D'après les auteurs, les souvenirs font appel à des processus variés. On pourrait donc en éliminer certains sans endommager la mémoire dans son ensemble. Si ces expériences étaient confirmées, cette technique pourrait alors s'avérer prometteuse pour traiter le stress posttraumatique ou les addictions à des produits.
Pour réussir à oublier un souvenir, notre premier réflexe pourrait être de ne plus y porter attention. Or, une nouvelle étude suggère plutôt l'inverse : pour oublier quelque chose, il faudrait y repenser. L'oubli serait un processus actif qui demanderait un plus grand effort mental que la création du souvenir lui-même.
Si vous y pensez, essayez d'entamer une conversation avec une autre personne. De cette façon, vous pourrez vous concentrer sur ce qu'elle dit et pas sur vos pensées. Si vous voyez cette personne tous les jours, imaginez-la dans votre tête comme une autre personne. Buvez de l'eau.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Ces chercheurs de l'Institut de technologie de Californie (Caltech) révèlent le secret de cette stabilité : les souvenirs « forts » ont été codés par plusieurs équipes de neurones qui travaillent ensemble de manière synchrone, ce qui leur confère une redondance ou une démultiplication qui leur permet de perdurer dans ...
Selon l'étude de chercheurs américains de l'université de Virginie, publiée dans la revue scientifique Nature Neuroscience, un médicament, le fingolimod, peut faire disparaître de notre mémoire certains événements traumatisants en bloquant une protéine qui sert à former un souvenir dans le cerveau.
L'hypnose peut causer une amnésie temporaire, mais elle ne peut pas effacer les souvenirs de façon permanente. L'amnésie peut se produire spontanément (c'est-à-dire sans la suggestion de l'hypnothérapeute) pendant les états les plus profonds de l'hypnose.
Il s'agit de la mémoire épisodique. Située dans l'hippocampe, cette dernière «traite tous les souvenirs personnels importants pour nous, explique le Pr Dubois. Ces souvenirs ne nous reviennent qu'à la perception d'une odeur ou à la vue de quelque chose».
Des études basées sur des entretiens avec des adultes ont déjà suggéré que les tout premiers souvenirs remontent à l'âge d'environ 3 ans chez la plupart des adultes. Freud a le premier évoqué le concept d'amnésie de l'enfance, suggérant que les enfants sont incapables alors de traduire ces souvenirs en images verbales.
Adoptez un mantra que vous pouvez vous répéter lorsque vos pensées dérivent vers des idées auxquelles vous ne voulez pas penser. Par exemple, vous pourriez vous dire « Je suis ici » ou « Je suis en vie ». Dites-vous quelque chose qui vous enracine dans le présent.
Selon les chercheurs, le processus de suppression de la mémoire se situe dans le cortex préfrontal, considéré comme le « siège du contrôle des pensées ». Cette capacité à oublier serait un trait positif dans l'évolution humaine.
Et elles peuvent apparaître bien plus tard : avec des flashbacks, un ressenti des mêmes douleurs, insécurités, angoisses… Si vous avez des reviviscences, vous souffrez peut-être d'un état de stress post-traumatique. Ce sont des indices concrets d'une mémoire « piégée »…
Être attentif à ses besoins dans le moment présent est une clé essentielle pour ceux qui veulent retrouver l'amour d'eux-mêmes.» Le recours à la création permet de manière indirecte de tisser encore plus fortement cette connexion à soi-même: parmi tant d'autres, des artistes comme Hervé Bazin, Marilyn Monroe ou Michel ...
La réactivation est émotionnelle (ex : peur), corporelle (ex : boule dans le ventre) et surtout identique au passé. Ces ressentis étant enregistrés en mémoire traumatique, lorsqu'ils se réactivent, c'est la panique pour le cerveau…
Pour faire face à nos émotions perturbatrices, nous pouvons avoir recours à plusieurs moyens : l'exercice physique, la relaxation, le yoga, la méditation zen... Bref, les outils ne manquent pas ! Mais, nous avons souvent besoin de réagir sur le coup d'une émotion.