L'évaluation de la perte de l'autonomie s'effectue à l'aide la grille AGGIR (Autonomie, Gérontologie, Groupes Iso-Ressources). Sur la base d'observations et de questions, une équipe médico-sociale ou le médecin traitant diagnostique le degré de dépendance de la personne âgée.
En France, le principal outil pour évaluer le degré d'autonomie de la personne âgée est la grille AGGIR. Grâce à l'analyse de 10 grandes variables, elle permet de déterminer le GIR (Groupe Iso-Ressources) des personnes âgées.
La grille AGGIR est utilisée pour évaluer le niveau de perte d'autonomie d'une personne. À l'issue de l'évaluation, la personne se voit attribuer un GIR. En fonction de ce GIR, elle peut ou non bénéficier de l'APA (allocation personnalisée d'autonomie).
La grille AVQ est généralement utilisée en complément de la grille AGGIR dans la mesure du degré de perte d'autonomie et de dépendance d'une personne. Elle répertorie 6 actes de la vie quotidienne : la toilette, l'habillage, l'alimentation, la continence, le déplacement et les transferts.
Pour évaluer la perte d'autonomie : Le Médecin traitant
Le médecin traitant de la personne en perte d'autonomie doit être votre premier interlocuteur. Il vous conseillera et pourra donner une première évaluation de la perte d'autonomie.
L'équipe médico-sociale APA du conseil départemental, ou un organisme mandaté par le conseil départemental, va vous contacter pour organiser une visite d'évaluation à votre domicile. Vos proches et un médecin de votre choix peuvent être présents lors de cette visite d'évaluation.
Ces 4 stades sont la dépendance, la contre-dépendance, l'indépendance et l'interdépendance. Chacun de ces stades comporte pour la personne des besoins et des contraintes spécifiques.
- L'autonomie corporelle : l'enfant prend conscience de ses possibilités physiques, il apprend et contrôle les gestes quotidiens. - L'autonomie matérielle : gérer son matériel, le prendre, le ranger, etc. - L'autonomie spatio-temporelle : se situer dans l'espace et le temps, s'orienter.
La grille AGGIR est un outil, réglementaire, destiné à évaluer le degré de perte d'autonomie ou le degré de dépendance des personnes âgées de plus de 60 ans, dans le cadre de l'attribution de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) dans l'accomplissement de leurs actes de la vie quotidienne.
L'évaluation de la perte de l'autonomie s'effectue à l'aide la grille AGGIR (Autonomie, Gérontologie, Groupes Iso-Ressources). Sur la base d'observations et de questions, une équipe médico-sociale ou le médecin traitant diagnostique le degré de dépendance de la personne âgée.
Calculer l'autonomie de votre voiture
On divisera la capacité de la batterie (kWh) par la consommation moyenne (kWh/100 km) avant de multiplier le résultat par 100. x 100 = 200 soit 200 km d'autonomie.
Il a pour objectif de : Faire le bilan de l'accessibilité et du confort du logement et de son environnement au regard des difficultés rencontrées par la personne. De manière neutre et désintéressée : conseiller la personne quant aux travaux d'adaptation que nous préconisons pour répondre aux problématiques soulevées.
Les différents degrés d'autonomie de la grille AGGIR
Il existe 6 GIR déterminant le degré d'autonomie d'une personne âgée et le niveau d'aide dont elle a besoin. Le GIR 1 est le niveau de perte d'autonomie le plus fort et le GIR 6 le plus faible.
La grille nationale AGGIR permet de mesurer le degré de perte d'autonomie du demandeur de l'allocation personnalisée d'autonomie (APA).
Proposer des sorties et activités variées. S'aérer l'esprit, sortir de son domicile, réaliser des activités variées et nouvelles sont bénéfiques pour la personne âgée en perte d'autonomie. Le moral d'une personne qui perd progressivement son autonomie peut rapidement basculer.
Lorsque qu'un proche âgé commence à perdre son d'autonomie, il peut être souhaitable de faire un bilan professionnel de la situation. Cela permet en effet, d'une part, de cerner précisément les besoins de la personne âgée, d'autre part de prétendre, le cas échéant, à des aides financières.
Le principe d'autonomie implique la liberté et la capacité de discernement pour décider et agir. Il rencontre des limites quand une personne est hors d'état de décider pour elle-même ou lorsqu'elle exprime un choix que les dispositions légales et réglementaires interdisent.
Quand les professionnels de santé évoquent l'autonomie de la personne âgée, ils font référence à sa capacité à vivre correctement sans l'assistance d'une tierce personne. Cette notion englobe aussi bien les capacités physiques (exemples : capacités à se lever seule, à marcher, à se laver, etc.)
L'autonomie n'est pas significative d'absence de liens, bien au contraire. Une personne autonome n'est pas une personne qui décide et agit seule, mais dont le pouvoir décisionnel et les capacités d'action sont soutenus par de multiples relations (sociales, techniques, institutionnelles, symboliques…).
L'un des principes essentiels marquant le respect du consentement du patient repose sur l'autonomie laissée au patient de décider pour lui-même ce qui lui semble être adapté à ses soins. Le patient doit alors être celui qui prend la décision finale sur les questions le concernant.
Il est déterminé par un professionnel de santé qui va ainsi évaluer le niveau de dépendance de la personne âgée et la possibilité pour elle de bénéficier de l'APA. Seules les personnes dont le niveau de dépendance est évalué en GIR 1, 2, 3 ou 4 peuvent toucher l'APA.
Non, il n'y a pas de conditions de ressources à respecter pour bénéficier de l'allocation personnalisée d'autonomie (Apa). Si vous remplissez les conditions d'âge, de résidence et de perte d'autonomie, vous pouvez obtenir l'Apa quels que soient vos revenus.
Généralement, c'est cette équipe médico-sociale ou un organisme mandaté qui contacte votre parent pour convenir d'une visite d'évaluation à son domicile ou en EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes).