Bougez dès que possible Si vous pouvez vous lever, comme dans l'avion, faites-le le plus possible. En position debout, n'hésitez pas à stimuler vos jambes et en particulier vos mollets. L'objectif étant d'activer les muscles du mollet afin que la circulation sanguine se fasse plus facilement.
3- Les chevilles qui gonflent
Plus le vol est long, plus le sang s'accumule dans les pieds et les jambes et plus son chemin de retour vers le haut du corps se révèle compliqué. Notre solution : se dégourdir les jambes de temps en temps en marchant, même pour aller aux toilettes.
En effet, regarder loin et fixer l'horizon peut vous aider à stabiliser les signaux entre vos sens et votre oreille interne. Inclinez votre siège autant que vous le pouvez et veillez à rester le plus immobile possible.
Sinon, fermez les yeux et gardez votre tête immobile. Tenez-vous-en à des repas plus petits, évitez le café et l'alcool avant le voyage en avion. Restez hydraté en buvant beaucoup d'eau. Pour prévenir le mal de l'air, prenez GRAVOLMC environ une heure avant votre vol.
Levez-vous et marchez. Buvez beaucoup d'eau, de thé ou de boissons similaires. Exercices du pied : la flexion, l'extension et la rotation de vos chevilles activent la circulation sanguine.
Chaussettes de Contention Coton, Zig-Zag Noire
Lorsque vous faites un long voyage en avion, le port de chaussettes de contention est recommandé, car il réduit le risque de thrombose.
Si la victime s'est évanouie ou vomit au cours d'un malaise, la placer en position latérale de sécurité : le corps doit être sur le côté avec la jambe supérieure croisée pour stabiliser la personne et la bouche ouverte tournée vers le bas.
d'allonger ou de faire asseoir la personne ✔️ de surélever les jambes : cette action permet de régulariser l'afflux sanguin et de faire remonter le sang vers le cerveau ✔️
Afin de se remettre plus rapidement d'un malaise vasovagal : Asseyez-vous ou allongez-vous. Contractez les muscles des jambes et des bras pendant 30 secondes puis relâchez, pour donner une impulsion à la circulation sanguine.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
L'atmosphère moins riche en oxygène peut déclencher des maux de tête, des vertiges ou des nausées. Ces signes apparaissent quelques heures après l'atterrissage et peuvent persister plusieurs jours. Ils disparaissent généralement d'eux-mêmes avec le repos.
Les vols long-courriers peuvent favoriser le développement d'un caillot dans les veines des membres inférieurs. Pour éviter cela, les médecins recommandent de marcher régulièrement dans l'appareil.
Si marcher permet d'atténuer le problème de rétention d'eau et d'activer notre circulation sanguine, les contentions et compressions permettent d'éviter le gonflement des membres. C'est assurément un produit indispensable à emporter avec nous dans l'avion.
Les mi-bas de contention de classe 2 sont recommandés pour les passagers aériens en bonne santé. L'organisation de l'Aviation Civile Internationale (OACI) estime que près de 2,3 milliards de personnes ont pris l'avion en 20211.
Vous pouvez aussi, en position allongée, caler vos pieds contre un mur pour avoir les jambes en l'air. Le sang va alors revenir vers la tête, et les symptômes vont disparaître. Si vous assistez au malaise d'une autre personne, n'hésitez pas à la retenir pour amortir sa chute, mais ne la maintenez surtout pas debout.
Vous pouvez activer votre nerf vague, et donc stimuler le tonus parasympathique (la branche désactivante du système nerveux autonome) grâce aux exercices de respiration, aux massages, au jeûne intermittent, aux oméga-3, aux techniques de thermogenèse froid/chaud et à bien d'autres choses.
Un malaise vagal, aussi appelé syncope, se caractérise par une diminution brutale de la tension artérielle qui provoque une perte de connaissance dont la durée peut varier de plusieurs secondes à plusieurs minutes, selon les cas.
Dès qu'on le sent venir (sueurs, vue troublée, nausées), s'allonger et surélever les jambes pour aider le sang à remonter jusqu'au cerveau. Ou s'hydrater vite et beaucoup (250-500ml d'eau en 1min) pour faire remonter la tension.
Pour contrôler la pression interne et permettre à l'air interne de s'échapper, deux ou plusieurs soupapes de décharge ont été placées près de la queue de l'avion. Les soupapes sont commandées automatiquement par le système de pressurisation de l'avion.
Voyage en avion et risque de phlébite :
Que vous soyez sujet ou non à des troubles veineux, nous conseillons vivement d'opter pour des chaussettes de contention, bas ou collants de classe 2 lors d'un voyage en avion, comme le fait l'ensemble du personnel navigant des compagnies aériennes.
Le bain d'eau froide : l'eau froide a pour effet une contraction du système vasculaire superficiel, et va donc avoir de nombreux bienfaits, comme stimuler la circulation sanguine, constituant un substitut intéressant et naturel aux bas de contention.
En général, on en prescrit pour éviter de faire une phlébite, c'est-à-dire le risque que se forme un caillot de sang qui bloque la circulation sanguine dans une veine.