JOLI -E, -MENT KOANT, (fig.) BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.)
KOANTENN & bih. -IG b. -ed jolie fille.
BONHEUR ERUSTED f. (chance) EURVAD f., BONEUR m. -ioù.
Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur. Ma boudig koant : Ma jolie fée.
Le mignon est moutic, c'est obligé
Il ajoute que mignen, en breton, a autant de sens que mignon.
CALIN CÂLIN : -E CHERISUS, var. CHERAPL CHERUSNOILH(IG) parf.
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
BEBE BÉBÉ : BABIG (var. BABICH) m. -ed (enf.)
VIVRE BEVañ, -iñ, -o. VIVRE n. vb. BEVIÑ, (pl.
AMITIE AMITIÉ : MIGNONIAJ m., & -niezh f. parf.
Komzomp brezhoneg gant hon bugale.
Signifiant « messagère en grec », Aela est la version bretonne du prénom Ange. Certains préfèreront la forme accentuée Aéla ou encore sa variante Aelaïg. Encore peu commun, Aela est porté par moins de 500 personnes en France.
Étymologie. Du moyen breton mam.
Les traductions de Je m'appelle Enora. en breton, entre autres, sont : Enora eo ma anv.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
BONSOIR NOZ VAT (deoc'h...) bonne soirée nozvezh vat (& nozad vat).
« Da gousket ! » (breton) = au lit (lit-téralement : à dormir !)
« Bara » signifie « Pain » en breton.
deiz-ha-bloaz laouen.
Du moyen breton hoar, issu du vieux breton guoer , du proto-celtique * swesūr, lui-même de l'indo-européen commun * swésōr (« sœur »).
Le mot ti (ou ty), maison, a donné un dérivé tiegezh qui désigne la famille, celle qui habite sous le même toit. La famille au sens large, qui regroupe toutes les parentés, est désignée par le terme familh qui est un emprunt au français.