1.3.9 Dire qu'on n'aime pas quelque chose ou quelqu'un Je déteste [+nom/infinitif]. Je n'aime pas [+nom]. C'est/Ce n'est pas [+adjectif/ adverbe].
- Et si on n'aime pas quelque chose, du moins négatif ou plus négatif, on va dire… ? - Oui, on va dire : « je n'aime pas ». Après, on va dire : « je n'aime pas du tout ». Et après, on va dire : « je déteste ». - Et évidemment, on peut aussi utiliser des adjectifs : « c'est minable » ; « c'est horrible »…
Une autre expression, c'est Ça craint. Ça n'a ici rien à voir avec le verbe craindre – craindre veut dire avoir peur. Ici, quand on dit « ça craint », ça n'a rien à voir. Si on dit « ça craint », ça veut dire « c'est déplaisant, ça ne me plaît pas, je n'aime pas. » C'est plus ou moins un synonyme de c'est nul.
On doit donc dire : "Aucun problème", "Très bien", "C'est entendu", "Pas d'objection", "Cela ne pose pas de difficulté" ou "Ne vous inquiétez pas".
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Le mot « ça » : -il peut être remplacé par « cela ». Il n'avait pas de frère mais ça ne le dérangeait pas. Il n'avait pas de frère mais cela ne le dérangeait pas. Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis.
La formule de politesse la plus connue, employée en réponse à “merci”, est “de rien”. C'est la locution la plus basique.
Langage familier : Ce n'est rien. Ce n'est pas grave. Langage poli : Il n'y a pas de mal ! Ne vous en faites pas !
Exemple de phrases assertives
Oui, j'ai du temps la semaine prochaine, mais pas assez pour prendre ce projet. Peux-tu m'expliciter ton propos pour que je comprenne vraiment ce que tu essaies de dire ? Je comprends ce que tu veux dire, mais je ne suis pas d'accord.
Si on est en désaccord avec cette affirmation, on peut dire “je ne suis absolument pas d'accord avec toi” ou “je ne suis pas du tout d'accord avec toi“. Pour nuancer davantage le propos sans être aussi catégorique, on peut répondre “je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi” ou bien “je n'en suis pas sûr/certain“.
C'est le droit de s'affirmer !
En fait, dire les choses ne consiste en rien d'autre qu'à s'affirmer, c'est-à-dire à se comporter en nous respectant tel que nous sommes, si possible en toute situation. C'est vrai, exprimer son avis, son désaccord ou encore son accord n'est pas toujours chose facile, et pour cause !
Formule de politesse qui s'utilise pour répondre à un remerciement. La personne qui est venue en aide et qui se voit remercier exprime ainsi que son aide était naturelle et que cela ne lui a pas coûté beaucoup. Exemple : Un petit chien de rien du tout.
– Du coup : « La réunion a été annulée, on fait quoi du coup ? » Eh bien, on commence par remplacer cette expression un tantinet agaçante par ces nombreux équivalents : donc, de ce fait, en conséquence, par conséquent, voire subséquemment !
Synonyme : en abrégé, brièvement, laconiquement, en raccourci, rapidement, en résumé, sommairement, en substance, succinctement. – Familier : en un mot comme en cent, en un mot comme en mille, en un mot.
Utiliser des pronoms
Dans un second temps, vous pouvez utiliser des pronoms pour remplacer les noms répétés. Vous pouvez utiliser les pronoms personnels (il, elle,…), les pronoms compléments (le, la, en , y,…), les pronoms possessifs (sa, son,…), les pronoms démonstratifs (celui-ci, celle-ci), etc.
...les «euh» à tout bout de champ
Cette onomatopée jaillit sans prévenir, entre les mots. «Elle peut être interprétée comme un manque de confiance en vous, une agitation intérieure, souligne Bernard Sananès, directeur de l'organisme de formation Clere et auteur de La Communication efficace (Dunod).
Véritable caméléon de la langue française, le mot «voilà» n'en reste pas moins aujourd'hui soumis à des règles. La préposition sert à la fois «à présenter ce qui est éloigné ou ce qui est passé et “voici“, ce qui est proche ou à venir» mais aussi «à présenter une personne», explique l'Académie française.