Chaque objet me rappelle ton absence. Si un jour la douleur passe, ton souvenir, lui, demeurera. Je me remémorerai nos doux instants avec tendresse et émotion. Je ne te pleurerai plus, mais je ne t'oublierai jamais.
Pour faire semblant d'être triste, prenez l'air absent et donnez l'impression d'être perdu dans vos pensées. Par exemple, lorsque quelqu'un vient vers vous pour vous parler, ne le regardez pas. Lorsqu'il commence à vous parler, ne répondez pas tout de suite.
Par exemple, essayez de ne pas lui dire : « bon, au moins, tu es encore en vie », « ce n'est pas si mal après tout » ou « vas-y, souris ! » Si vous devez dire quelque chose, essayez des phrases comme : « tu as le droit de te sentir mal, tu traverses un moment difficile. »
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours. Fatigue ou perte d'énergie tous les jours. Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peu être délirante) presque tous les jours (pas seulement se faire grief ou se sentir coupable d'être malade).
La façon la plus naturelle d'exprimer sa souffrance est de ne pas hésiter à pleurer : souvent assimilés à un signe de faiblesse, les pleurs sont pourtant la meilleure manière d'évacuer une douleur profonde.
Si vous ne savez pas de quelle manière vous pouvez aborder le sujet ou si vous n'êtes pas à l'aise, essayez de dire quelque chose comme « Tu sais quoi, je me suis senti un peu bizarre/déprimée/contrariée dernièrement.
Habituellement, pour indiquer l'intensité de la douleur, il existe par exemple des mots tels que : la douleur est « terrible », « insupportable », « très forte », « moins forte qu'hier », « supportable », « désagréable », etc. Ces qualificatifs sont utiles mais chaque personne les emploie différemment.
Peur d'être abandonné, perte de confiance en soi, jalousie pathologique qui déchire à chaque fois que l'être aimé détourne son regard vers un autre que soi, peur de ne plus être soi-même,…
Le sentiment de solitude affective est également très présent dans le quotidien des personnes célibataires en situation de dépendance affective. En effet, ils sont confrontés chaque jour à leur vide affectif que personne n'est alors en mesure de combler, ce qui provoque état anxieux, tristesse perte d'élan vital.
« Tu as choisi une vie… d'amour. Ton chemin ne sera pas celui de tout le monde mais tu seras entouré de personnes riches et généreuses de leur cœur qui seront là pour t'aider, pour t'aimer tel que tu es. Ta différence fera de toi un être exceptionnel, profondément humain et tu rayonneras d'amour.»« Et ma maman ?
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
Le mal-être est objet de stress, de souffrances psychologiques et psychiques pouvant conduire à des troubles du comportement, intensifiés par des pratiques liées au tabagisme, à l'alcoolisme ou à la toxicomanie.
On parle d'amour quand on souffre ; le manque, l'absence, l'attente attisent la souffrance et on appelle ça de l'amour. Voir souffrir quelqu'un qu'on aime est l'une des pires souffrances au monde. Comment se tue en nous l'amour : trois degrés : souffrance, indignation, puis indifférence.
Comme son nom l'indique, il s'agit d'une dépendance, donc de quelque chose dont on ne sait pas se passer, qui rend "addict" et qui vous fait peut-être accepter l'inacceptable dans vos relations amoureuses parce que vous vivez avec la peur de perdre l'autre, d'être rejeté(e) ou abandonné(e).
La blessure amoureuse est un sentiment très souvent dévastateur pour les personnes qui y sont confrontées. La blessure se manifeste par une grande tristesse, ou au contraire par une absence totale de sentiments qui est bien souvent une réaction de l'esprit pour se protéger.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
L'épisode dépressif : pendant plus de 15 jours, la personne est fatiguée, triste et a perdu tout centre d'intérêt. Autres symptômes : troubles du sommeil, de l'appétit, idées noires… La dépression saisonnière : due à une diminution de la lumière naturelle, elle survient à la fin de l'automne jusqu'au printemps.