Alors, on écrit penses-y. Ce S n'a pas d'existence grammaticale, et s'emploie selon la formule « par raison d'euphonie ».
Les ouvrages de grammaire nous l'affirment : le verbe « pouvoir » n'a pas d'impératif. En principe, il est vrai qu'on ne peut pas ordonner à quelqu'un de pouvoir. Cependant, l'impératif est également employé (en dehors de l'ordre et de l'interdiction) pour exprimer une prière ou un conseil.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
On dit toujours penser à(quelque chose ou quelqu'un) s'il s'agit du verbe. "J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Mais quand on veut demander l'opinion d'une personne, on doit mettre le pronom EN : “Tu EN penses quoi ?” Parce que dans ce cas-là, le verbe PENSER est suivi d'une préposition qui est DE. Tu penses quoi DE ce film, par exemple. – Donc on peut aussi dire : Qu'est-ce que tu en penses ? Ou : Qu'en penses-tu ?
L'impératif des verbes avoir, être, savoir, vouloir est formé sur leur subjonctif présent : aie ; sois ; sache ; veuille. Quand le verbe à l'impératif est suivi d'un pronom personnel, on met un trait d'union entre le verbe et le pronom. Aide-moi, s'il te plaît. Donne-le-lui.
L'impératif présent ne se conjugue qu'à trois personnes : la deuxième personne du singulier (tu) et les deux premières du pluriel (nous et vous). Il n'est jamais précédé d'un sujet.
L'impératif présent est utilisé pour exprimer un ordre. Il se termine par un point d'exclamation et ne se conjugue qu'à trois personnes: la 2e personne du singulier (tu), la 1e personne du pluriel (nous) et la 2e personne du pluriel (vous).
La réponse simple. On écrit « profite bien ».
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
Le verbe pouvoir prend 2 r au futur et au présent du conditionnel mais à la différence de courir et de mourir, on n'en prononce qu'un seul. "Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire.
La concentration est à son comble et vous publiez : « Passes une bonne journée, ma chère amie ! » Vous venez de vous rappeler que « 2ème personne du singulier » = S !
Passe une bonne journée !
Règle : la conjugaison du verbe souhaiter au présent de l'indicatif et à la première personne du singulier est je vous souhaite sans -s. Cette conjugaison est régulière et suit la règle de conjugaison des verbes du premier groupe (verbes dont l'infinitif finit en -er).
Les temps de l'impératif
On retrouve dans ce mode deux temps : le présent et le passé. L'impératif présent sert à exprimer un ordre, un souhait ou un conseil. L'impératif passé est très peu utilisé.
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles.
Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne.
On écrit tu me diras avec un s à la fin.
Il faut écrire : Sa présentation est si confuse qu'on ne sait qu'en penser. Peut-on décomposer « quand » en « que en » ? Oui (« Sa présentation est si confuse qu'on ne sait que en penser »). » On écrit donc « qu'en », et non « quand ».