Adopter le bon état d'esprit. Documentez vos hésitations. Si vous vous sentez coincé et si vous n'êtes pas capable de prendre une décision importante, écrivez sur un papier les choses qui vous retiennent. Demandez-vous si vous êtes incapable de prendre une décision parce que vous avez peur du résultat.
Faites-vous confiance
Vous ne pouvez pas savoir si la décision que vous prenez sur le moment sera meilleure ou pire que toute autre décision que vous pourrez prendre parce que vous ne pourrez qu'expérimenter le chemin que vous avez choisi.
Dans tous les cas, l'indécision est en lien avec un manque d'estime de soi. Il s'agit d'une envie irréaliste et immature de pouvoir tout contrôler, sans avoir à assumer les conséquences. L'indécis a très souvent peur d'échouer, et de renoncer à toutes les opportunités qui s'offrent à lui.
Selon la psychologue Josée Jacques, l'indécision est souvent le signe d'un manque de confiance ou d'estime de soi qui fait remettre en question son propre jugement. «Ces gens sont très sensibles à l'opinion des autres et ont besoin d'être rassurés quant à leurs choix.
Technique n° 1 : Célébrer le fait d'avoir un choix à faire
Lorsque vous devez prendre une décision importante comme arrêter de fumer, changez de regard. Plutôt que de vous apitoyer sur votre sort, soyez reconnaissant d'avoir la chance de pouvoir faire ce choix.
L'anxiété et le stress ont des effets indésirables qui peuvent court-circuiter la réalisation d'un grand nombre de tâches. Ces émotions peuvent même convertir les tâches quotidiennes les plus simples en véritable chemin de croix. Et cela inclue bien évidemment la responsabilité de prendre des décisions.
« Choisir, c'était renoncer pour toujours, pour jamais, à tout le reste, et la quantité nombreuse de ce reste demeurait préférable à n'importe quelle unité », écrit André Gide (5). Choisir, c'est nécessairement prendre un chemin à l'exclusion de tous les autres. C'est reconnaître le fait qu'on ne peut pas tout avoir.
"Concrètement, avant de vous lancer dans des démarches pour chercher une école, il faut commencer par vous demander comment vous fonctionnez, quelles sont vos motivations dans la vie, vos réalisations concrètes et ce qui vous donne envie d'avancer ou de vous investir dans un travail ou un projet...
Votre décision doit être ancrée sur des mobiles solides et sains pour être tenue. Prenez garde à vos choix. Chaque choix, petit ou grand, simple ou significatif, doit vous rapprocher du but de votre décision.
Elle consiste à peser le pour et le contre, à bien évaluer les conséquences. Ça, c'est quand on a un peu de temps (pas au café devant la face médusée du serveur, en somme). On fait deux colonnes, où on met les arguments positifs et négatifs, on regarde de quel côté pèse notre balance et le tour est joué. Next !
Une bonne décision, c'est surtout une méthode. Du coup, si ce n'est pas le résultat qui détermine la qualité d'une initiative, qu'est-ce-que c'est ? C'est tout simplement la façon dont on est arrivés à telle ou telle conclusion. C'est à dire, la méthode, le process qui ont mené à cette décision.
À partir de ces principaux modèles, trois facteurs qui influencent la prise de décision peuvent être mis en évidence : (1) l'information, (2) l'expérience et l'intuition du décideur et (3) le contexte social.
2 – Qu'est-ce qui détermine la décision ? C'est en opposant causes et raisons que l'on peut répondre à la question. Il y a les événements qui arrivent et ceux que l'on fait arriver ; les premiers ont affaire à des causes, les seconds à des raisons ou motifs.
"Jamais de ma faute" : l'origine de ce comportement
"Cette attitude témoigne d'une fragilité narcissique, d'un manque de confiance. La structure psychologique de la personne n'est pas assez solide", complète la psychologue Veronica Olivieri-Daniel.
➙ hésitant, perplexe. Qui ne sait pas prendre une décision.
Chaque jour, des choix semblables s'offrent à vous. Si vous gardez vos objectifs à l'esprit, cela vous aidera à prendre les décisions qui vous conduiront aux choses que vous voulez vraiment.