En phonétique, on appelle le son [j] le yod. Pour prononcer ce son, dîtes rapidement « i e i e i e i e i e », vous finirez par entendre le son [j] de cette manière !
Il y a 3 manières d'écrire le son [ʒ] : – avec la lettre « j » devant toutes les voyelles en début ou milieu de mots. – avec la lettre « g » devant les voyelles e (e, é, è, ê), i, y. – avec les lettres « ge » devant les voyelles a, o, u.
le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Prononciation. En français, J est une consonne fricative se prononçant [ʒ], comme dans « joue » ou « jardin ». Elle se prononce parfois [d͡ʒ] dans des mots empruntés à l'anglais tels que « jet-ski » ou « jazz ».
On met un point sur le j, excepté quand il est majuscule : Junon, Janus. Le j ne se redouble jamais ; il ne se trouve jamais ni avant une consonne ni à la fin d'un mot ni avant la voyelle i, si ce n'est par élision, comme dans : j'ignore, j'irai.
C'est au grammairien lyonnais Meigret, qui publia en 1542 un Traité de l'écriture française, et qui avait en vue une notation phonétique plus exacte, qu'on attribue la distinction de l'i et du j.
Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ]. Devant les voyelles a, o et u, le g se prononce [g]. On obtient le son [g] en ajoutant un u entre le g et les voyelles e ou i. Devant toutes les consonnes, g se prononce [g], sauf devant le n, le g se prononce [ɲ].
C'est en début de mot que se trouvent le plus souvent les j : jour, jeune, jeu, juin. Mais, en début de mot, on trouve aussi des g prononcés [Ʒ] ; seulement, ils précèdent nécessairement un e, un i ou un y : geste, géopolitique, gendre, girouette, gymnase.
Après les voyelles a, e, u, le groupement 'ill' se prononce 'ye'. On n'entend pas le 'i'. Fine tranche de pain que l'on trempe dans les œufs à la coque.
Le G ou J( Jota ) se prononce comme le r Français du mot reviens. On gratte un peu le fond de la gorge.
Comment écrire en phonétique
La plupart des phonèmes sont représentés par des lettres de notre alphabet latin. Il contient également des lettres de l'alphabet grec (alpha, epsilon) et des signes particuliers (o barré, o ouvert, h culbuté, schwa).
Deux mots ont la lettre « q » à la fin et n'ont pas besoin d'un « u ». Il s'agit de coq et de cinq. Le pluriel de coq est avec un « s » : des coqs. Quant aux mots dérivés, ils reprennent un « u » lorsque le « q » n'est plus la lettre finale.
Autrement connue pour sa vie épistolaire agitée (elle entretenait des relations orageuses avec le jeune Benjamin Constant), la femme de lettres est passée à la postérité pour son écriture romantique et son œuvre éclairante. Son nom «Staël» doit être prononcé à la française: «Stale».
La lettre 'G' se lit G devant a, o, u, donc ga, go, gu, gou, gan, ........ Devant e, i, y, elle se lit (J) donc ge, gi, gy,...
L'enfant confond les sons qui se ressemblent comme les lettres "t" et "d", le "p" et le "b" ou encore le "f" et le "v" ; L'enfant confond les écritures qui sont proches telles que "m" et "n", "b" et "d" ainsi que "ou" et "on" ; L'enfant éprouve des difficultés dans la fusion des sons et des syllabes.
S'il est suivi d'un 'o', d'un 'a' ou d'un 'u' et que l'on veuille le son 'je' alors il faut intercaler un 'e' entre le 'g' et la voyelle qui suit. II- Soit le 'g' se prononce 'gue'. Si la voyelle 'i' ou 'e' se trouve après 'g' et que l'on veuille faire le son 'gu', on intercale un 'u'.
Le son [ɲ] s'écrit avec les lettres gn comme dans le mot montagne.
Au 16e siècle, comme on l'indique Marc-Alain Ouaknin dans son ouvrage "Le mystère de l'alphabet" http://data.rero.ch/01-R218087760, c'est sous l'influence de Pierre de La Ramée que le J c'est scindé du I. « Le J se prononçait comme un Y, puis s'est transformé en son « g » selon sa place dans le mot.
La lettre j n'existait pas non plus, le u et le v étaient une seule et même lettre.
Dans ce sens strict, c'est l'alphabet grec, issu du phénicien, qui serait le premier alphabet. L'alphabet latin, le plus largement employé de nos jours, provient directement du grec (via Cumes et les étrusques).