Le mot belleau est l'une des formes du mot beau , belle , mais elle n'est ni son masculin, ni son féminin : la forme belleau se veut neutre, elle ne mentionne pas de genre. Elle s'utilise lorsqu'on parle d'une personne non binaire, ou bien pour qualifier une personne dont on ignore le genre.
L'utilisation du langage épicène, c'est-à-dire non genré : magnifique (et non belle ou beau), un parent (au lieu de père ou mère).
«Chacun a bien compris que valider le pronom 'iel', c'est valider l'écriture inclusive, parce qu'il faudra qu'on nous explique s'il faut dire: 'iel est beau' ou: 'iel est belle'.
Au début des années 2010, le mot "iel" a été pensé pour pallier un manque dans la langue française. Les pays anglo-saxons, eux, avaient recours au pronom "they" pour évoquer les personnes non-binaires. Pratique, car en anglais they est un mot épicène, c'est-à-dire qui neutralise le genre.
Certaines personnes non binaires préfèrent qu'on les désigne par un pronom autre que « il » ou « elle » — un néopronom. « Iel » est le néopronom le plus couramment utilisé en français, mais il en existe plusieurs autres comme « ul », « ol » et « ille ».
Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur », précisent les réalisateurs du documentaire.
« He/she », « il/elle », « iel » : la transidentité bouscule les façons de se présenter. Les personnes trans indiquent dans leur « bio » sur les réseaux sociaux les pronoms par lesquels elles souhaitent être désignées. Par solidarité, des femmes et des hommes non transgenres adoptent cette innovation langagière.
Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie. Par extension, il arrive qu'on appelle adelphes les personnes de la communauté à laquelle on appartient, sans faire de distinction de genre.
"Iel", pronom personnel à mi-chemin du masculin "il" et du féminin "elle", est défini dans Le Robert en ligne depuis novembre. L'éditeur a annoncé l'avoir fait entrer dans son édition 2023 du Petit Robert. Au départ, Le Robert précisait sur son site internet "on écrit aussi ielle, ielles".
Le pronom le plus couramment associé aux personnes non binaires est « iel » accordé par le biais de l'écriture inclusive. Certaines personnes utilisent « elle » ou « il », d'autres encore alternent différents pronoms, et il existe d'autres pronoms comme « ol » et « ael ».
La formulation neutre privilégie l'utilisation de noms, d'adjectifs et de pronoms qui ne présentent pas d'alternance masculin/féminin tout en ayant un genre grammatical qui leur est propre. Ces mots désignent aussi bien des personnes non binaires que des personnes s'identifiant au genre féminin ou masculin.
D'un côté, les termes « tous » et « toutes » sont suffisamment proches et « tous et toutes » semble parfaitement repérable dans l'abréviation « tou·tes », sans que cela entrave la fluidité de lecture.
Règle n°1: Mentionner par ordre alphabétique les termes au féminin et au masculin. Quant à l'accord, il se fait avec le sujet le plus proche du verbe. Voici un exemple: Les hommes et les femmes sont belles.
On peut désormais lire : "le pronom "iel" vise à désigner une personne quel que soit son genre." Ce pronom, apparu au début des années 2010, est une proposition émanant de la communauté LGBT+ qui ne se sentait pas représentée dans le système binaire de nos pronoms avec le "il" et le "elle".
L'utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d'un « s », si l'on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.
Il s'agirait simplement de remplacer « Madame, Monsieur » par « Bonjour ». Tout simplement. Il y aussi d'autres recommandations sur la page ci-dessus, par exemple juste mettre le nom et le prénom de la personne pour éviter de présumer d'un Madame ou d'un Monsieur.
s au marché. Pronom complément : ici « elle » et « lui » deviennent « iel » ou « ellui » au singulier et « elles » et « eux » deviennent « iels » et « elleux » au pluriel. Par exemple : c'est avec qu'elleux qu'iels ont discuté hier soir.
Ael est un pronom neutre, au même titre que iel . Certaines personnes non binaires choisissent d'être désignées par le pronom ael de préférence à iel , car il est plus éloigné de la consonance des pronoms binaires il et elle .
Dans certaines facs, il est commun pour les étudiant·es de préciser leur pronom de choix: he, she ou they («il», «elle» ou «iel»).
(Anthropologie) Lignage, ensemble d'individus relevant d'un même doyen ou d'une même doyenne. (Généalogie) Ensemble composé des enfants (frères et sœurs) d'une même famille, fratrie ou sororie.
Adelphe, adelphie. Mots tirés du grec et qui signifient union, frère. Cette expression s'applique principalement aux filets des étamines lorsqu'ils sont réunis en faisceaux. En raison du nombre de ceux-ci, les fleurs sont dites monadelphes, diadelphes, polyadelphes, suivant qu'ils forment un, deux, etc.
Le néo-pronom le plus répandu en français est iel.
Certaines personnes utilisent la déclinaison ellui : « c'est à ellui », « j'étais avec ellui ». D'autres préfèrent utiliser iel quelle que soit la fonction du pronom dans la phrase. Très souvent, cela s'accompagnera d'accords dégenrés, mais pas systématiquement.
Qu'est ce que signifie « LGBTQIA+ » ? Par L, on entend « Lesbiennes », par G « Gays », par B « Bisexuel·le·s », par T « Trans », par Q « Queers », par I « Intersexué·e·s », par A « Asexuel·le·s » ou « Aromantique·s » et le + inclut les nombreux autres termes désignant les genres et les sexualités.
C - Cisgenre
Cette catégorie comprend les personnes qui avaient indiqué que leur sexe assigné à la naissance était identique à leur genre actuel.
"Iel", c'est-à-dire la contraction des mots “il” et “elle”, a pour vocation de désigner une personne dont on ignore le genre, ou bien qui ne souhaite pas se voir attribuer un genre qui soit masculin ou féminin. En somme, son objectif est de proposer une troisième voie, en proposant un pronom neutre.