que vous affronterez sont la clé du succès.
Pour vous défendre contre un agresseur, servez-vous de vos mains, votre front, vos genoux, vos coudes, pour le frapper aux yeux ou atteindre son nez, ce qui devrait vous permettre de vous enfuir. Vous pouvez aussi essayer de lui donner un coup de pied au tibia ou frapper sa rotule pour le neutraliser.
Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez. Dégainer une arme peut terminer le combat avant même qu'il n'ait commencé.
Intervenir dans la bagarre. Restez calme. Si deux personnes commencent à se battre, essayez de désamorcer la tension en ayant l'air détendu X Source de recherche . Utilisez une voix apaisante, un langage corporel pas menaçant (par exemple, gardez vos mains levées au niveau de votre poitrine) et des mouvements lents.
Je n'ose pas taper par empathie ? L'étude de Moya Albiol (3), conclut que le cortex préfrontal et temporal, l'amygdale et d'autres caractéristiques du système limbique jouent un rôle fondamental dans toutes les situations qui régulent l'agression et la violence.
Quand on arrête de se battre et qu'on accepte la situation qu'on est en train de vivre, on fait le premier pas pour la régler. Avec honnêteté, humilité et simplicité, on entre en contact avec la réalité et cela est la clef pour avancer.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.