Peut être du fait du frottement de deux morceaux morceaux de bois. Le “briquet” originel a environ 35.000 ans. Il s'agissait de nodules de sulfure de fer qui, percutés sur une roche dure, produisaient des étincelles permettant d'allumer un foyer.
Le feu est un phénomène naturel ; dans la nature, il peut résulter de la foudre ou de la fermentation (production de gaz inflammables et de chaleur).
L'obtention d'une flamme est conditionnée par la présence de trois éléments : un combustible (qui alimente le feu) comme le bois, des herbes sèches… un comburant (qui se combine au combustible) comme l'oxygène, un apport d'énergie pour démarrer la réaction chimique.
La découverte du feu est un tournant majeur dans l'Histoire de l'humanité. Difficile à dater, elle s'est faite de manière progressive à plusieurs endroits à la fois. On sait qu'Homo erectus le domestiquait vers 400.000 ans avant notre ère, et qu'Homo sapiens a développé son usage.
La maîtrise du feu se situe probablement vers — 450 000 ans. En Europe, des foyers ont été notamment clairement identifiés à Terra Amata (Nice, vers — 350 000 ans) et à Menez Dregan (baie d'Audierne, datation discutée entre — 450 000 et — 250 000 ans).
À l'origine d'un feu, il y a une réaction chimique de combustion entre le combustible (l'élément en feu) et le comburant (l'oxygène de l'air). Les atomes des molécules qui composent le combustible et l'oxygène de l'air, se réarrangent, et libèrent l'énergie dont elles n'ont plus besoin sous forme de chaleur.
Source de lumière et de chaleur, élément purificateur, le feu permet aux hommes de se chauffer, de cuire leurs aliments, de s'éclairer, de forger les métaux…
En Europe, plusieurs sites bien attestés ont été identifiés à partir d'environ 400 000 ans. Le plus ancien allume-feu connu, datant de 400 000 ans, est attesté par un nodule ferreux percuté par un silex trouvé sur le site de Menez Dregan, dans le Finistère, en France.
Légende vivante en Amérique du Sud, l'hédoniste et visionnaire chef argentin s'installe près d'Aix-en-Provence.
On emploie des lames de fer aux extrémités recourbées. On passait deux doigts dans les boucles de la lame et on frappait sur un silex jusqu'à ce que des étincelles enflamment l'étoupe.
Le silex ? Ce minéral peut bien être utilisé pour allumer un feu, mais à condition d'être frotté à une autre pierre contenant du sulfure de fer, comme la pyrite ou la marcassite.
Le silex est aussi appelé « pierre à feu ». La raison est simple, elle servait à allumer le feu dès la préhistoire. Son utilisation n'a jamais cessé dans l'Histoire des hommes si bien que les premiers briquets, au 16e siècle, employaient ces petits cailloux pour générer des étincelles.
Allumer un feu par friction consiste à frotter deux bouts de bois les uns contre les autres. Peu à peu, force de patience, le frottement va créer une braise qui va aider à embraser les copeaux de bois/petites brindilles.
La couleur rouge/orange est issue de l'échauffement et non de la combustion : tout corps chauffé à une certaine température émet un rayonnement de longueur d'onde directement lié à la température, ici : du rouge/orange. Le corps humain ayant une température de 37°C, émet un rayonnement dans l'infrarouge à 10 µm.
La couleur bleue de la base vient du fait que cette partie de la flamme est mieux oxygénée, étant en contact direct avec l'air frais et n'est pas « polluée » par les produits de la combustion. La température y est d'environ 1 200 degrés.
La présence de sodium donnera une couleur jaune aux flammes, le cuivre et le zinc produiront du bleu, le baryum du vert. C'est le même principe qui régit les couleurs dans les feux d'artifice.
Les Flammes bleues caractéristiques d'Azula symbolisent la puissance qu'elle possède et qu'elle a constamment cherché à augmenter. Son apathie représente également sa capacité à créer et de la foudre.
Pour faire du feu au Moyen Âge, on utilisait tout simplement un briquet. Attention, il ne s'agissait pas de briquets comme tu peux en voir aujourd'hui qui produisent une flamme sur une simple pression du pouce.
Le feu, tel qu'on se le représente habituellement, est constitué de gaz et de poussières (des particules à base de carbone, en particulier) qui émettent de la lumière visible. Le fait que le feu dégage de l'énergie thermique (de la "chaleur") montre que le feu émet aussi de la lumière invisible "infrarouge".
C'était il y a un million d'années, dans une caverne d'Afrique du Sud. Le premier à se réchauffer au coin du feu fut un Homo erectus, l'un de nos plus anciens ancêtres bipèdes.
À quelle vitesse les feux peuvent-ils se propager ? Lieutenant-colonel Michel Persoglio : C'est très variable, mais on considère qu'un feu de forêt se développe à 3 % de la vitesse du vent. Si le vent souffle à 100 km/h, le feu se déplace à 3 km/h.
Extincteur à CO2 : pour feux de classes B et E
En baissant drastiquement le taux d'oxygène dans l'air, le gaz contenu dans l'extincteur CO2 (très souvent du dioxyde de carbone) étouffe le feu.
L'eau est le moyen d'extinction le plus répandu, mais il y a aussi d'autres procédés encore méconnus du grand public. La première technique qui est la suppression du combustible est la plus utilisée. Celle-ci consiste à éliminer les végétaux et leur litière au préalable de l'incendie sur une bande.
Un incendie est un feu non maîtrisé, ni dans le temps, ni dans l'espace. La caractéristique d'un incendie est de pouvoir s'étendre rapidement et d'occasionner des dégâts généralement importants.