Dans les premiers temps de son existence, la Terre a connu une intense activité volcanique. L'expulsion massive de gaz vers la surface s'est ensuite soldée par la formation d'une atmosphère à très forte teneur en CO2 (gaz carbonique ou dioxyde de carbone).
Au début de l'Archéen, l'activité solaire plus faible était compensée par une atmosphère très chargée en gaz à effet de serre. La température était élevée. L'eau et le gaz carbonique étant transférés dans les océans et les carbonates, l'atmosphère restante devient progressivement constituée majoritairement d'azote.
A l'issue de cette différenciation primitive, il y a 4535 millions d'années, la Terre était donc constituée d'un noyau liquide d'environ 3400 km de diamètre, d'un manteau inférieur (1900 km d'épaisseur) et d'un manteau supérieur (océan magmatique d'environ 1000 km d'épaisseur).
Homo habilis (2,4 à 1,6 millions d'années) Il a vécu en Afrique de l'Est et en Afrique du Sud. On le considère comme le premier homme véritable en raison de la forme de son crâne et sa capacité crânienne, 600 cm3 en moyenne.
Il y a 2,5 millions d'années, Homo habilis apparait en Afrique de l'Est : c'est la première espèce humaine. Son nom veut dire “homme habile” parce qu'il fabrique des outils simples. Il y a 1,8 million d'années, un nouvel humain apparait : Homo erectus.
L'ancêtre de l'être humain est apparu sur le continent africain il y a environ 5 millions d'années : c'est l'australopithèque.
Les ancêtres de l'Homme ont pris certaines formes plus complexes, de type poisson, toutes aquatiques, formes dont les expressions les plus complexes ressemblaient aux poissons osseux actuels.
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.
L'origine de l'Homme a été ainsi promenée d'un continent à l'autre jusqu'à sa fixation en Afrique tropicale. Soixante années de recherches internationales dans cette région ont permis de dessiner un arbre phylogénétique de l'Homme depuis environ 10 millions d'années, avec un grand nombre de ses branches.
En 2013, le linguiste américain Andrew Byrd, de l'université du Kentucky, a enregistré un texte dans une langue qui pourrait avoir été parlée en Europe il y a 4 000 à 6 000 ans, en s'appuyant sur les plus anciennes traces de sanskrit, de latin et de grec (soundcloud.com/archaeologymag).
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
Les premières formes de vie qui ont peuplé la terre sont apparues dans l'eau, il y a 3,5 milliards d'années, Curio ! C'étaient des bactéries composées d'une seule cellule. Elles se sont peu à peu développées pour se transformer en êtres multicellulaires avec un noyau contenant leur ADN.
Il s'appelle Toumaï ! Du haut de ses 7 millions d'années, c'est lui qui détient aujourd'hui le titre de doyen de l'humanité. Son crâne a été mis au jour lors de fouilles, en 2001, au Tchad, un pays situé au centre de l'Afrique.
Il y a -258 millions d'années, soit 28 millions d'années avant l'apparition des dinos, de redoutables reptiles carnivores commencent à régner sur notre planète. Ce sont les gorgonops. Des centaines de siècles passent et les gorgonops se multiplient, se diversifient, grossissent, grandissent.
La terre et l'eau ne forment donc qu'une seule et même sphère qui reçoit le nom de "globe terraqué", remplacé ensuite par "globe terrestre". Kepler (1571-1630), en 1618, confirme ces propos.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Au 26 septembre 2022, l'homme le plus grand vivant est officiellement Sultan Kösen avec 2,51 m. Le titre d'homme le plus grand du monde étant attractif, le Livre Guinness des records a resserré les règles dans la prise des mesures depuis que Leonid Stadnyk a refusé d'être mesuré par un autre médecin que le sien.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
C'est l'hippotame.
Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour. Il ordonne progressivement sa création pour y installer l'Adam, un mâle et une femelle qu'il a créés à son image afin de régner sur sa création.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie.
Les hommes et les singes ont un ancêtre commun, le plus ancien hominidé connu aujourd'hui est Toumaï (7 millions d'années).
Bonobo, orang-outan, chimpanzé sont tous nos cousins plus ou moins proches. Les bonobos partagent 95 % de notre patrimoine ADN, les chimpanzés communs plus de 96 %. Une étude américaine sur les mutations a confirmé que le chimpanzé est plus proche de l'Homme que des autres singes.
On peut y voir également que le dernier ancêtre commun entre la lignée humaine et la lignée des bonobos et des chimpanzés, avec qui nous partageons aujourd'hui 98,5 % de nos gènes, remonterait à environ 8 millions d'années.