On écrit : c'est toi qui vois. On accorde le verbe « voir » à la deuxième personne du singulier (« vois »), parce que le sujet de la phrase, « toi » (un pronom tonique), est la deuxième personne du singulier (il remplace « tu »).
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Le verbe s'accorde normalement avec son sujet, pour le trouver on pose la question « Qui est-ce qui a(s) raison ? » : toi. On accorde donc à la deuxième personne du singulier : C'est toi qui as raison.
Il faut écrire : Toi qui es le plus âgé, dis-nous ce qu'il convient de faire. Le verbe « être » doit ici être conjugué à la deuxième (et non à la troisième) personne du singulier, son sujet, le pronom relatif « qui », reprenant le pronom « toi » (et non « lui »).
Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
Après c'est moi, toi, lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. C'est moi qui ai raison → moi, j'ai raison. C'est nous qui partirons → nous, nous partirons. Dans l'expression je suis (tu es, elle est, etc.) de ceux qui, on accorde avec ceux.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
« Qui » reprend un mot qui le précède, le pronom personnel « moi ». On dit que « moi » est l'antécédent de « qui ». Dans ce cas, le verbe doit s'accorder avec l'antécédent.
On écrit : « merci de t'en être occupée » (si l'on s'adresse à une femme). Cette construction correspond à un infinitif passé (il permet ici d'indiquer qu'une action est accomplie) C'est une forme composée qui consiste à employer l'auxiliaire être ou avoir à l'infinitif avec le participe passé d'un verbe.
Réponse : « C'est moi qui le dis. » L'accord du verbe se fait avec moi. Règle : quand le sujet est le pronom relatif qui, le verbe s'accorde en personne et en nombre avec l'antécédent de ce pronom (moi : 1re personne du singulier).
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
Le verbe être est ici à l'imparfait (puisqu'il est modifié par le changement de temps ou de personne). Comme son sujet est Alceste, il est à la 3e personne du singulier et doit s'écrire était.
Lorsque le verbe est utilisé avec le pronom relatif qui comme sujet, le verbe s'accorde avec l'antécédent (c'est-à-dire l'élément remplacé) du pronom relatif. Ce sont ces filles qui étaient parties avant la cloche.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
Cette formulation est plutôt enfantine, avec la répétition du pronom "qui". La formule vise à désigner une personne, en insistant sur cette dernière, et parfois à rappeler que cette personne a un ascendant sur une autre.
"ses" est l'adjectif possessif, pluriel de "son", "sa". "ces" est l'adjectif démonstratif, pluriel de "ce", "cet", "cette". On écrit "c'" quand on peut le remplacer par "cela".
On écrit « c'est » avec un -c quand... : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme "ces" et "ses", « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
Il est bien rare de croiser cette expression correctement orthographiée. Parmi les erreurs courantes : "moi qui ais", "moi qui ait" ou pire (car on emploie le verbe être au lieu d'avoir !) "moi qui es", "moi qui est". Or, la seule orthographe valable est "moi qui ai".