On fabrique le goudron de Norvège grâce à la carbonisation du bois. C'est-à-dire qu'il est chauffé à haute température et sans air. Au lieu de brûler, le bois est transformé en goudron végétal : il est alors liquide et très visqueux.
Le goudron de Norvège s'obtient par carbonisation du pin : une opération consistant à chauffer le bois à haute température en l'absence d'air afin de la transformer en charbon et en goudron végétal (après distillation). Le résultat est un liquide visqueux et collant de couleur noire.
Utilisés pour former les différentes couches des routes, les enrobés bitumineux sont fabriqués en chauffant un mélange de graviers et de bitume à 160 °C environ. Le bitume est utilisé comme liant à hauteur de 5 % du mélange environ.
Le pin est un conifère très riche en résine, qui donne un goudron très efficace. Ce goudron résulte de la carbonisation du bois de pin à l'abri de l'air. Ensuite par distillation, il est transformé en goudron végétal. Il est noir très foncé et extrêmement visqueux.
Le goudron est très efficace sur les poteaux enterrés et tous les bois exposés à l'humidité, il laisse respirer le support. Ce goudron est efficace contre la pourriture et les champignons.
Le goudron de pin, communément appelé goudron norvégien, est la meilleure protection pour les bois contre l'humidité. Lacq Goudron suédois est un goudron scandinave utilisé traditionnellement pour la préservation des bois immergés ou enterrés.
« L'incorporation de 20 % de verre recyclé permet de réduire d'environ 4 % l'usage du bitume, ce qui entraîne une réduction de gaz à effet de serre et des économies d'énergie », affirme le professeur Vaillancourt, qui mentionne toutefois que ces économies n'ont pas encore été quantifiées.
Produit naturel pour traiter le bois
C'est-à-dire qu'il est chauffé à haute température et sans air. Au lieu de brûler, le bois est transformé en goudron végétal : il est alors liquide et très visqueux. On trouve généralement le goudron de pin sous deux formes : épaisse ou liquide (déjà dilué).
2e étape : l'extraction du bitume
Il consiste à placer le sable bitumineux dans des centrifugeuses (tambours rotatifs) et à le mélanger avec de l'eau chaude. Le bitume se sépare du sable et se lie aux bulles d'air créant ainsi une forme de mousse contenant 65% de pétrole, 25% d'eau et 10% de solides.
Le goudron n'est plus utilisé aujourd'hui, il a été remplacé par le bitume dans les enrobés et par l'émulsion de bitume dans les enduits. Le goudron provient également de poix modifiée de résineux, en particulier le goudron de pin, issu de la distillation destructive de bois et des racines de pin.
Les sables naturels et stabilisés pour des allées naturelles
Il s'agit d'un mélange de sable et de ciment qui conserve la couleur naturelle du sable. En règle générale, les sables naturels et stabilisés offrent une meilleure résistance à l'érosion et aux agressions climatiques.
Le bitume se compose de gravier à granulométrie 0/14 ou 0/20 et de bitume dur généralement de rapport 35/50. Il est identique à celui utilisé pour la réalisation des routes et reste un des moins chers du marché. L'enrobé comprend des graviers, du sable et du goudron ou du bitume.
Le goudronnage d'un sol consiste à goudronner/poser un enrobé sur la surface d'un parking ou d'une allée, après avoir terrassé le terrain pour retirer la terre superflue puis posé éventuellement un film géotextile afin d'assurer l'étanchéité et enfin empierrer le terrain pour le stabiliser.
Du gravillonnage : le goudronnage de l'allée ou du parking se fait par l'application d'une fine couche de bitume chaud sur une couche de gravillon, puis de passer un rouleau compresseur. Cette méthode permet d'obtenir trois couleurs différentes selon l'esthétique recherchée : noir, bleu ou rouge.
Grâce à sa forte odeur, ce goudron attire efficacement les sangliers, les cerfs et les chevreuils même sur de longues distances.
La fabrication à froid consiste à malaxer des granulats, éventuellement humidifiés, avec un liant hydrocarboné mis en émulsion, ce qui le rend peu visqueux, à une température proche de la température ambiante, c'est-à-dire généralement à une température de 10 à 20 C, en moyenne voisine de 15 C.
Un enrobé à froid est un mélange de plusieurs éléments. Il est composé de granulats, de sable et de bitume. Le bitume est utilisé comme le liant. L'enrobé à froid peut être mis en œuvre à température ambiante, contrairement à l'enrobé à chaud qui nécessite une température élevée.
Le bitume est chauffé par un tube de chauffage en forme de W qui a un brûleur automatique. Pour les personnes qui cherchent à acheter un réservoir à bitume, il existe deux options. Vous pouvez opter pour un réservoir de chauffage de stockage de mazout chaud ou un réservoir de stockage à chaleur directe.
Rayons UV
Les agrégats et le sable liés par le bitume ainsi oxydé commencent alors à s'effriter et les fissures apparaissent. En s'agrandissant, elles deviennent susceptibles de laisser l'eau pénétrer sous la surface. L'asphalte devient gris lorsque le bitume dans l'asphalte est oxydé.
Huiles, lasures et peintures
Comme les autres essences, le chêne et le châtaignier nécessitent donc une protection de surface. L'huile de lin, additionnée d'un peu d'essence de térébenthine, à utiliser par temps chaud (car elle pénètre mieux), est une protection classique.
Environ 90 % du bitume produit dans le monde, essentiellement comme déchet de la production de carburant lors du raffinage du pétrole, est utilisé pour la construction routière et le BTP (trottoirs, parkings, terrasses, installations portuaires, aéroports, etc.).
Le gravillon est une protection de cette couche d'ESU sur laquelle on ne peut pas rouler car elle est collante. C'est le compactage puis le passage et la circulation routière qui va permettre aux gravillons de bien s'imbriquer en mosaïque et de boucher les trous, sur l'émulsion de bitume.
Cette technique composée de bitume pour étancher et de gravillons pour assurer l'adhérence des pneus est bien adaptée à nos routes. C'est le compactage par le passage de la circulation routière qui va assurer une bonne imbrication des gravillons gros et petits.
Pourquoi ? Pour la sécurité des coureurs. Avec les fortes chaleurs, le bitume fond sur certaines zones, principalement des virages très serrés et des courbes en descente, là où la route est dégradée et crée des coulées glissantes. Arroser ces zones permet au bitume de refroidir.