Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement, du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite (les cinq doigts rappelant les cinq plaies du Christ sur la Croix), le front, la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.
« Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen ! » Du front à la poitrine, à l'épaule gauche à l'épaule droite, le signe de croix n'est pas un geste de piété automatique, encore moins un réflexe de superstition. Il exprime un message symbolique et existentiel venant tout droit de la Tradition biblique.
ÉCLAIRAGE - Considérant la dévotion catholique à Marie comme étant excessive, les protestants rejettent la notion d'une montée au ciel de la Vierge. Une statue de Martin Luther, un des initiateurs du protestantisme, en Allemagne.
La célébration s'achève par le rite de l'encensement du cercueil. L'assistance et les proches sont alors invités à bénir le cercueil ou à effectuer un geste d'amitié en posant une main sur le cercueil ou en faisant un signe de croix. Fréquent également, l'aspersion du cercueil avec de l'eau bénite.
INRI serait l'acronyme, dit Titulus Crucis, de l'expression latine Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm généralement traduit par : « Jésus le Nazaréen, roi des Judéens », une autre proposition, pourtant dénuée de sens dans son contexte historique initial, serait « Igne Natura Renovatur Integra » "le feu renouvelle tout dans ...
Ils veulent se sentir plus proches de leur souverain habitant dans le ciel. En revanche, comme pour une personne non chrétienne, les religieux portent la croix aussi en guise d'une main forte qui les soutiendraient à tout instant.
Il existe par exemple les croix de vie égyptiennes. Encore appelées croix ansées ou clés de vie, elles étaient autrefois utilisées par les Égyptiens comme symbole d'éternité. Aujourd'hui, ces croix de vie peuvent être portées par tous ceux qui le souhaitent sans leur attribuer un sens précis.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Les crucifix sont fréquemment utilisés dans les églises catholiques, orthodoxes et certaines églises protestantes (luthériennes et anglicanes). La majorité des églises protestantes et toutes les églises chrétiennes évangéliques utilisent uniquement la croix christique.
Le signe de la croix est une pratique de la religion catholique, réalisée au moment de la prière ou de l'office. Ce geste symbolise à la fois la trinité et la crucifixion de Jésus-Christ.
Selon certains auteurs, croix de Lorraine ou double croix désigneraient historiquement une croix dont les deux traverses sont de même longueur, au contraire de la croix patriarcale dont la traverse supérieure est plus courte. De nos jours on appelle indifféremment croix de Lorraine toute croix à deux traverses.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
Le nom correspond à la forme grecque Iêsous, de laquelle vient le français Jésus. La forme hébraïque Yeshoua (ישוע) apparaît dans les livres tardifs du Tanakh. Une fois pour Josué, fils de Noun, et 28 fois pour Josué le grand prêtre et d'autres prêtres appelés Jeshua.
Ce terme est discuté et peut venir de l'hébreu nsr qui signifie « celui qui observe [la Loi] » ou de nzr, « celui qui se consacre [à Dieu] », ou encore « rejeton » (d'Israël). Le nom de nazôréen servira par la suite à désigner un courant juif en Palestine qui croit en la messianité de Jésus.
La manipulation de l'hostie peut prendre, quant à elle, deux formes codifiées : soit le prêtre dépose l'hostie directement sur la langue du communiant (ce qu'on appelle « communier dans la bouche »), soit il la met dans l'une des mains du communiant qui la porte ensuite lui-même à sa bouche (« communier dans la main ») ...
En outre, les catholiques se signent avec la paume de la main ouverte, tandis que les orthodoxes le font avec le pouce, l'index et le majeur joints, pour représenter la sainte Trinité. Leurs deux autres doigts sont repliés contre la paume, pour symboliser la double nature, humaine et divine, du Christ.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
Vous pouvez souvent voir des croix dites gothiques («Fleuree»). Ils ressemblent à une croix dont les bras se développent comme des pétales de fleurs. Ce signe symbolise une personne chrétienne mature.
Prions ensemble : Jésus, apprends-moi à aimer comme toi. R/ Jésus, apprends-moi à aimer comme toi. Tenons cette corde jusqu'à la croix pour nous rappeler l'arrestation et l'accusation de Jésus. Arrivé à la 2e station, nous pouvons attacher et coller la corde avec du ruban adhésif pour éviter qu'elle tombe en chemin.
Un chapelet est un objet de dévotion religieuse généralement constitué de grains enfilés sur un cordon formant un cercle. Utilisé dans diverses traditions religieuses (sous des noms différents), le chapelet permet de compter, en égrenant les grains, des prières récitées de manière répétitive.