Des consignes fermes et sécurisantes. Lorsqu'un parent doit prendre une décision qui contrarie les envies d'un enfant, celui-ci peut râler, crier, hurler et user de tous les stratagèmes pour obtenir ce qu'il veut. Pourtant, une décision juste et ferme doit être prise à l'aide d'une première explication.
Le parent autoritaire se situe à l'opposé du permissif. Il a tendance à punir son enfant sans fournir d'explications. Il y a problème lorsque le parent fait preuve d'autorité pour répondre à ses besoins plutôt qu'à ceux de son enfant.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Pour inciter l'enfant à faire de son mieux, les parents lui imposent une éducation autoritaire. Leur but est de promouvoir son ambition et de l'aider à mener une vie couronnée de succès, voire peut-être de le modeler à leur image. Ils ignorent souvent qu'en agissant ainsi, ils font exactement le contraire.
Manquer d'autorité ou à l'inverse être trop autoritaire envers votre enfant engendrera une faible régulation des émotions. Dès le plus jeune âge, il est de votre devoir d'inculquer de vraies valeurs à votre enfant. Par exemple ; maîtriser sa jalousie, son égoïsme, cultiver la tolérance, le respect, etc.
Une faible estime de soi
Ce qui fonde l'autorité, c'est le sentiment de sa propre légitimité : savoir que l'on est en droit d'exprimer son désir, de demander, et parfois d'imposer. Lorsque cette représentation est claire, l'autorité en découle assez naturellement.
Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
La parentalité autoritaire est un style parental caractérisé par des exigences élevées et une faible réactivité. Les parents qui adoptent un style autoritaire ont des attentes très élevées à l'égard de leurs enfants, mais leur fournissent très peu de commentaires positifs et de soins.
Le style « permissif » : ce sont les parents qui offrent beaucoup de chaleur et d'affection à leur enfant, mais qui n'osent pas les encadrer et leur fixer des limites. Le style « désengagé » : ce sont les parents qui n'offrent ni l'un ni l'autre des deux facteurs à leur enfant.
Moi & les autres
Tu as déjà refusé de sortir sans demander à tes parents. Tu étais soumis à un interrogatoire régulièrement. Ton téléphone sonnait régulièrement. Tu as appris à décrypter leurs expressions.
Employez plutôt la technique très efficace du 1, 2, 3 (on ne demande les choses que 3 fois, la dernière sonnant la sanction). Elle permet de préparer l'enfant et de lui laisser le temps de se mettre en mouvement. Vous lui donnez comme ça une petite chance d'obéir.
La fermeté c'est le respect du cadre, des règles de vie, du monde de l'adulte et de ce qu'impose la situation. Etre bienveillant c'est le respect du monde de l'enfant, des étapes de son développement. Etre les 2 à la fois c'est le gage d'une autorité qui sera posée de façon juste et qui sera acceptée par l'enfant.
L'agressivité et la colère qui sous-tendent l'autoritarisme viennent d'un trop-plein d'émotions, dont il est possible de se débarrasser par une activité physique. Un bon moyen d'éviter qu'elles ne se libèrent par l'agressivité.
La première origine de notre peur de l'autorité, c'est un parent très autoritaire... un parent dominateur ou encore un parent possessif. En effet, quand nous étions enfants, nous voyions nos parents comme des « géants ».
1. Pouvoir de décider ou de commander, d'imposer ses volontés à autrui : Affermir, perdre, rétablir son autorité. 2. Secteur administratif, organisme auquel est confié un pouvoir de décision légalement défini : Autorité judiciaire, municipale.
3. Fixer des règles claires. « Dire à son enfant ce qu'on attend précisément de lui s'avère beaucoup plus efficace que de lui dire ce qu'il ne doit pas faire. Quand on demande à un enfant de ne pas faire de bêtises, ou d'être sage, il ne comprend pas nécessairement ce qu'on attend de lui.
une discipline dans un complexe d'autorité supposant l'obéissance demande très souvent les solutions de force. Cette force se manifeste à divers degrés. Elle est invisible, imperceptible et, parfois, insensible, quand le maître habile sait avoir recours, à bon escient, aux punitions et aux récompenses.
Le problème vient d'un mauvais comportement parental qui se manifeste par une mauvaise attitude chez l'enfant. Cela a un effet négatif sur la vie familiale et professionnelle de tous les membres du foyer, car les conflits dominent la famille.