Le kérosène est un mélange complexe d'hydrocarbures obtenus par distillation du pétrole brut. Ces hydrocarbures ont un nombre de carbone compris majoritairement entre 9 et 16 (C9 et C16) et possèdent un point d'ébullition compris entre 175 °C et 325 °C (347 °F et 617 °F).
Le kérosène est un produit pétrolier issu du raffinage du pétrole brut. Il fait partie des coupes moyennes, comme le gazole, qui sont extraites du pétrole brut lorsque celui-ci est soumis à une distillation atmosphérique. Sa qualité est améliorée par différents traitements visant notamment à en extraire le soufre.
Le kérosène est plus léger que le diesel, mais plus lourd que l'essence. En raison de ses conditions d'utilisation extrêmes à haute altitude (températures et pression de l'air faibles), il doit respecter des exigences de qualité particulièrement strictes.
Le prix d'un plein de kérosène varie grandement en fonction des appareils et des vols, mais un litre de kérosène coûte en moyenne 0,5 euro en France sur les cinq dernières années selon les chiffres fournis par Index Mundi.
L'aéroport de Beauvais, tout comme les aéroports de Roissy et Orly, sont approvisionnés par la Compagnie industrielle maritime du Havre. Les aéroports parisiens reçoivent le kérosène par oléoducs, celui de Beauvais par camions.
Détection du kérosène : ou alcool isopropylique, est un liquide clair et incolore qui dégage une odeur proche de l'acétone.
En Occident, c'est le physicien et géologue canadien Abraham Gesner qui a effectué en 1846 la première démonstration publique d'un liquide d'éclairage qu'il nomme « kérosène », du grec κηρός / kêrós, « cire ».
Le kérosène a des applications dans les milieux industriels et domestiques. Ce produit est utilisé principalement comme : combustible pour l'éclairage (lampes et torches), le chauffage et les appareils de cuisine. carburant pour l'aviation.
Capacité maxi de carburant : 26 000 litres de kérosène répartis en 3 réservoirs : 1 dans chaque aile de 4 900 litres, et 1 dans le fuselage de 16 200 litres au niveau de l'emplanture des ailes, ce qui représente 20 tonnes de carburant. Vitesse de croisière : 955 km/h – altitude maximum 12 500 mètres.
Oui, les réacteurs et turbo propulseurs sont à combustion interne et brûlent du kérosène. Le kérosène est proche du Diesel, il serait utilisable dans un moteur Diesel moyennant une architecture adaptée (rapport volumétrique, pression des injecteurs, pression du turbo).
Un véhicule diesel peut-il rouler au fioul ? Cependant, d'un point de vue strictement technique, un moteur diesel peut fonctionner au fioul. "Il n'y a pas de contre-indication technique", confirme un mécanicien interrogé à ce sujet. La contre-indication, en effet, relève du droit : il est interdit de rouler au fioul.
L'erreur de carburant peut alors endommager le moteur, notamment la pompe à injection. Dans ce cas, il faut absolument vidanger le moteur. Bon à savoir : Selon les cas de figure, une analyse complète du véhicule n'est pas à exclure. Avec un impact sur le prix de la réparation de l'erreur de carburant.
Pourquoi ces délestages ? C'est une question de sécurité pour l'avion et ses passagers. Ces opérations n'ont en général lieu que lorsqu'un avion long courrier (donc lourd) doit rebrousser chemin peu après le décollage.
Le Kérosène est un mélange d'hydrocarbures saturés que l'on appelle les alcanes. Ce carburant est donc légèrement moins gras que les autres et ne gèle pas avant -47 car il contient un additif anti givrage. Ce carburant a aussi été choisi pour faire voler les avions à réaction car il est moins cher que les autres.
Dans certaines conditions météorologiques (humidité de l'air élevée), les avions volant à basse altitude laissent des traînées de condensation qui se forment au-dessus et aux extrémités des ailes. Des observateurs prennent parfois ce phénomène pour un largage de carburant, alors que ce n'est que de la vapeur d'eau.
Dans l'univers de l'aviation de loisirs, on distingue trois principaux carburants, l'AVGAS 100LL pour les avions à moteur à pistons, l'AVGAS UL pour les avions ultra-légers, et le JET A-1, kérosène qui convient à la plupart des avions à réacteurs.
Le pétrole lampant - type C (combustible), appelé aussi "pétrole blanc", est utilisé notamment dans des poêles à pétrole (souvent utilisés comme chauffage d'appoint). Il est interdit pour des applications routières (voitures et camions diesel).
Point d'éclair: 52°C c.c.
Nous aimons sentir nos pets car leur odeur nous renseigne inconsciemment sur notre état de santé et nous sommes programmés pour aller chercher cette information en reniflant. Tous ceux qui picolent de temps en temps savent qu'un pet de lendemain de fête est un pet qui fouette, comme dit le proverbe.
C'est sans doute dû à un très vieux réflexe acquis alors que nos anciens avaient parfois un peu de mal à se nourrir : la pluie, c'est signe de pousse des plantes, de bonnes récoltes et d'animaux plus nombreux. Cette odeur augurait donc celle, plus lointaine, du repas à venir.
La “bonne odeur” des hydrocarbures aromatiques
Si ces effluves nous attirent autant c'est parce qu'elles miment des parfums agréables. Ce qui nous plaît dans l'essence, le marqueur ou encore la voiture neuve, ce sont les hydrocarbures aromatiques. On dit qu'ils sont aromatiques car ces molécules ont une odeur douce.
Les principaux produits utilisés comme combustibles et carburants sont l'essence, le kérosène, les carburéacteurs, les gaz de pétrole liquéfiés, les carburants diesel, le mazout et les résidus de raffinage.
Treize réservoirs contenant au total 95,8 t47 de kérosène, soit environ 119 500 L (densité 0,8) permettent d'alimenter les réacteurs. Ces réservoirs sont répartis dans les ailes, dans le cône de queue derrière la soute à bagage et dans le fuselage en partie basse en avant des trains d'atterrissage principaux.