De manière générale, les gens font confiance aux professionnels. Pour eux, un professionnel est une personne sérieuse qui, à côté de sa compétence plus technique, possède des qualités morales sur lesquelles ils peuvent se fier. Quelqu'un qui a intériorisé les valeurs mises de l'avant par son groupe professionnel.
La plus classique, la technique des écouteurs. Dès qu'on ne supporte plus d'entendre son collègue jacasser, on les enfile. Pour ceux qui ont du mal à écouter de la musique en travaillant, on opte pour des sons relaxants, sans parole ou du classique.
La meilleure façon de faire ses preuves n'est pas d'aller vite, mais surtout de faire bien. Il est important de prendre le temps de comprendre ses objectifs et ses missions avant de passer à l'action.
Travailler en entreprise c'est accepter de travailler en communauté. S'il est important de s'impliquer dans la vie de bureau et de s'intéresser à ses collègues, il est fortement déconseillé d'entrer dans une dynamique de commérage.
Le comportement professionnel est une base pour travailler en harmonie au sein d'une entreprise et découle d'un savoir-être et d'un savoir-faire relationnel. On attend d'un salarié qu'il ajuste son attitude et ses comportements en fonction des situations rencontrées, des enjeux et du type d'interlocuteur.
La notion de posture professionnelle définit une attitude, une manière d'être dans l'échange : Accueillir l'autre avec son histoire est avant tout le reconnaître dans son unicité, accepter d'être déboussolé dans la rencontre avec lui pour mieux l'accompagner vers ses solutions.
Un collègue toxique se met toujours en avant. Enfin, vous réaliserez rapidement qu'un collègue est toxique à sa façon de se comporter avec la direction. Il critique en permanence ses supérieurs mais quand ils sont là il fait en sorte de leur donner toujours raison.
Le savoir-faire, c'est l'ensemble des compétences techniques et pratiques que vous êtes à même de mobiliser pour exercer vos fonctions. C'est votre maîtrise technique dans votre domaine d'expertise.
Selon Nicole Tremblay, l'autodidacte doit maîtriser quatre compétences : ▪ adaptative : tolérer l'incertitude ▪ sociale : établir un réseau de ressources ▪ praxique : réfléchir sur et dans l'action ▪ métacognitive : se connaître comme apprenant.